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Un activiste franco-japonais fabrique depuis la Chine de petits voiliers sans pilote qui permettent de dépolluer les océans. Avec Protei, vous allez pouvoir nettoyer la mer avec un drone marin...
Du 20 juin au 18 octobre, COAL présente « Open Source », seconde exposition de sa trilogie Think global, Act local au Centre Européen d’Actions Artistiques Contemporaines de Strasbourg. Tendance contestataire pragmatique et éparse, le développement de l’open source dont témoignent et qu’accompagnent les artistes ici présentés, critique la modernité qui a porté aux nues l’individu et survalorisé l’idée au détriment de sa réalisation. Cette posture est aujourd’hui largement remise en cause par les tenants d’un autre modèle de société, plus collaboratif, qui ont choisi d’élaborer une forme de démocratie participative en se libérant du copyright et en favorisant la réappropriation des ressources, des connaissances et des savoir-faire par tout un chacun.
Vous avez peut-être déjà entendu parler Wikispeed, le projet de voiture open source lancé par Joe Justice à Seattle. Vous pensez peut-être qu’une « voiture open source » est une idée paradoxale. En fait, cela a beaucoup de sens.
Wikispeed publie des plans open source pour une voiture qu’ils construisent eux-mêmes avec des matériaux standards que l’on peut trouver dans n’importe quel magasin de matériel. L’idée est que toute personne ayant un accès à Internet, vous y compris, peut télécharger les plans, construire sa propre voiture avec, la tester, améliorer la conception et la republier. Et c’est comme ça que font les centaines de personnes qui y participent déjà.
Réchauffement climatique, épuisement des ressources, inégalités, … alors que ces crises deviennent chaque jour plus urgentes, le modèle “open source” peut-il ouvrir une nouvelle voie, à quelques mois de la conférence Paris Climat 2015 (COP21) ?
La révolution numérique et la diffusion massive d’internet permettent aujourd’hui aux citoyens du monde entier de s’informer, d’échanger, de s’exprimer plus facilement. Elles donnent à la société civile de nouvelles capacités d’agir et font naître ainsi de nouvelles pratiques sociales. Pour l’État, elles se traduisent par une nouvelle exigence d’ouverture.
Via Bruno Hour, Aurélien BADET
Have you ever tried to grow your favorite summer vegetable or garden herb and something went wrong? Maybe it was poor planting, a disease, or a pesky insect. Likely, you searched the Internet and found some answers, but millions of pages of information remains unviewed and unread on the subject. Maybe you need to troubleshoot problems or want definitive answers to questions like when to plant for your area or exactly when to fertilize. This is how the idea for OpenFarm sprouted. The knowledge for all these answers is out there, it's just not in one place.
Open cultures, open solutions Doublement parrainée par HUBERT REEVES et CLAIRE KEIM, cette édition 2014 se place sous le signe de l’ouverture. Le Festival ATMOSPHERES 2014 vous propose une programmation éclectique et pluridisciplinaire avec films, expositions, conférences, spectacles, concert et manifestations participatives. En abordant notamment les questions du crowdfunding ou des FabLabs, formes novatrices et citoyennes de coopération, le Festival Atmosphères se pose comme un évènement où il s’agira de penser des solutions plutôt que de dresser un constat alarmiste de la situation environnementale. Parce que c’est dans l’art, le partage, la recherche et le débat d’idées que naissent les initiatives, nous vous proposons d’inventer avec nous des solutions durables pour un monde durable.
Dans le cadre d’une économie collaborative et dans un souci de production durable et efficace, FarmBot élabore des machines agricoles de précision en open source.
