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As part of our series on the 100 Women Who Are Co-Creating the P2P Society, the P2P Foundation’s Rachel O’Dwyer interviews Francesca Musiani of the Institute for Communication Sciences and the Centre for the Sociology of Innovation. 
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This Peer-to-Peer economy that is rising up to replace the Industrial/Information economy is difficult to see in its totality, but is everywhere around us.
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Michel Bauwens, théoricien du pair à pair, sort la semaine prochaine son nouveau livre Sauver le monde, Vers une société post-capitaliste avec le peer-to-peer. L’occasion pour Julien Cantoni de lui poser quelques questions en prévision de l’événement que nous organisons autour de Michel Bauwens le 18 mars. Comment définiriez-vous l’économie p2p et qu’apporte-t-elle spécifiquement ? La spécificité de l’économie p2p est qu’elle repose sur des communautés de contributeurs qui cherchent avant tout à créer du commun sans se soucier, à priori, du profit qui pourra en être dégagé. Ces communautés produisent des ressources qu’elles partagent pour répondre à leurs besoins avant tout, sans pour autant renier toute forme de profit. Le profit peut en être une résultante mais pas l’objectif et quand il survient, il bénéficie aux contributeurs. Le p2p, qui est une forme d’économie de réseaux, en ce sens se distingue d’autres formes d’économies naissantes basées également sur des logiques de réseaux, dans lesquelles des individus réalisent des transactions sous la forme collaborative mais qui, pour certaines, restent très installées dans la logique du profit et de la compétition. Ces formes d’économies s’apparentent à l’économie p2p mais leur finalité n’est pas orientée vers les communs.
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For a peer-to-peer approach to collective intelligence It’s eight a.m. on a Monday morning in 2007. In the Arcueil examination centre, a thousand heads crane with difficulty over wooden desks that are damaged by pens scratching across thin sheets of paper. Railway lines surround the enclave; trains make the building shudder rhythmically; the heads lookup for a minute, distracted, then return to concentrate on the studious, urgent writing of their paper. Invigilators wander the rows, imperturbable, watching every head that turns, every hand hiding in jean pockets. Only the noise of crumpled paper can be heard and, when this fades away, the room is deathly silent. A thousand pupils have been gathered here for six hours to answer a difficult question. All interaction with their peers is forbidden and, if an unexpected memory lapse should halt their train of thought, they cannot consult their notes. The essays produced by the pupils will sink into oblivion, stored in a dedicated hanger that has housed examination papers for many generations.
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Anthony Morel décrypte sur BFM Business le phénomène de la sharing economy ou économie du partage. Cette « consommation collaborative » permet grâce à la mise en relation sur Internet de louer sa machine à laver, sa perceuse ou une partie de sa cave. Le site français Sharewizz propose, lui, de faire du prêt gratuit d’objets entre particuliers.
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De nouveau la France se trouve partagée dans un débat de société : autorisation d’ouvrir les magasins le dimanche ! Entre ceux qui veulent faire leurs courses le dernier jour de la semaine et ceux qui souhaitent conserver des privilèges sociaux acquis il y a fort longtemps, un bras de fer s’entame.
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« Offre une heure d’anglais contre cours de jardinage ». Ce genre de proposition ne déroute plus personne. C’est du P2P (Peer-to-Peer) ou Pair-à-Pair. Au-delà des échanges non marchands de fichiers entre individus, ils sont nombreux, comme Michel Bauwens, fondateur de la P2P Foundation, à y voir une alternative à l’économie traditionnelle. A l’occasion de l’initiative Villes en Biens Communs (6 au 20 Octobre 2013) et de la conférence sur les Biens communs organisée à la Bpi le 14 otobre 2013, Michel Bauwens nous précise son approche du Pair-à-Pair.
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Un «village de transition vers le monde de demain» surgit à Genève, comme dans une centaine d’autres localités depuis 2013. 20 000 personnes y sont attendues
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Les incroyables possibilités de l’économie collaborative, - le peer-to-peer-, vues par son théoricien belge Michel Bauwens
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La consommation collaborative, une affaire exclusivement en ligne ? Pas forcément - car qu’on souhaite louer un appartement, une perceuse ou une voiture, il faut bien se rencontrer "pour de vrai" à un moment ou un autre. Et comme 80 % des échanges entre particuliers ont lieu dans un rayon de 20 kilomètres autour de leur domicile, la ville et ses environs pourraient bien être l’échelle naturelle pour les pratiques collaboratives. C’est en tout cas le pari que fait, dans la lignée du Streetclub de l'enseigne anglaise B&Q, une nouvelle plateforme sur le point d'être lancée dans l’agglomération nantaise, sous la forme du premier pilote local de la plateforme d'économie collaborative Monecocity.fr, initié par une association locale : Nous & Co. Concrètement, la plateforme n'est pas spécialisée sur un service en particulier (covoiturage, revente d'objets d'occasion, etc.) mais propose un espace d'échanges et d'interactions, avant tout ancré localement, qui permet de faire découvrir des plateformes existantes ou de leur permettre de s'organiser pour lancer leur propre service.
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Jobbing ? Un de ces mots dont l’internet a le secret… En bon français, il s’agit tout simplement d’entraide payante. Bref de l’échange ou la vente de compétences via des sites spécialisés. Le jobbing, puisque c’est ainsi qu’on l’appelle, est en plein essor, malgré les limites fiscales.
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La consommation collaborative, une affaire exclusivement en ligne ? Pas si sûr : qu’on loue un appartement, une perceuse ou une voiture, il faut bien se rencontrer « en vrai » à un moment ou un autre. Et comme 80 % des échanges entre personnes ont lieu dans un rayon de 20 kilomètres autour de leur domicile, la ville et ses environs pourraient bien être l’échelle naturelle pour les pratiques collaboratives. C’est en tout cas le pari que fait Nous & Co, une nouvelle plateforme qui se lance officiellement aujourd’hui sur l’agglomération nantaise. Rencontre avec Gaëlle le Rézollier, co-fondatrice de l’association.
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Au cas où vous ne l’aviez pas remarqué la consommation collaborative est en pleine expansion ! C’est le buzz du moment ! Et après la location de chambre, de siège de voiture, etc etc Voici qu’on s’entraide pour les déménagements. Et quand on voit les tarifs pratiqués par les agences de déménagements, on se dit ‘mais pourquoi n’y ais-je pas pensé plus tôt ?’ Aidez vous les uns les autres ? “This is a revolution” auraient dit bien des oracles de l’innovation :)
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La consommation collaborative... Quel drôle d’expression ! Quel rapport entre le fait de consommer (pour soi) et de collaborer (avec les autres) ? C’est acheter pour soi-même tout en étant altruiste... ???
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