Selon un nouveau rapport, auquel a eu accès The Guardian, d’ici la fin de la décennie le nombre de bouteilles vendues par an dans le monde atteindra 500 milliards.
Alors qu'on attend avec impatience la startup qui va venir uberiser le sapin de Noël en réalité virtuelle, se pose toujours la question du caractère plus ou moins écologique des différents sapins commercialisés aujourd'hui. Et par chance, nous avons en 2016 des données suffisamment fiables pour y répondre.
Marc Delcourt n’est pas encore le roi du pétrole vert. Mais ce biologiste, reconverti en entrepreneur, est en passe de réussir son pari un peu fou : produire du plastique et des carburants à partir non pas d’or noir, mais de plantes comme la betterave ou la canne à sucre. La preuve ? Après le laboratoire puis l’unité pilote, la société qu’il a créée en 2008 avec son complice Philippe Marlière, Global Bioenergies, se prépare à passer à l’étape industrielle.
À l’issue de quelques mois d’études préalables, la start-up a annoncé, jeudi 21 mai, avoir conclu un accord en vue d’ouvrir une première usine. Elle sera construite en France, en association avec Cristal Union. Grand producteur de betteraves, connu pour sa marque de sucre Daddy, le groupe coopératif est déjà actionnaire minoritaire de Global Bioenergies, avec 6 % du capital.
« Deux ans après avoir levé des fonds pour sortir du laboratoire, nous avons passé ce cap, et l’exploitation de notre produit à l’échelle commerciale émerge de la brume », se réjouit M. Delcourt.
L'association écologiste "Robin des bois" veut porter plainte contre la ville de Reims pour abandon de déchets, après un lâcher de 2.000 ballons, dimanche.
Des millions de tonnes de plastique sont produits chaque année. Pour mieux saisir l'impact des sacs, bouteilles et autres objets de notre quotidien sur notre environnement, découvrez 10 chiffres ahurissants sur le plastique.
Les sacs en plastique traditionnel traités pour être « biodégradables » sont-ils vraiment bons pour l’environnement?
Rien ne le prouve, répond un député socialiste qui vient de déposer une proposition de loi pour les interdire, tandis que les industriels furieux dénoncent une manœuvre pour les évincer du marché. « J’espère que cette proposition de loi sera examinée avant juin« , déclare Arnaud Leroy, député des Français établis hors de France (5e circonscription), qui l’a déposée la semaine dernière.
Chaque année, la Fondation Crédit Coopératif organise le prix Charles Gide du « meilleur reportage en économie sociale ». Les étudiants de dernière année des 13 écoles de journalisme reconnues par la profession peuvent y participer.
Vous imaginez vous rendre au centre de barbapapa le plus proche de chez vous pour recycler vos plastiques ? Comme les ateliers d’imprimeries ou les laveries automatiques, des centres de Polyfloss pourraient un jour faire partie du paysage urbain. Créée par Emile de Visscher, Nick Paget, Audrey Gaulard et Christophe Machet, la Polyfloss Factory propose un procédé innovant.
Grâce à une machine qui s’inspire du procédé de fabrication de la barbe à papa, les déchets sont transformés en une sorte de laine plastique qui peut se fondre et donner naissance à des objets.
L’expédition 7e Continent est de retour du Pacifique nord, où elle a exploré une zone où s’accumule une partie des déchets plastique de la planète, entre la Californie et Hawaï.
Les tourbillons de déchets dans les océans soulèvent de nombreuses questions, et sont vite devenus une préoccupation importante. Selon le Center for Biological Diversity, dès cette année, 40% de la surface des océans de la planète sera recouverte d’ordures et de plastiques flottants. Les entreprises pourraient-elles jouer les alchimistes et transformer ces déchets en plastique… en or?
Aujourd’hui, sur près 1,5 million de tonnes de plastiques contenus dans les ordures ménagères, seul 22% sont recyclés dans la région Paca. Comment donner une deuxième vie aux déchets plastiques ? Explications.
Boyan Slat a 19 ans, habite aux Pays-Bas et a commencé à étudier la possibilité de débarrasser les océans du monde des millions de tonnes de plastique qui les polluent à l’occasion de son projet de dernière année de lycée.
Après quelques centaines d’heures de travail supplémentaire, il a présenté à une conférence TEDx à Delft, en octobre 2012, un concept qui pourrait permettre de retirer des océans 7,25 millions de tonnes de plastique en 5 années à peine. Le projet, sur lequel travaillent à présent 50 ingénieurs, n’en est qu’à un quart de son étude de faisabilité. S’il vient à être réalisé, les bénéfices pour la faune et la flore océanique ainsi que pour nous, qui nous trouvons au bout de la chaîne alimentaire, seront exceptionnels.
A Hambourg, la grande ville portuaire du nord de l’Allemagne, on ne servira plus de café en capsules dans les administrations. On n’y boira plus ni l’eau ni la bière dans des emballages en plastique jetable, même consignés. Et le ménage se fera uniquement avec des détergents sans chlore. Ce sont quelques-unes des nouvelles réglementations entrées en vigueur fin janvier dans la ville-région, dont l’administration s’est fixé pour objectif de devenir « un modèle en Allemagne » en matière de gestion écologique des approvisionnements et de passation de marchés publics.
