Cette fois, il aura bien lieu. Le procès de la société Heetch, une plate-forme de mise en relation entre particuliers pour le transport très prisée des 18-25 ans , doit s’ouvrir, jeudi 8 décembre, pour deux jours au tribunal de grande instance de Paris.
Le 22 juin, l’afflux de centaines d’artisans taxis, qui venaient se porter partie civile le jour du procès contre la start-up, à peine deux semaines après l’interdiction d’Uberpop – un service de transport entre particuliers – avait empêché l’ouverture des débats.
« On va enfin pouvoir se défendre et expliquer ce que nous sommes, car nous n’avons rien à voir avec Uberpop, affirme Teddy Pellerin, le cofondateur avec Mathieu Jacob de l’application. Nous sommes une start-up issue de l’économie du partage qui met en relation, la nuit, des particuliers. Nous fonctionnons selon une logique de partage de frais. »
Officiellement, les Incroyables comestibles ont débarqué en France en 2011, sous la houlette d’un certain François Rouillay de retour d’une visite à Todmoren. Depuis, c’est la contagion ! Des dizaines de communes de toutes les régions ont déjà rejoint le mouvement (voir la carte) installant ici une jardinière de poireaux, là des plants de tomates, sur ce rond point quelques rangées de carottes et dans ce pot de fleurs une poignée de graines de tournesol… !
Parmi les très nombreux projets de RB, certains répondent mieux que d’autres d’une part à des exigences écologiques, d’autre part à cet autre principe de justice qu’est le partage du travail. En particulier les deux suivants.
The RSA’s recent report explores the emergence of a new kind of monopoly power in the sharing economy, and considers how we might challenge increasing economic concentrations of power through rethinking our approach to governance and regulation.
The RSA (Royal Society for the Encouragement of Arts, Manufactures, and Commerce), a 260-year-old charity in the UK, launched a programme of research on the sharing economy in November 2015 as part of our wider work on the economy, enterprise and manufacturing. Last month, we released Fair Share, a primer to help make sense of how the sharing economy has changed since 2009 as newer platform-based business models have gained ground.
L’économiste atterré appelle à démultiplier les formes de partage telles qu’elles se pratiquaient avant l’extension de l’idéologie propriétaire : hier autour d’un pâturage et aujourd’hui avec Wikipédia. Des communs dans lesquels il voit une alternative au capitalisme, voire une réponse aux impasses du communisme.
Le temps de l'automobiliste solitaire dans sa propre automobile appartient sans doute au passé. C'est ce que prophétise une étude du cabinet Roland Berger, présentée lundi 6 octobre 2014 à la presse française.
Avez-vous déjà demandé un marteau à l’un de vos voisins lorsque vous souhaitiez accrocher un cadre dans votre séjour ? Ou encore emprunté un appareil à raclette car vous n’en aviez pas un à disposition chez vous? L’idée est simple et part d’un constat encore plus simple : le partage entre voisins peut vous faciliter la vie et peut vous permettre de réaliser de nombreuses économies ! Et pour cause, une récente étude IPSOS montre que 94% des personnes interrogées sont prêtes à rendre service à leurs voisins en cas de besoin. Arrêtons de se plaindre de nos voisins et partageons : un réel gain de temps, d’argent et d’espace !
Dans les cours d’initiation à l’économie au lycée, on nous expliquait que le B-A BA du capitalisme reposait sur la gestion de la rareté. La loi de l’offre et de la demande nous invitait à comprendre que plus un bien était rare, plus il avait de la valeur. Nous n’avions pas encore reçu notre première fiche de paie que nous étions déjà formés à intégrer la notion de manque comme postulat de départ dans la vie. Nous étions invités à entrer dans la course folle de la soi-disant abondance financière, la compétition pour obtenir la reconnaissance du sacro-saint système, peu importe nos rêves, nos aspirations, et notre vision de la prospérité. Mais l’abondance, était-ce vraiment cela ? L’argent, ce roi, pour mieux nous assujettir se plaisait à nous faire croire que lui aussi était rare, et qu’il fallait accepter ses règles du jeu pour un jour avoir la chance de sentir l’odeur qu’il n’avait déjà plus. Nous étions ces enfants du capitalisme néolibéral.
The city of Copenhagen is making a public call to citizens, companies and government to make the transition to the new, connected and inclusive economy. With many great cities in the running, it is no mean feat that Copenhagen nabbed the top spot, for two years in a row, as Fast Company’s most innovative city in Europe. According to The Global Innovation Index 2014, Denmark remains one of the world’s top 10 most innovative countries. There is a deliberate attempt all around to model behavior, mindsets and infrastructure for a more efficient, resource -sharing, low impact lifestyle while maintaining a high standard of living which brings me to the question — are efficient cities more crowd dependent or cooperative? Or are crowd supportive cities smarter and more innovative? This isn’t a chicken-egg question but the result of a positive feedback loop underscoring the notion that collaboration breeds inventiveness.
