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D’un côté, une maison d’argile rudimentaire, imprimée en 3D pour presque rien grâce à une machine géante italienne. De l’autre, une cabine en bio-plastique à louer pour la nuit des architectes néerlandais DUS.
La course à la première maison 3D durable s’accélère. Après le premier hôtel de luxe, jacuzzi inclus, imprimé en 3D aux Philippines en 2015, les prouesses technologiques de l’entreprise chinoise Winsun (son village assemblé en 24h, son immeuble de cinq étages et sa villa de 1000m2) ou encore le Contour Crafting, cette méthode développée aux États-Unis qui permet la construction d’édifices en un seul bloc et à large échelle, c’est à l’Europe de montrer ses muscles en matière d’impression 3D pour l’architecture.
Fablab, financement participatif, machine auto-réplicable, open source hardware, monnaie locale et/ou virtuelle, tout cela ne préfigure-t-il pas un écosystème qui tendrait à s’affranchir à la fois du marché et de l’État ?
Via Michel Briand, Bernard BRUNET
Il n’aura fallu qu’un seul jour pour fabriquer la première maison par impression 3D et c’est dans la ville de Shanghai que cela s’est passé il y a quelques semaines. C’est la société Shanghai WinSun Decoration Engineering Co qui est à l’origine de ce baptême dans l’industrie de la construction et explique travailler depuis plusieurs années sur la machine et les matériaux de construction. L’imprimante 3D développée par le groupe chinois est imposante, elle mesure 32 mètres de long, 10 mètres de large pour 6,6 mètres de hauteur et permet de réaliser des murs en seulement quelques heures. Aucune photo n’a toutefois été dévoilée pour le moment. Le matériau d’impression utilisé est également innovant et éco-responsable, il s’agit d’un béton composé à base de ciment et de fibre de verre, issus de déchets de construction. Les dix maisons imprimées en 3D mesurent 200 m2 chacune pour un coût de seulement $4800, soit environ 4300€ !
Berthier Luyt, fondateur de la société FabShop spécialisée dans l'impression 3D à base de plastique d'algues et co-auteur du livre "L'impression 3D" (Eyrolles), est l'invité des Nouveaux Mondes de l'Innovation avec Jérôme Colombain et Edwige Coupez.
L’impression 3D est un phénomène de société annoncé. Tout le monde en parle et prédit à cette technologie un grand avenir, certains évoquent même une troisième révolution industrielle. Mais cette innovation n’est rien sans des objets modélisés en 3D à imprimer. Et parce qu’il n’est pas donné à tout le monde d’avoir une âme d’artiste ou de maîtriser les logiciels de création 3D, Cults met en valeur le travail de tous les designers qui feront que demain, l’impression 3D deviendra réellement ouverte à tous.
Une imprimante tridimensionnelle suffisamment petite, facile d'utilisation et à un prix abordable pour être utilisée par n'importe qui? Il y a quelques années de ça, beaucoup d'entre nous n'y auraient pas cru. Néanmoins, des appareils tels que le MakerBot donne aujourd'hui la possibilité de concrétiser toujours plus de désirs de création de nouveaux objets et de nouvelles productions: au-delà d'objets simples de la vie courante, le spectre des applications est infini, par exemple la médecine (impression de prothèses), la cuisine (impression de gâteaux), ou même la construction de bâtiments (empilage de briques par des hélicoptères robot).
Les partisans de l'impression 3D déclarent qu'il s'agit là d'une innovation majeure pouvant modifier radicalement un certain nombre d'industries. "L'Impression 3D sera plus révolutionnaire que l'internet" déclare Abe Reichental, Président du groupe américain 3D Systems, le plus grand fabricant mondial d'imprimantes en trois dimensions à Peter Marsh, Rédacteur en chef du Financial Times. Même si pour certains cette info ressemble à un "marronnier", elle demeure néanmoins une des innovations majeures en devenir.
Via Bernard BRUNET
Une étude dévoile les avantages d'une imprimante 3D pour un usage domestique et révèle les mécanismes de valorisation de ces objets.
