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En 2018 les élevages en agriculture bio devront utiliser un aliment 100 % bio. Des pistes pour substituer le soja sont en cours d’étude.
Les élevages en agriculture biologique devront d’ici 2018 passer à une alimentation 100 % bio. Aujourd’hui la réglementation accepte que 95 % de la composition de l’aliment soit issue de l’agriculture biologique. Ce changement va avoir un impact non négligeable sur le coût alimentaire et donc sur les résultats économiques des exploitations. « Quelles stratégies devront adopter les éleveurs face à l’échéance 2018 ? Quelles sont les nouvelles matières premières innovantes ? », voici les questions auxquelles Coline Brame, du pôle aviculture de la Chambre d’agriculture des Côtes d’Armor a tenté de répondre lors de la journée régionale alimentation et santé en agriculture biologique.
Cowspiracy est un documentaire d’importance majeure. Controversé, il se penche sur l’impact de l’élevage sur l’environnement. Kip Andersen, producteur et directeur du film, révèle des informations exclusives portant sur les politiques de groupes environnementaux comme Greenpeace, Sierra Club, Surfrider Foundation, and Rainforest Action Network en plus de statistiques alarmantes sur les impacts que génèrent la consommation de viande.
Inédit. En Belgique, une avancée symbolique en matière de bien-être animal vient d’être franchie. A l’initiative du projet, le ministre compétent en la matière, Mr. Carlo Di Antonio, vient de faire adopter par la commission environnement du parlement Wallon un projet de décret visant à interdire les élevages d’animaux pour leur fourrure. Celui-ci doit encore être voté en séance plénière le mercredi 21 Janvier.
Il était attendu par les éleveurs et les associations de protection du loup depuis près d’un mois. Hier, l’arrêté fixant de nouvelles modalités de prélèvement de loup a été publié au Journal officiel. Cet arrêté, en date du 5 août, intervient après près de deux mois de polémique. En effet, après une réunion, organisée le 27 juin avec les préfets des départements les plus concernés par le prédateur, la ministre de l’écologie Ségolène Royal avait affirmé sa volonté de permettre que « des prélèvements de loups puissent être réalisés avec succès« .
Un institut berlinois a développé une nouvelle technologie verte. Appelée « aquaponie », elle combine culture des légumes hors-sol et élevage de poissons. Une start-up essaie de promouvoir cette nouvelle agriculture, urbaine et durable.
Tilapia. Savez-vous vraiment ce qui se cache derrière ce nom ? Ce poisson d’élevage est en passe de devenir le plus consommé au monde. Même le WWF recommande d’en manger. Mais certains producteurs peu scrupuleux et courant après le profit n’hésitent pas à le nourrir avec… des excréments.
C'est le nombre de km2 de soja cultivés dans le monde. D'après une estimation réalisée par le WWF et relatée par Good planet, la superficie des cultures de soja a été multipliée par 10 en cinquante ans sur la planète.
La célèbre émission du jeudi soir, sur France 2, s'est penchée sur les conditions d'élevage de deux poissons les plus vendus : le saumon et le panga.
Les insectes, qui se reproduisent rapidement, "présentent des taux de croissance et de conversion alimentaire élevés et ont un faible impact sur l'environnement pendant tout leur cycle de vie", note l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). En outre, les insectes "sont nutritifs, avec une teneur élevée en protéines, matières grasses et minéraux" et "peuvent être consommés entiers ou réduits en poudre ou pâte et incorporés à d'autres aliments", précisent les experts de l'ONU.
Via Damoclès
Ce n’est pas vraiment une grande surprise: on a scientifiquement mesuré combien le mode de production des oeufs influe sur leur intérêt nutritionnel. Le label Bleu-Blanc-Coeur a fait faire une étude pour le démontrer.
Les ressources naturelles à la base de l’alimentation de l’homme et des animaux sont gravement menacées : déforestation, surexploitation des sols, élevage intensif, pollutions des océans. C’est en constatant que ces problèmes sont liés au mode de vie adopté par les grands pays industrialisés que le Dr Jane Goodall a commencé à s’intéresser de près à la nourriture des hommes, une nourriture de plus en plus dénaturée.
Via Tinkuy
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Florian et Jessica sont deux jeunes diplômés qui ont de la suite dans les idées. Leur projet, c’est Osmose, une technique agricole non-conventionnelle qui consiste à produire des salades et des truites en symbiose et de manière écologique. Une approche qui n’a aujourd’hui rien d’étrange, c’est l’aquaponie.