This novel 3-D animation dives into how our consumption of plastics has affected marine species deaths and increased human health risks, and it explores possible long-term solutions. Motion graphic artist Andreas Tanner uses his compelling infographics to educate viewers on all aspects of plastic production, consumption, and breakdown. “Due to particular currents in the Pacific Ocean, a new continent has been born: a mass of plastic waste the size of Europe.” Tanner also offers ideas for alternative and sustainable buying habits to reduce our reliance on plastic.
Precious Plastic est une machine grâce à laquelle vous pourrez enfin donner une seconde vie à tout le plastique qui vous entoure. Depuis chez vous...
Ces bouteilles et ces emballages que vous prenez la peine de trier, vous savez ce qu'ils deviennent une fois embarqués ? Non ?
Dave Hakkens a mené l'enquête pour vous. Et ses résultats l'ont convaincu d'une chose: si les citoyens prennent la question du tri des déchets au sérieux, les pouvoirs publics et les industriels n'ont pas encore passé la vitesse supérieure. Seul 10% du plastique serait ainsi recyclé au niveau européen. Le designer hollandais, toujours prêt à changer le monde (il y a quelques semaines, il a fait vibrer l'univers de la téléphonie avec le projet PhoneBloks) a donc décidé de s'attaquer au problème avec ses propres moyens. Il vient de lancer le projet Precious Plastic : une série de petites machines domestiques simples d'utilisation grâce auxquelles vous pourrez vous-même recycler tout le plastique qui encombre votre quotidien. Ou plutôt le transformer en de petits objets utiles et uniques. Commencez par réduire en minuscules copeaux vos emballages plastiques, faites-les fondre, et modelez-les sous la forme de votre choix. Vous ne produirez peut-être pas des chefs d'oeuvres de design, mais au moins ce seront vos propres créations !
Il n'y aura plus de sacs plastiques en caisse, qu'ils soient payants ou à gratuit, et ce, dès 2016. Un amendement déposé par Ségolène Royal a été adopté mercredi soir en commission du développement durable à l'Assemblée, lors de l'examen du projet de loi sur la biodiversité. Ce vote est «une bonne nouvelle» pour France Nature Environnement (FNE), qui espère que «cela ne va pas être détricoté immédiatement, car les lobbies sont à l'affût».
Souvenez-vous, c’était en 2012. Les emballages en plastique étaient interdits de séjour dans les bacs et sacs jaunes mis à votre disposition pour le tri sélectif par la communauté de communes (CCPLD).
À l’exception des bouteilles et flacons usagés, les barquettes et autres pots de yaourt connaissaient le même sort que les épluchures et fonds d’assiettes: direction la poubelle classique, sans aucun espoir d’être recyclés.
Si vous ne vous en souvenez pas, c’est probablement parce que, depuis mars 2012, vous n’avez plus à deviser devant les bacs au moment de jeter : tous les emballages en plastique sont désormais acceptés. Pas par bonté d’âme, mais à des fins expérimentales.
Vous n’êtes pas sidéré par le nombre de gobelets en plastique qui inondent les poubelles près des machines à café ou des fontaines à eau ?
Moi, si ! Une petite soif, et hop, un nouveau gobelet qui finit à la poubelle. Un petit café ? Encore un gobelet. Des millions de fois, par jour en France et des dizaines de millions de fois par jour dans le monde.
La poubelle de l’Homme s’est vidée dans la mer. Et nous ne pouvons n’en vouloir qu’à nous même. On dénombre cinq gigantesques décharges sous-marines sur notre planète. Les détritus, dont la grande majorité sont d’origine terrestre, sont regroupés par de puissant tournillons marins et peuvent s’accumuler à plus de 200 mètres de profondeur. La pollution est dramatique : elle tue l’écosystème à une vitesse alarmante. Tortues, oiseaux, planctons, poissons, tous subissent les effets de ce phénomène.
L’organisation The Plastic Bank invite les populations les plus pauvres à récolter le plastique polluant les océans afin de l’échanger contre des « crédits » qui visent à améliorer la vie de ces communautés.
The Plastic Bank, projet de l’entrepreneur canadien David Katz, invite en effet les populations les plus pauvres à ramasser des déchets de plastique recyclable récoltés dans les océans et sur les plages, et à les rapporter aux points de collectes de l’organisation, situés le plus souvent dans des zones en bordure de mer et dans des secteurs plus affectés par la pauvreté.
L’agriculteur s’émerveille : “C’est magique, le plastique disparaît. C’est un miracle”, dit-il à la chercheuse. Le “miracle”, c’est un produit biodégradable, fait d’amidon de maïs, qui peut être une alternative aux plastiques de plus en plus présents dans l’agriculture, partout dans le monde. C’est le résultat d’un projet de recherche et d’innovation financé par la Commission Européenne, et dirigé par une entreprise portugaise, dont les résultats viennent d’être présentés.
Aurélien BADET's insight:
Fausse bonne idée ? Combien d'ha de mais pour un ha de culture plastifiée ?
Le dernier rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) met en cause comme rarement l'impact du bisphénol A (BPA) sur notre santé. Mais comment l'éviter au mieux au quotidien ?
Pour en savoir plus, j'ai demandé à Katia, mère de quatre enfants qui vit depuis quatre ans en bannissant tout type de plastiques et de contenants pouvant être source de perturbateurs endocriniens, de m'en dire un peu plus sur ses habitudes de vie.
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