L’Open Food Foundation a développé des logiciels Open Source pour fournir les moyens informatiques nécessaires à la création de business modèles soutenant l’alimentation d’avenir. Alors que les entreprises alimentaires qui privilégient la nourriture éthique, durable et saine se multiplient, beaucoup font face à des obstacles importants liés aux coûts administratifs et informatiques. L’association d’origine Australienne, Open Food Foundation souhaite aider ces entreprises en partageant les connaissances, les expériences et en créant un réseau d’entraide. C’est en mettant à disposition des logiciels Open Source que l’association compte soutenir ces fermiers locaux, coopératives et autres producteurs, dans un idéal commun visant à renforcer l’économie locale, donner accès à la population à une alimentation meilleure et à rééquilibrer les rapports de force entre producteurs, distributeurs, et consommateurs. Ce projet vise à développer un système flexible qui peut être utilisé, adapté et connecté à plusieurs autres systèmes.
Musique, voitures, maisons, avions... l'esprit du libre essaime aujourd'hui de l'univers du logiciel au monde réel. Bonne nouvelle: cela va de pair avec la durabilité. Focus sur cinq exemples à suivre.
Chicago a développé SmartData, un programme disponible en Open Source, permettant de bénéficier de l’afflux des données afin d’améliorer la gestion des villes.
Si les abeilles disparaissaient de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre, estiment certains apiculteurs. Or on assiste depuis une décennie à un phénomène inquiétant en Europe : le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles. Et si le Libre permettait d’améliorer la situation en rendant plus accessible la création de ruches ? Tel est, en gros résumé, l’objectif principal du projet Open Source Beehives qui propose, entre autres choses, des plans de ruches à monter soi-même sous licence libre (CC By-SA).
Ils fabriquent des machines libres de droits, sans brevet. Des engins à construire soi-même, sorte de meccano géant, écologique et à moindre coût. Pour bâtir des maisons, produire de l’énergie, faire cuire des aliments, extraire des matériaux ou cultiver la terre. De quoi construire un village. Ou une civilisation. Leur objectif : éditer plans et modes d’emploi, construire des prototypes, expérimenter, partager et diffuser à tous, pour faire vivre cette révolution industrielle d’un nouveau genre. Des États-Unis à l’Isère, bienvenue dans l’univers des pionniers de « l’écologie open source ».
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Showerloop is a water filtration and purification system that recycles shower water in real time allowing you to shower with hot water for a long time but only use 10 liters of water per shower (normal shower = ~6-10l/min) and a fraction of the energy (around one tenth) compared to a normal shower. The device can be installed inside or outside of a shower stall or bathtub. The main components are a pump, sand and activated carbon filters and a UV-lamp. The system weighs around 20kg and is made from transparent acrylic, steel or plastic pipe connectors and copper, plastic or rubber tubing.
The total cost of the most simple version has cost me around 600€ (~$655 US) depending on availability and pricing of local materials and the components used.
A Millemont dans les Yvelines, une centaine de personnes sont réunies en ce moment dans un château pour la Poc 21. Un camp d'innovation qui réunit les cerveaux d'aujourd'hui. L'objectif: proposer 12 projets open-source, simples et accessibles. Des inventions que chacun peut reproduire chez lui pour agir individuellement pour le climat. Poc 21 veut prouver en amont de la Cop 21, la conférence mondiale sur le climat en décembre prochain à Paris, que tout le monde peut faire bouger les choses à son niveau.
Via Bernard BRUNET
POC21 (Proof Of Concept 21) est un accélérateur de modes de vie durables et open source, co-produit par OuiShare et OpenState. En 2015, nous rassembleront les meilleurs projets open hardware pour modes de vie durable, aux côtés d'un panel de mentors et experts internationaux, pour prototyper ensemble l'unité la plus fonctionnelle et réplicable d'une société vraiment durable, et la mettre sous les deux de la rampe avant la conférénce Paris Climat 2015 (COP21).
L’Urbolienne, première micro-éolienne urbaine open source, pourrait bientôt changer la donne en matière d’énergies renouvelables domestiques.
