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Onze ans après la loi sur l’eau de 2006, il manque toujours les systèmes de solidarité qui aideront tous les ménages démunis à avoir de l’eau potable pour vivre dignement, expliquent les auteurs de cette tribune.
Henri Smets est membre de la Coalition eau et Emmanuel Poilane, de l’association France libertés.
En France, environ un million de citoyens ne bénéficient d’aucune mesure pour faciliter leur accès à l’eau potable ou pour en payer la facture s’ils sont démunis. Ce million de citoyens oubliés (...)
S’inspirant des librairies partagées, l’américaine Jessica Maclard a voulu mettre en place un garde-manger 100% gratuit. The Little Street Pantry, immédiatement approprié par les habitants, doit permettre de partager de la nourriture entre voisins, en particulier avec ceux qui sont dans le besoin.
Un budget permettant de vivre décemment en logement social dans une ville moyenne serait de 1.424 euros pour une personne seule, et de 3.284 euros pour un couple avec deux enfants, évalue une étude de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (ONPES) publiée vendredi.
Le rapport annuel de l'Observatoire livre les résultats d'une recherche menée depuis trois ans pour évaluer les «budgets de référence», nécessaires pour «une participation effective à la vie sociale». Cette étude s'inscrit dans une réflexion menée au niveau européen, visant à déterminer «un revenu minimum décent».
Il s'agit le plus souvent de morts violentes ou de maladies cardiovasculaires.
Dans leur pays d’accueil, tous les migrants n’ont pas le même statut, ni les mêmes droits. Eclairage.
- vu la puissance de feu qui nous est opposée, - vu que contrairement à l’intérêt général, nos élus se sont associés à la Finance pour raréfier l’emploi artificiellement, ceci afin de nous contraindre par nos besoins primaires à aller là ou ils ont décidé que nous irions, - vu que leurs esprits sont intoxiqués par le néolibéralisme, cette pensée mortifère, les rendant incapables de comprendre qu’ils mènent notre société dans le mur, eux compris, - vu la faiblesse de nos syndicats en cette periode ou le plein emploi n'existe plus, je vous invite à creuser l’idée du revenu de base en allant sur le site revenudebase.info en commençant par lire sa définition sur ce lien. http://revenudebase.info/comprendre-le-revenu-de-base/ et à aller plus loin en découvrant les dossiers et articles de ce site,
Via Bernard BRUNET
Le 12 février, Mediapart se rendait sur les lieux de l'incendie du camp de Bobigny où Mélissa, 8 ans, est décédée (lire ici le reportage de Carine Fouteau). En regardant les photos, nous sont revenues en mémoire celles prises dans les années 1950 dans les bidonvilles de Nanterre ou Saint-Denis. À l'issue d'une recherche d'archives, voici le face-à-face entre images d'hier et d'aujourd'hui. En près de 50 ans, bien peu de choses ont changé, si ce n'est qu'on ne dit plus bidonville, mais camp.
M. Hollande a beaucoup parlé des cadeaux aux entreprises, un peu de la jeunesse en galère : il oublie de réguler les stages pour corriger le problème. Le jour où le Président de la République déplorait lors de sa conférence de presse annuelle : "à 25 ans on ne devrait plus avoir à accepter un stage ou la précarité", la députée Chaynesse Khirouni déposait un projet de loi tendant à améliorer le statut des stagiaires. Le collectif de défense des stagiaires est déçu par le manque d’ambition de cette proposition de loi (en PJ) qui est vidée de sa substance.
Jeudi 19 décembre, tout juste un an, après la conférence de lutte contre la pauvreté, le ministère des affaires sociales et de la santé poursuit la réflexion sur l’inclusion des personnes en situation de pauvreté à travers une matinée de conférences intitulée « Sois pauvre et tais-toi ! ».