25 000 personnes selon la police – deux fois plus selon les organisateurs – ont défilé à Berlin le 17 janvier contre les « usines à animaux », la nourriture génétiquement modifiée et le projet de traité de libre échange entre les Etats-Unis et l’Europe (Tafta). Plus de 120 organisations ont participé à la cinquième édition de la manifestation « Wir haben es satt ! » (Nous en avons assez !), qui se tient chaque année à l’occasion du salon agricole européen.
Vue par plus d’1 million d’américains en quelques jours, cette vidéo ne montre pas des poussins broyés ou des animaux maltraités pour vous prendre par les sentiments. C’est simplement l’histoire de Craig Watts, un fermier industriel qui va faire ce qu’aucun autre n’a fait avant lui : ouvrir les portes de son usine et montrer sa réalité.
Deux tiers des poulets vendus dans le pays sont contaminés par le Campylobacter, une bactérie potentiellement mortelle. Seuls les traitements chimiques pourraient arrêter la contamination, explique The Guardian, à l'origine de cette enquête.
Depuis mai 2013, la commune de Villers-les-Pots, en Côte-d’Or (21), possède son poulailler, initiative ludique pour impliquer les jeunes dans la réduction des déchets produits par les familes. Ce poulailler communal est le fruit d’une initiative partagée, entre les enfants de la commune, les parents et les élus. Il a été inauguré en mai 2013 sur un terrain prêté par la commune. Cette dernière a financé une partie du matériel nécessaire à sa construction, le reste ayant été réuni et donné par les habitants du village,qui ont prêté main forte à l’employé communal pour la construction.
C'est la part que représentera l'aquaculture dans la consommation globale de poissons à l'horizon 2030. Deux poissons consommés sur trois auront grandi dans des fermes aquacoles à l’horizon 2030, selon un rapport de la Banque mondiale, de la FAO – l’organisation des Nations unies pour l’agriculture et la pêche – et de l’Institut international de recherche sur la politique alimentaire publié ce mercredi.
Une ferme en miniature en bois des Pays Bas. Un jouet d’enfant qui contient un message sans équivoque. Le designer néerlandais Tomm Velthuis a conçu une ferme en miniature, pour « cultiver une meilleure compréhension de l’endroit où provient la nourriture dans nos assiettes » et mettre en lumière la réalité de l’industrie de la viande, nuisible pour l’environnement. L’ensemble en bois est livré avec 200 porcs, les énormes quantités de nourriture nécessaires pour les engraisser, les arbres qui doivent être compensés pour les cultures fourragères, et la pluie acide causée par le fumier de porcs. La création, emballée comme un jouet d’enfant, est appelée Toy Farm.
Sur le territoire américain de Guam, un projet de loi espère transformer les déchets alimentaires en aliments pour animaux avec le triple but de réduire l’encombrement de la décharge, générer des revenus et contribuer à la sécurité alimentaire de l’île. De l’assiette à la mangeoire Avec près de 17 000 tonnes de déchets alimentaires par an, soit 30 pourcent de l’ensemble des déchets, Guam voit dans leur transformation un potentiel de 3 millions de dollars de revenus annuels. Un projet de loi propose d’utiliser une partie des taxes sur les ordures pour financer la transformation des déchets en aliments pour animaux. « Ce que nous aimerions faire c’est détourner les déchets alimentaires, amener les producteurs alimentaires à séparer les déchets alimentaires du reste des ordures et les motiver en offrant des frais réduits pour le dépôt de déchets alimentaires », explique le sénateur Michael Limtiaco.
Aux Etats-Unis, on veut envoyer en prison ceux qui dénoncent la cruauté envers les animaux de venir filmer la réalité des abattoirs, au lieu de punir les bourreaux.
Entre animal protégé et véritable fléau pour les éleveurs, le loup fait aujourd’hui débat. Le Conseil national de la protection de la nature a annoncé vouloir augmenter de 11 à 24 le nombre de bêtes tuées par an dans l’arc alpin, des Alpes-Maritimes aux Vosges.
A la une dans le guide poisson, le tilapia. Vous ne le connaissez peut-être pas, pourtant, il est le poisson le plus vendu sur la planète ! Les tilapias sont des poissons exotiques consommés en abondance partout dans le monde. La dénomination tilapia s’applique en réalité à différents poissons blancs appartenant à la famille des cichlidés, et notamment Oreochromis niloticus – le tilapia du nil, le plus courant – Sarotherodon et Tilapia. Le tilapia est le poisson d’élevage par excellence : c’est une des principales espèces d’aquaculture en Asie, en Afrique et en Amérique du sud. Il est le 2ème poisson d’élevage au niveau mondial, après la carpe.
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