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A universal basic income could make the US economy trillions of dollars larger, permanently, according to a new study by the left-leaning Roosevelt Institute.
Basic income, a proposal in which every American would be given a basic stipend from the government no strings attached, is often brought up as a potential solution to widespread automation reducing demand for labor in the future. But in the meantime, its critics typically allege that it is far too expensive to be practical, or else that it would spur millions of Americans to drop out of the labor force, wrecking the economy and depriving the government of a tax base for funding the plan.
The Roosevelt study, written by Roosevelt research director Marshall Steinbaum, Michalis Nikiforos at Bard College's Levy Institute, and Gennaro Zezza at the University of Cassino and Southern Lazio in Italy, comes to a dramatically different conclusion. And it does so using some notably rosy assumptions about the effects of large-scale increases to government spending, taxes, and deficits, assumptions that other analysts would dispute vociferously.
Le fondateur de SpaceX et Tesla considère que l'installation d'un revenu de base est « nécessaire » pour accompagner les progrès de la robotique et de l'intelligence artificielle.
Elon Musk persiste et signe. Lors d’un déplacement à Dubaï pour participer au World Government Summit, l’entrepreneur américain à l’origine des sociétés Tesla, SpaceX et PayPal a réaffirmé son grand intérêt pour le revenu de base (ou revenu universel), jugeant un tel dispositif « nécessaire » face aux avancées régulières enregistrées dans la robotique et l’intelligence artificielle.
La Finlande devrait lancer au 1er janvier 2017 un programme d'expérimentation du revenu de base, auprès de 2 000 personnes sans emploi. Une expérience qui montre toute l'ambiguïté politique de l'idée qui peut aboutir au meilleur comme au pire.
Que l’on se place à gauche ou à droite de l’échiquier politique, l’idée d’un « revenu universel de base » trouve généralement ses partisans, pour des raisons très différentes qui en font l’un des sujets politiques les plus passionnants du moment.
Dans une interview donnée récemment à *The Economist*, Yanis Varoufakis a caractérisé le revenu de base comme « essentiel » dans la société future.
Via Bernard BRUNET
Le Sénat doit débattre mercredi d'un projet de résolution visant à demander au gouvernement la mise en place d'un revenu de base universel, que tous les Français toucheraient quelle que soient leurs ressources.
Via Bernard BRUNET
Parmi les très nombreux projets de RB, certains répondent mieux que d’autres d’une part à des exigences écologiques, d’autre part à cet autre principe de justice qu’est le partage du travail. En particulier les deux suivants.
Via Bernard BRUNET
C’est un casse-tête pour plusieurs raisons : 1) il existe de nombreuses propositions de RB et d’innombrables modalités de financement envisageables ; 2) il est problématique d’envisager le financement d’un RB « toutes choses égales par ailleurs » alors qu’il serait différent selon qu’on a, par exemple, 6 millions de chômeurs ou le quasi plein emploi ; 3) ce qui semble relever d’une approche comptable implique en réalité des choix de société. MAIS IL Y A UNE RAISON PRINCIPALE. Elle sera fournie… en conclusion du troisième et dernier billet.
Via Bernard BRUNET
Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*.
Via Bernard BRUNET
Au Sénat, les élus écologistes ont déposé une proposition de résolution invitant le gouvernement à introduire en France un « revenu de base » auquel aurait droit chaque citoyen tout au long de sa vie. Une proposition qui est vue sous un jour nouveau à l'heure des Creative Commons, de Wikipédia et des logiciels libres.
Via JP Fourcade, Bernard BRUNET
L’idée d’un revenu universel apparaît ponctuellement dans les réflexions et propositions politiques. Elle bénéficie, actuellement, d’un intérêt de plus en plus marqué, en France comme à l’étranger. Des pays aussi différents que la Namibie et les Pays-Bas soutiennent des expérimentations à l’échelle locale. Depuis les années 1970, en raison de la richesse pétrolière, l’Alaska verse chaque année un dividende uniforme à tous ses habitants. En 2015, le gouvernement finlandais a annoncé une refonte de son État-providence pour mettre en place un revenu universel substantiel.
Les Finlandais pourraient recevoir 800 euros par mois, dès 2017, quelle que soit leur situation. Seules conditions: être citoyen et majeur. En France, l'idée commence à émerger. Mercredi, le ministre de l'Economie a dit trouver l'idée "intéressante". Pour notre contributeur, le philosophe Jean-Marc Ferry, c'est une évidence.
Le spectre du chômage ne nous lâche pas et pire, s’intensifie. L’Insee chiffrait récemment son taux à 10.2% (le plus élevé depuis 1997). 9 millions de français vivraient désormais avec moins de 964€ par mois et feraient donc partis de la catégorie des « pauvres ». Ne serait-il pas temps de changer notre approche du travail et du revenu ?
Faut-il, en cette période de graves incertitudes sur l'avenir de l'emploi « à l'ancienne », envisager de décorréler le travail du revenu de base ? L'idée séduit par-delà les appartenances politiques. Pourtant, pratiquement aucun Etat ne l'a encore essayée. Pourquoi ?