How is Copenhagen fostering a climate for collaboration and how is collaboration fostering a climate for a smart ecosystem in a city that is showing the world how it’s done?
Ils s’appellent Rodolphe, Ivan et Mathieu. Ils ont entre 23 et 24 ans. Ces trois amis ont embarqué le jeudi 17 juillet pour une aventure de 6 mois et 21 000 kilomètres, allant du Canada au Brésil, à travers 15 pays – uniquement grâce à l’économie collaborative. Ils ont un objectif : découvrir cette économie, comprendre ses acteurs et partager leur quotidien notamment via une web-série et un documentaire.
S’inspirant des librairies partagées, l’américaine Jessica Maclard a voulu mettre en place un garde-manger 100% gratuit. The Little Street Pantry, immédiatement approprié par les habitants, doit permettre de partager de la nourriture entre voisins, en particulier avec ceux qui sont dans le besoin.
La ville de Barcelona compte avec un service de location de motos électriques, avec plus de 250 cyclomoteurs et une vingtaine de points de stationnement.
Démonter tous les meubles qu’on a passé des heures à monter, faire rentrer les cartons dans l’ascenseur qui a rétréci durant la nuit, stresser au volant d’une énorme camionnette de location : déménagement rime souvent avec stress ! Alors, pour ne pas se ruiner ou se retrouver seul(e), jemoove.fr invente une plateforme collaborative d’aide au déménagement entre particuliers pour faire d’une galère un moment de convivialité et de partage.
Sharing Cities have been generating a lot of attention recently thanks to the Sharing Cities Network and the announcement of Shareable's upcoming book on commons-based urban solutions for municipal and civic leaders. Interest in Australia and New Zealand is growing too as evidenced by some recent events like the Melbourne Conversations panel on Smart City Leadership that I spoke at for the launch of Melbourne Knowledge Week last year.
In a recent interview with Wallace Chapman for RadioNZ Sunday, I talked about the rise of Sharing Cities, platform cooperativism and the shift from extractive to generative forms of ownership and value creation. This led to a series of invitations from Kiwis across the country keen for me to speak on sharing cities including a warm welcome by the Mayor of Christchurch, New Zealand, a city devastated by the 2011 earthquake and going through a period of experimental urban regeneration (see Gap Filler for inspiration).
Dans le monde très discret, sinon secret, des négociations de la Conférence pour le climat, ils sont un peu les héros de la première semaine de travail. Ryan Mearns et Hamish Laing, 22 et 23 ans, sont présents à la 21ème Conférence des parties (COP 21) depuis dix jours. En tant qu'observateurs ils ont pu avoir accès à des réunions interdites aux médias. La semaine dernière, ils ont rendu compte ce qu'ils y ont vu et entendu par écrit dans un Google doc public.
En Ardèche, des entreprises se sont mises en réseau pour embaucher ensemble, à défaut de pouvoir embaucher individuellement.
Deux jours par semaine dans une entreprise, les trois restants dans une autre, c'est le quotidien de Gilles, chauffeur-livreur. Mais il n'est salarié dans aucune de ces entreprises. Son CDI, il l'a signé chez un groupement d'employeurs. "Si une entreprise a une baisse d'activité, je peux aller travailler dans une autre. C'est un atout important", confie-t-il au micro de France 3.
www.global-e-change.com est un site internet d’économie collaborative permettant la mise en relation de personnes. Il s’adresse à tous : particuliers et professionnels, quel que soit leur âge.
Mais c’est quoi " l’économie collaborative " ? C’est un mode de consommation moderne, véritable alternative au consumérisme classique, à la sur-consommation. En s’inscrivant sur global-e-change, on devient acteur du développement durable tout en consommant mieux ; on réduit l’idée de "j’ai besoin de, j’achète, je ne m’en sers plus, je stocke dans un placard ou je jette " et on se tourne davantage vers "j’ai besoin de, j’achète un équipement de qualité, je me fais plaisir, j’en fais profiter mon voisin et je rentabilise mon achat."
C’est la mise en communauté de biens, de compétences, de services et de moyens.
Nous reproduisons sur cette page la typologie des services de partage et de consommation collaborative que nous avons élaborée dans le premier chapitre du livre. Nous la compléterons au fur et à mesure, car de nouveaux services apparaissent tous les jours ! Merci à la graphiste Nelly Mary pour les 4 pictogrammes illustrant notre typologie. La diffusion de cette liste est soumise au Creative Commons (libre reproduction, non commercialisation et citation de l’auteur).
Ekovore, «premier composteur partagé au monde» a été inauguré le 11 octobre à Nantes. Ce mobilier urbain technologiquement abouti pourrait se multiplier en Europe.
Boostée par les réseaux sociaux, la consommation collaborative est partout: appartements, voitures, repas ou même boulots et services… les trois quarts des Français ont déjà participé à cette nouvelle économie parallèle. Mais que cache-t-elle ? GQ a enquêté sur notre récente compulsion échangiste.
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