Les plateformes en ligne de revente ou d'échange promettent un mode de consommation plus durable. Comment ? En allongeant la durée de vie des objets et en partageant leur usage. Plusieurs études récentes montrent pourtant que ces pratiques ne contribuent pas nécessairement à une réduction de la consommation, pourtant nécessaire à la maîtrise des ressources.
Le Baromètre de l’entreprise responsable 2015, présentée en octobre, dévoile que les conditions de travail, à 42 %, sont la thématique prioritaire en matière de Responsabilité Sociétale et Environnementale dans l’entreprise, bien loin devant l’environnement (13 %). Alors que certaines nuisances au travail se dégradent et que se confirme une fracture générationnelle, au détriment des seniors, la qualité de vie au travail est un concept en marche. Certaines nuisances au travail se dégradent
Innovation sociale, développement durable, responsabilité sociétale des entreprises… Youphil.com a sélectionné des événements à ne pas manquer en septembre 2014.
Jean-Manuel Bluet, directeur du développement durable et de la Création de Valeur Partagée chez Nestlé France, estime que le développement du groupe passera par des solutions innovantes répondant aux besoins de la société.
Responsabilité sociétale, développement durable… Certains connaissent et pratiquent (de manière plus ou moins efficiente), d’autres sont encore frileux et il y a ceux pour qui ces sont concepts farfelus, incompréhensibles, néo-militants ou encore inapplicables. Certains pensent que la démarche de développement durable est une mode !
Chômage, récession, faillites d'entreprises, plans sociaux... Si la crise que nous subissons semble commencer à s'estomper, cela n'abuse personne : en France et en Europe, voilà maintenant quatre décennies que de courtes périodes de timides reprises succèdent à des crises toujours plus profondes.
À chaque nouvel épisode dépressif, la tentation ressurgit d'un repli sur soi, de désigner un ou plusieurs boucs émissaires sources de tous nos maux et d'attendre une hypothétique accalmie venue d'ailleurs (parfois, ironiquement, de ceux même que nous désignons comme coupables).
Comme si nous n'avions rien retenu de notre Histoire pourtant pas si lointaine, au risque de réveiller des démons nationalistes qui toujours ne sommeillent que d'un œil. Fatalité de la logique capitaliste, pourrait-on dire. Fatalité tout court, donc, dans un monde qui n'oppose plus guère d'alternative à celle-ci.
Un texte voté mi-août contraint les entreprises réalisant plus de 125 millions d'euros de chiffre d'affaire à mettre en place un comité de trois administrateurs chargés de suivre la politique en matière de responsabilité sociale et environnementale.
En France, la responsabilité sociale des entreprises est souvent un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie - ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement.
Sur ce sujet comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : on ne s’intéresse à la responsabilité sociale des entreprises que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible. Cette absence d’intérêt est d’autant plus surprenante que la majorité des livres sur l’entrepreneuriat consacrent quelques pages à ce sujet.
L’objectif est de donner un nouveau souffle à la responsabilité sociale des entreprises françaises.
Pour les organisations qui en avaient fait la demande en juillet 2012 (CFDT, Medef, Sherpa...), c'est une satisfaction: le 17 juin, le gouvernement a enfin répondu à leur attente en lançant une plateforme nationale et permanente de concertation sur la Responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Créé en 1968, MEDICA, acteur de référence de la prise en charge de la dépendance pérenne et temporaire en France, s’engage à promouvoir les comportements éco-responsables avec le lancement d’opérations de sensibilisation de ses équipes en maison de retraite et dans ses établissements sanitaires. Il a été présélectionné par l’ADEME pour participer aux Trophées européens de la réduction des déchets. Isabelle Moinot, responsable RSE de ce groupe de santé privé français nous présente cette stratégie.
Pour favoriser l’engagement sociétal des petites et moyennes organisations qui manquent d’expertise et/ou de ressources, l’association Riposte Verte met en ligne sur son site un Auto-Diagnostic RSE pour les TPE/PME. Il permet à l’entreprise de s’évaluer au regard de la norme ISO 26000 et de bénéficier immédiatement de préconisations personnalisées, d’un outil de suivi pour piloter sa démarche en ligne et de supports de communication interne.