Via Michel Briand, Bernard BRUNET
Une imprimante 3D pourrait produire de la nourriture grâce à de la poudre. La NASA pourrait bien contribuer à une grande révolution. L'agence américaine de l’aérospatiale a financé un projet d’imprimante 3D de nourriture, initié par l’entreprise américaine Systems and materials research corporation (SMRC). Son patron, Anjan Contractor, s’est vu remettre une enveloppe d'environ 96.000 euros pour le développer en six mois. Click here to edit the content
Une embarcation en plastique recyclé grâce à l’impression 3D Des bouteilles servent à la réalisation de latrines ou de systèmes de récupération d’eau dans des pays en développement. Des constructions comme des petites embarcations ou des latrines peuvent être réalisées à partir de déchets plastiques tels des bouteilles de lait ou de soda, relate le site NBCNews.com. Ce concept a valu à un étudiant de l’université de Washington de gagner un prix de 100 000 dollars lors du concours « 3D4D Challenge » consacré à l’impression 3D comme moyen d’aider les pays en développement.
Via imprimante3d-lemag, Aurélien BADET
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Dans un récent communiqué de presse, le groupe industriel Siemens annonce avoir investi près de 200 millions de couronnes (soit environ 21,3M€) pour l’ouverture d’un centre de production spécialisé en fabrication additive métal. Basé à Finspang en Suède, l’usine est la première du genre dans le pays et aura pour mission de fabriquer et de réparer des ...
Via Eyrolles
L’industrie du jouet stagne au niveau mondial à 60 milliards d’euros depuis la récente crise économique et financière due à une baisse de moral et de pouvoir d’achat des ménages.
Appel à tous les Makers ! La révolution n’est ni sur internet, ni dans l’impression 3D, elle est en chacun de nous ! Aujourd’hui, nous vous présentons un projet un peu particulier. Il concerne selon l’ONU, 2,4 milliard d’êtres humains. Un chiffre représentant le nombre de personnes qui n’ont pas accès à une eau claire, limpide, tout simplement potable.
Que peut-on imprimer en 3D ? Exemple d'objets trouvés à La Poste de Boulogne-Billancourt Début décembre 2013, La Poste a inauguré une nouvelle offre d'impression 3D dans trois de ses bureaux parisiens.
Il deviendra possible d'imprimer des objets en 3D sans utiliser de plastique : le Seaweed Filament.
Warhammer, Lego, jeux de société : les joueurs pourront-ils un jour imprimer chez eux leur propre matériel en se passant des produits d'usine ? Dans l’étroit local embouteillé du « Petit fablab de Paris », on peine à imaginer que le fragile cube jaune qui bourdonne dans un coin deviendra peut-être un jour le fossoyeur de pans entiers de l’industrie mondiale. Connectée à un ordinateur, l’imprimante 3D de cet espace associatif fabrique patiemment une figurine de quelques centimètres de haut qui n’est pas sans rappeler les « Warhammer », une collection de figurines qui compte des milliers d'amateurs en France. Anis Semmar, étudiant en école d’ingénieurs, a « imprimé » un fichier .STL définissant les coordonnées de la figurine, mis à disposition gratuitement par un utilisateur sur une plateforme en ligne bien connue des habitués. Une heure plus tard, la silhouette un peu grossière mais néanmoins reconnaissable d’un « Space Marine », constituée de centaines de couches de plastique liquide empilées, trône sur le plan de travail du fablab. Le tout, sans passer par la case boutique.
Remplacer une pièce défectueuse d’un appareil est désormais possible grâce aux imprimantes 3D, ouvrant ainsi peut-être la voie à une société moins consumériste.
Via Laurence, Bernard BRUNET
Révolution industrielle d’un nouveau genre ou mode sans conséquence ? Le réel impact de l’impression 3D reste flou. Dans un article de Wired, Carl Bass (@carlbass, Wikipédia), CEO d’Autodesk, se penche sur les avantages et les limites de cette technologie.
François Hollande souhaite renforcer l'aide aux PME par des avantages fiscaux. Mais l'avenir de l'emploi et de l'innovation n'est pas nécessairement dans les PME. Imprimante 3D, nanotechnologies, moteur à hydrogène, gaz de schiste... Les innovations technologiques pourraient bouleverser le futur de l'économie mondiale.
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