Après les champs d’éoliennes offshore et les hélices sur les crêtes, place aux toitures des immeubles ! L’éolien urbain pourrait enfin gagner des points dans la course aux énergies renouvelables domestiques. L’Urbolienne, prototype de micro-éolienne développé par le bureau d’études français Aeroseed, génère de l’énergie sur des sites où le vent est irrégulier et change souvent de direction, ce qui est le cas en ville. Une innovation qui change la donne. A la différence du solaire qui colonise les maisons particulières depuis longtemps, l’éolien domestique est souvent boudé en raison de son coût élevé, de son manque de rentabilité et de l’irrégularité de sa production d’énergie lors de vents aléatoires, systématiques en zone urbaine.
Fablab, financement participatif, machine auto-réplicable, open source hardware, monnaie locale et/ou virtuelle, tout cela ne préfigure-t-il pas un écosystème qui tendrait à s’affranchir à la fois du marché et de l’État ?
Via Michel Briand, Bernard BRUNET
Le mouvement des Graines en "open source" place les semences dans le domaine public, pour empêcher qu’elles soient brevetable.
Des produits conçus par des citoyens en "open source" aux "fablabs" qui parient sur un nouveau modèle industriel, l'innovation sort des sentiers battus, portée par les salariés et les consommateurs eux-mêmes.
Le saviez-vous, 10 kg de nourriture produisent 9 kilos d’insectes! C’est le rapport le plus élevé de productivité par rapport aux autres élevages (à savoir : 10 kg font 1 kg de boeuf)! Outre ce taux, il s’agit d’une source quasi garantie de nourriture incluant une grande variété de goûts. Bref… Si je vous en parle, c’est parce que beaucoup d’emplois peuvent naître de la création de fermes d’élevage. Et aussi parce qu’une deuxième opportunité s’offre à nous : celle de créer une ferme d’élevage sur mesure pour les besoins de notre famille. Et pour ce faire, il existe un kit complet « open-source » plug and play >>> CLic Clic Clic. Les insectes sont mangés un peu partout dans le monde… Question d’habitude.
Je me souviens clairement d’une discussion que j’ai eue avec un producteur de films qui soutenait que les licences libres ne pouvaient réellement fonctionner que dans le domaine des logiciels et dans celui des encyclopédies en ligne. En dehors des logiciels libres et de Wikipédia, la création culturelle, qu’il s’agisse de livres, de films, de musique ou de jeux vidéo, présentait selon lui de trop fortes spécificités pour autoriser la mise en place de modèles économiques viables, capables d’assurer une diffusion de l’oeuvre au public et de rémunérer les créateurs.
Via association concert urbain, Bernard BRUNET
Le monde de l’open source réserve pas mal de surprises et ne se limite plus depuis longtemps aux logiciels. Nous pouvons désormais trouver un peu de matériel et pas mal de contenus open source, mais je n’avais pas encore vu de véhicules « Libres ».
L’Équateur a lancé une initiative visant à faire se rencontrer les communautés indigènes et des chercheurs autour du partage de la connaissance. Ce pays a entrepris de refonder son économie en déclenchant une transition nationale vers une société de la connaissance libre et ouverte à travers le projet de recherche Free/Libre Open Knowledge (FLOK) dirigé par Michel Bauwens. L’Équateur devient ainsi le premier pays à s’engager dans la création d’une société basée sur la connaissance ouverte comme biens communs.
Le 26 novembre 2013, 150 participants du forum Innovafrica a Abidjan sont venus dans le quartier de ALLAHKRO pour apprendre a cartographier avec l'aide de OpenStreetMaps CI et OpenStreetMaps TOGO. Ils ont decouvert que les 2000 habitants du quartier n'existaient sur aucune carte, que personne ne savait que des enfants allaient a l'ecole dans ce quartier et que les habitants doivent etre expropries pour construire un barrage. Si les participants d'InnovAfrica ont appris a cartographier, les habitants du quartier ont appris l'importance d'etre cartographie pour exister. Le projet ALLAHKRO va continuer a former des personnes a la cartographie tout en aidant les habitants des bas quartier.
Via Bernard BRUNET
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