18 mois après la création du premier Auto-Diagnostic Environnement (en libre accès et déjà utilisé par plus de 400 organisations professionnelles), l’association Riposte Verte poursuit sa mission d’innovation sociétale et offre une seconde application dont le périmètre est élargi aux 3 piliers du développement durable (économique, social et environnemental).
Depuis plusieurs années, les entreprises étrangères ont tenté de trouver des solutions pour améliorer les conditions de travail sur place, sans toutefois empêcher de nouvelles catastrophes.
> Cet article a initialement été publié dans la Lettre professionnelle “Tendances de l’innovation sociétale” N°57 du 7 mai 2013.
C’est le pire drame industriel qu’ait connu le pays. Mercredi 24 avril, l’immeuble du Rana Plaza, en banlieue de Dacca au Bangladesh, s’est effondré, faisant au moins 1125 morts et des milliers de blessés, selon le dernier bilan. Un accident qui fait écho à l’incendie de l’usine Tazreen Fashion en novembre 2012 et à une multitude d’événements moins médiatiques: depuis 2005, au moins 700 ouvriers et ouvrières ont péri dans des incendies, des effondrements d’usines ou des explosions, d’après l’association Peuples solidaires (chiffres mars 2013).
Si les grands groupes ont pour la plupart structuré leur démarche RSE, parfois sous la contrainte règlementaire, ce n’est pas encore le cas des PME. Certes, les dirigeants d’entreprises de taille moyenne ont bien d’autres soucis en tête et ne voient pas toujours l’intérêt de se plonger dans les affres de la responsabilité sociale et sociétale. Ces entrepreneurs voient encore la RSE comme un centre de coût et ne se montrent guère convaincus par l’utilité de la démarche à l’heure où la crise rogne sur leur chiffre d’affaires.
C’est regrettable. Car les raisons d’agir responsable sont multiples : coûts croissants des économies d’énergie, pression du marché, nécessité de fidéliser ses talents, innovation…Au delà de ces motivations, il y a une raison qui semble particulièrement stratégique pour les PME : répondre à la pression de leurs donneurs d’ordre privés et publics engagés pour la plupart dans une stratégie d’achats responsables.
Le principe selon lequel les entreprises du secteur privé ont la responsabilité et un intérêt à promouvoir des modèles économiques plus durables et inclusifs fait de plus en plus consensus. Mais qu’en est-il sur le terrain ? Les entreprises du CAC 40 mettent effectivement les moyens pour concrétiser leurs engagements en matière de développement durable et de lutte contre la pauvreté et l’exclusion via des initiatives de social business.
La marque a aujourd'hui le pouvoir de générer du changement social, mais cette pratique, appelée «shared value», est encore trop peu courante, a expliqué Cristiane Bourbonnais, mercredi, à la conférence Tendances 2015 d'Infopresse.
Si l’économie collaborative, représentée à la table par Jérémi Lavoie, directeur de Car2go, a de nouveau été annoncée comme tendance majeure pour 2015, Cristiane Bourbonnais, présidente de Cohésion Stratégies, a plutôt insisté sur le concept de «Creating shared value». Ce modèle, développé par l'économiste Michael Porter, propose aux entreprises d’assumer leurs responsabilités sociales en les intégrant directement à leur stratégie.
Alors que de nombreuses multinationales ont adopté la "valeur partagée" Outre-Atlantique, les entreprises françaises cherchent à s’inspirer de ce business model, sans forcément renier leur politique RSE.
L'ENS de Lyon ouvre en janvier 2014 le Cycle Rhônalpin d'Etudes Avancées en Développement Durable (CREADD) en partenariat avec le réseau des Collèges des hautes études du développement durable (CHEDD), le pôle de recherche en environnement et développement durable Envirhônalp et l'Association des décideurs du développement durable de Rhône-Alpes (Club 3D).
L’article premier du projet de loi sur l’ESS (voir Loi sur l’ESS : article 1 er. Principes et champ) prévoit d’élargir le champ de l’ESS, défini par ses statuts, à un certain nombre de structures qui se situant dans une démarche qu’on peut qualifier d’entrepreneuriat social. Ce point suscite débat, en particulier parce qu’il fait craindre des risques de dérives, argument affaibli par certaines pratiques dans des structures ayant un statut incontestable d’ESS montrant par certaines de leurs pratiques que le statut n’est pas, à lui seul, producteur de vertu.
