On a contracté les termes écologie et génocide pour définir un nouveau type de crime : le crime contre l’environnement. Il ne suffit plus de dire « c’est mal », certains actes doivent désormais être considérés, aux yeux du droit international et du droit interne aux Etats, comme des crimes contre la planète.
Le terme d’écocide est utilisé pour désigner les cas les plus graves d’atteintes à l’environnement c’est-à-dire « la destruction d’un écosystème sur un territoire donné, par la faute de l’homme ou par d’autres causes, à tel point que la jouissance pacifique de ce territoire par ses habitants a été sévèrement diminuée ».