Une étude estime que la précarité entraînerait une déficience mentale. En 2012, la France dénombrait 4,7 millions de personnes en situation de pauvreté. Ce dénuement aurait un impact sur les capacités mentales, d’après une étude américaine publiée le 30 août 2013 dans le revue Science. Vivre dans la précarité empêcherait de se concentrer sur d’autres choses que les soucis financiers. Ce "handicap mental" conduirait à prendre de mauvaises décisions. Conséquence, une mauvaise gestion des maigres finances, et la multiplication de crédits créant un cercle vicieux de pauvreté. "Cela ne signifie pas que les personnes pauvres sont moins intelligentes. [Mais] que ces personnes souffrent d’un déficit mental, qui n’existerait pas si elles n’étaient pas dans une autre situation", précise Sendhil Mullainathan, co-auteur de l’étude et professeur d’Economie à l’université Harvard.
Les fast food britanniques se partagent le podium des promoteurs de la précarité. Chez McDonald’s, neuf salariés sur dix, soient 82 000 britanniques, sont embauchés en contrat « zéro-heure », c’est-à-dire sans volume horaire garanti. Selon le Guardian, ce score, reconnu par le groupe, fait potentiellement de la chaîne « le plus gros signataire de contrats précaires » du pays. Potentiellement seulement, car le spécialiste du Happy meal est talonné de près par Domino’s Pizza et Burger King qui embauchent eux aussi presque la totalité de leur main d’œuvre avec ce type de contrats.
Le WakaWaka, petit chargeur léger et coloré, a de grandes ambitions: lutter contre la précarité énergétique à travers le monde. Pour chaque chargeur acheté, un autre est donné dans le monde, et un projet de distribution gratuite de lampes solaires (actuellement 12.000 en Haïti et 5000 en Syrie) est financé. Si son prix est un peu élevé (69 euros) WakaWaka offre un très bon rendement et une bonne autonomie. Il se recharge en 8 heures au soleil, dispose d’une batterie de 2200 mAh de 40h d’autonomie en lampe solaire à led et recharge en 2h un smartphone avec un câble USB.
Plutôt que des tarifs progressifs dont la mise en place est coûteuse et bancale, une meilleure solution pour faciliter l’accès des ménages modestes à une énergie bon marché tout en incitant aux économies serait la distribution d’un « dividende énergie ».
Le prix de l’énergie est sur une pente croissante que l’on peut difficilement empêcher : les réserves fossiles se réduisent – et il faut d’ailleurs en consommer moins pour limiter le réchauffement climatique – ; le coût du nucléaire n’est plus aussi bon marché dès lors que l’on prend en compte les risques propres à cette énergie et le coût de démantèlement des centrales ; et les énergies renouvelables qu’il nous faut développer coûtent plus cher.
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Absence totale de domicile, manque de confort, surpeuplement : le rapport annuel de la Fondation Abbé-Pierre, qui paraît mardi, décrit des difficultés très diverses.
C’est un rapport original que vient de publier l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (ONPES). Nul doute qu’il va faire couler beaucoup d’encre… et de salive. Car, derrière un titre neutre - « Budgets de référence », il vise ni plus ni moins qu’à chiffrer le revenu mensuel minimum nécessaire pour vivre décemment dans notre société en 2015, selon certaines configurations familiales et selon le type de logement dont on dispose.
L’Unicef dresse un bilan alarmant. En France, plus de 3 millions d’enfants, soit un sur cinq, vivent sous le seuil de pauvreté, 30 000 sont sans domicile, 9 000 habitent des bidonvilles et 140 000 arrêtent l’école chaque année, s’alarme le Fonds des Nations unies pour l’enfance dans un rapport rendu public mardi 9 juin.
Entre 2008 et 2012, 440 000 enfants supplémentaires ont plongé, avec leurs familles, dans la pauvreté, avance encore cette étude réalisée sur les moins de 18 ans, intitulée « Chaque enfant compte. Partout, tout le temps » et qui met en lumière les zones d’ombre de l’application de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE). La France, comme tout Etat l’ayant ratifié, est tenue de rendre compte, tous les cinq ans, de l’effectivité de ses engagements internationaux et des actions entreprises pour la mise en œuvre de la CIDE, rappelle l’Unicef.