La compétitivité est-elle le seul mot d’ordre du capitalisme ? On pourrait le croire parce que celle-ci est encore dans tous les discours qui se tiennent lorsqu’on évoque la croissance, le développement, la prospérité économique, financière et partant, sociale. pourtant, qu’il s’agisse d’un pays ou d’une entreprise, de nouveaux paradigmes se mettent en place, comme l’a exprimé dans sa communication aux treizièmes rencontres d’Aix-en-Provence, Yan Algan*, du Cercle des Economistes.
L’objectif de cet ouvrage est de présenter concrètement les principales dimensions de la mise en œuvre de la responsabilité sociale de l’entreprise.
À partir d’un cas réel, le passage des valeurs et des principes de RSE à la définition d’une politique et de programmes d’action est présenté. La communication, la reddition de comptes aux différentes parties prenantes de l’entreprise et le contrôle de la politique de RSE font l’objet de développements permettant de comprendre le rôle et la place de cette nouvelle préoccupation des entreprises.
L’importance de la nouvelle norme ISO 26 000 concernant les principes directeurs de la responsabilité sociétale des organisations est soulignée ainsi que les obligations nouvelles concernant la transparence des entreprises françaises en matière sociale et environnementale.
Au-delà des définitions, les étudiants et les professionnels trouveront dans cet ouvrage l’ensemble des connaissances nécessaires pour comprendre et conduire une politique de responsabilité sociale.
Interbrand, leader mondial du conseil sur les marques, vient de publier, avec l’appui de Deloitte, les « Best Global Green Brands 2013 », le classement 2013 des meilleures marques vertes mondiales. Il étudie notamment l’écart qui existe entre les pratiques écologiques des entreprises et la perception qu’en ont les consommateurs, en se basant sur les résultats du classement précédent, des études de consommation à grande échelle et des données publiques relatives à la performance de ces entreprises. Le secteur automobile domine avec Toyota (n° 1), Ford (n° 2) et Honda (n° 3) qui revendiquent les trois premières places dans le rapport de cette année. Nissan (n° 5), Ford (n° 2), Nokia (n° 9) et UPS (n° 32) sont à l’honneur avec les plus fortes progressions de l’année, tandis que Nestlé (n° 14), Kia (n° 37), ZARA (n° 48) et Colgate (n° 50) font leur entrée dans le classement.
Un nouveau master à la faculté d’économie et de gestion d’Aix-Marseille Université, pour accompagner les mutations de valeurs au sein des entreprises. Innovant et répondant à un besoin urgent en formation, la faculté d’économie et de gestion a mis en place très rapidement cette formation.
L'entrepreneur social devient un acteur incontournable pour répondre aux besoins d'innovation de la société.
Comment mieux servir les 50 millions de personnes pauvres en Europe, pour qu’elles obtiennent les services et produits dont elles ont besoin? Des collaborations innovantes, durables parce que rentables, et porteuses d’impact social démultiplié, c’est ce que préconise Ashoka en appelant entreprises classiques, entrepreneurs sociaux et pouvoirs publics à s’allier pour leur permettre de germer, notamment sous forme de "chaîne de valeurs hybride", incluant tous les acteurs concernés.
L'opération Balle jaune organisée par la FFT a permis de récolter 1,5 million de balles en 2013.
C’est dans la petite commune de Passel, en Picardie, que tout se passe, ou presque. Ce jour-là, un camion vient décharger sa précieuse cargaison: plusieurs milliers de balles de tennis usagées.
Bien empaquetées dans leurs cartons par une armée de bénévoles quelques jours plus tôt, les petites balles vont être transformées en revêtement sportif souple, offert à des structures hospitalières ou des foyers d'accueil spécialisés.
To get content containing either thought or leadership enter:
To get content containing both thought and leadership enter:
To get content containing the expression thought leadership enter:
You can enter several keywords and you can refine them whenever you want. Our suggestion engine uses more signals but entering a few keywords here will rapidly give you great content to curate.