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Les citoyens sont encore nombreux à croire que le revenu universel relève de l’utopie, et qu’il n’est pas finançable. Rien n’est moins vrai. Et c’est justement parce qu’il est possible à mettre en œuvre qu’il soulève tant d’oppositions. Cette nouvelle protection sociale implique en effet de nombreux changements dans la gestion des affaires et des deniers publics, et surtout, oblige à opérer une refonte globale dans notre système de redistributions des richesses, dont la défaillance est aujourd’hui incontestable.
Plusieurs candidats de gauche revendiquent la création d’un revenu universel. Une expression derrière laquelle se cachent des projets distincts.
Finalement, ce qui fera de la 4e révolution industrielle une avancée ou une calamité, c’est la manière dont ses bénéfices seront répartis, estime David Hiler L’initiative en faveur d’un revenu inconditionnel de base (RBI), bien que condamnée à être largement refusée par le peuple, aura eu le mérite d’ouvrir en Suisse un débat important. Elle a fait apparaître l’inquiétude d’une part croissante de la population face à la perspective d’une suppression massive de postes de travail causée par l’utilisation de robots de plus en plus perfectionnés.
La province canadienne devrait commencer à verser un revenu mensuel inconditionnel cette année. L'idée sera débattue à l'Assemblée mercredi en France.
Via Bernard BRUNET
uCoin est un projet de crypto-monnaie qui a pour but d’implémenter une monnaie libre au sens la Théorie relative de la monnaie, dont les logiciels sont distribués sous licences libres. Elle permettra la mise en place d’un équivalent du revenu de base par création monétaire : le dividende universel ou DU. Le projet uCoin a été lancé en juin 2013 par Cédric Moreau, alias cgeek. Cette monnaie repose sur la Théorie relative de la monnaie, TRM, développée par Stéphane Laborde, alias Ğaluel. uCoin a hérité des principes de fonctionement du projet OpenUDC. Ce projet initié par Jean-Jacques Brucker alias jbar en novembre 2011 n’est pas aussi avancé que le projet uCoin et ne connaît pas le même rythme de développement. OpenUDC est écrit en langage C et est basé sur le serveur web lighttpd.
Via Bernard BRUNET
Commençons par le cas du RB faible. Où trouver les 350 milliards annuels ? Les solutions avancées sont très diverses. Le plus souvent, c’est du côté de la fiscalité, des cotisations sociales et des économies de certaines prestations sociales devenues sans objet que se trouvent les recettes. Parfois, la création monétaire est prévue, mais cela semble une solution de « facilité sur le papier » voire de fuite en avant qui pose des problèmes que je n’évoque pas ici. Il vaudrait mieux la réserver pour les indispensables investissements ciblés de la transition écologique.
Via Bernard BRUNET
Différents philosophes et économistes ont proposé des schémas de financement d'un revenu de base pour tous. En voici la synthèse !
Funding basic income through taxation is costly. At the same time, low consumer demand is a major worry. The European Central Bank could kill two birds with one stone by giving money directly to citizens.
Il m’est venu à l’esprit de rédiger cette note suite au billet “Que faire ? (I) : L’emploi” par Michel Leis. Dans ce texte, l’auteur oppose une meilleure répartition du temps de travail comme une alternative à l’allocation universelle. J’aimerais ici montrer que les liens entre l’allocation universelle et la répartition du temps de travail sont très différents de ce que Michel Leis suggère.
Une des raisons principales d’instaurer une allocation universelle est précisément une meilleure répartition du temps de travail au sein de la population. La justification de cette affirmation peut être faite à partir d’un simple graphique.
L'utopie fait lentement son chemin en Europe : le revenu universel, montant fixe proche de 900 euros que chaque "actif" toucherait chaque mois sans condition de ressources, est expérimenté dans plusieurs pays. Entretien avec Gaspard Koenig, philosophe libéral qui est partisan de cette mesure - Reportage sur les banques du sperme britanniques en manque de donneurs.
Notre société vit une réelle crise. A la fois sociale et économique. Une économie en panne, un chômage dont la courbe s’envole au lieu de s’inverser, le déclassement et la précarité pour beaucoup de français, la hantise de celle-ci pour ceux qui en sont proche, une protection sociale et des services publics menacés, les signaux d’un avenir radieux ne sont concrètement pas au vert. La jeunesse ne croit plus en l’avenir et encore moins en la politique. Le revenu de base apparaît comme le remède en puissance au virus qui nous touche.
Quel est le point commun entre Delphine Batho, Christine Boutin, Dominique de Villepin et Frédéric Lefebvre? Malgré leurs oppositions politiques, ils sont tous favorables à un revenu universel, aussi appelé revenu de base. C'est la solution qu'ils voient face à l'inévitable (notamment à cause de la robotisation) chômage de masse en ce jour d'annonce des chiffres de décembre 2015.
Attention, on ne parle pas ici d'un classique Smic ou RSA, mais d'une allocation qui serait versée à tout individu sans aucune condition, à part celle d'exister. Travailleur ou chômeur, jeune ou moins jeune, riche ou pauvre, le revenu universel l'est, justement.
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