« Notre rapport [remis aux experts du Comité des droits de l’enfant] est un cri d’alarme qui doit pousser les autorités à agir d’urgence et de manière plus efficiente pour chaque enfant », insiste Michèle Barzach, présidente d’Unicef France.
Pourquoi la lutte des intermittents du spectacle est importante pour la cause du revenu de base ?
Les catastrophes naturelles et pollutions industrielles ne frappent pas de la même manière toutes les populations. Au contraire. « Si vous voulez savoir où un stock de déchets a le plus de chances d’être enfoui, demandez-vous où vivent les Noirs, les Hispaniques, les Amérindiens et autres minorités raciales », interpelle le sociologue Razmig Keucheyan dans son dernier ouvrage La nature est un champ de bataille. Saturnisme, mal-logement, précarité énergétique… Autant de facettes d’un « racisme environnemental » qu’il propose de combattre. En s’attaquant aux racines du capitalisme. Entretien.
Quel est le point commun entre Paris, Stockholm, Copenhague, Grenoble et Echirolles ? Toutes ces villes possèdent un, voire plusieurs éco-quartiers. A l’heure où la gentrification est à l’œuvre dans les zones populaires des grandes villes, ces nouveaux quartiers vont-ils accentuer l’exil des plus pauvres ?
Via AREC Occitanie, Bruno MECHIN
La fondation Abbé Pierre a publié son 19e rapport sur l'état du mal-logement en France.
Alors qu'une vague de froid historique gèle les Etats-Unis, les ménages américains les plus modestes souffrent davantage que les autres.
"Dans le cadre de l'ouverture de notre entrepôt Drive, nous recherchons 15 préparateurs/préparatrices de commandes en CDI. Formation en interne de 15 jours en amont de la prise de poste." Sur le papier, l'annonce du Leclerc d'Auxerre, publiée fin juillet, était alléchante, surtout à une époque où les CDI se font rares. Mais derrière cette annonce se cachait une réalité bien moins reluisante, selon un des embauchés, qui a témoigné début octobre sur Rue89. Il venait de démissionner après seulement sept jours de travail pour l'enseigne.
Murs ocre et blanc, tapis noir au sol, lit assorti et fenêtres largement ouvertes sur les toits : Naïma (1), 23 ans, n’en finit pas de s’extasier sur sa chambre, au 2e étage des Rosiers. Cet ancien hôtel situé dans un quartier résidentiel de Dijon dispose de onze chambres nouvellement réaménagées. Sa particularité : l’établissement n’accueille que des jeunes âgés de 18 à 25 ans en rupture sociale ou familiale qui trouvent ici le point d’ancrage nécessaire à leur remise sur pied.
La loi du 22 juillet 2013, relative à l’enseignement supérieur et la recherche, entend mieux encadrer le régime des stages.
A l'heure où des stagiaires européens se mobilisent contre leurs mauvaises conditions de travail, la France légifère sur ce statut. La loi du 22 juillet 2013, relative à l'enseignement supérieur et à la recherche, entend mieux réguler le régime des stages.
Celle-ci donne une définition plus précise du stage professionnel, définit comme une période "au cours de laquelle l'étudiant acquiert des compétences professionnelles (…)". Exit donc, les postes permanents occupés par des stagiaires.
Madame Michu, cet article s’adresse à vous : l’heure est venue de mobiliser toute votre énergie !
Décarboner? Transitionner? Mais pourquoi faire?
Au risque de paraître rabat-joie, rappelons que nos modes de vie actuels, surproducteurs de gaz à effet de serre, accélèrent dangereusement le réchauffement climatique. Nos ressources naturelles s’épuisent et nous serons bientôt 9 milliards d’humains sur Terre, principalement logés en ville !
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