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A l’origine d’une pétition qui a rassemblé plus de 210.000 signatures, le conseiller municipal arrive comme un chien dans un jeu de quille et bouscule le plan de Com de Ségolène Royal.
Au Nigeria, WeCyclers a mis en place un programme de recyclage incitatif permettant aux communautés des quartiers les plus défavorisés d’être récompensées pour le recyclage de leurs déchets. Lagos, capitale du Nigeria, fait face à une véritable crise locale environnementale puisque seuls 40% des déchets sont collectés par les services municipaux dans une ville qui compte à ce jour 18 millions d’habitants et dont la population augmentera de manière significative au cours des prochaines années. Ainsi, en l’absence de service de collecte, les habitants de ces quartiers sont les victimes d’inondations de plus en plus fréquentes, de la propagation de maladies ou encore de stress psychologique lié à la non-gestion de ces déchets. De plus, les entreprises de recyclage de la capitale n’ont pas accès à une quantité suffisante de matériaux à recycler et fonctionnent bien en-dessous de leurs capacités.
Via R-CUBE
Touchées par la crise, les associations humanitaires cherchent de nouvelles sources de financement. Parmi elles, la « générosité embarquée » permet aux citoyens de transformer leurs actes quotidiens, comme les courses ou le footing, en opportunités de dons.
donDans l'écosystème foisonnant du crowdfunding (ou financement participatif), HelloAsso parie sur un modèle économique différent en misant sur la rémunération au pourboire. Un positionnement stratégique autant que militant.
Via Anne-Sophie, Aurélien BADET
roLe crowdfunding, ou financement participatif en français, est un des phénomènes les plus intéressants de la nouvelle consommation coté finances. Comme souvent avec une mode, il y a une floraison d’initiatives et de nouveaux acteurs. Nous en avons recensé une liste, déjà bien fournie, pour vous guider.
La pratique du troc est très ancienne. Elle était, nous disent les historiens, le principal mode d’échange dans l’Egypte des pharaons ou chez les peuples amérindiens. Si en occident elle avait un peu disparu, cette ‘économie sans monnaie’ (pour reprendre notre titre du jour) retrouve aujourd’hui - avec l’émergence d’internet et des réseaux sociaux mais aussi à la faveur de la crise économique - un nouveau souffle. En effet, face à la pénurie, la pauvreté et le chômage; certains n’ont eu d’autre choix que se détourner du système d’échange monétaire classique pour opter pour la pratique du troc mais aussi celle du don.
Voici une idée qui va trouver sa place parmi toutes celles qui nous facilitent la deuxième vie des objets et le grand mouvement de l’économie circulaire. Si vous ne troquez pas vos livres et vos objets sur digitroc, vous pouvez essayer de les donner à vos voisins en utilisant un sac ad hoc : c’est précisémment un sac spécial pour le réemploi qu’a conçue une agence hollandaise
Grâce à l'innovation technologique, chacun d'entre nous peut contribuer à changer le monde. Mode d'emploi, réalisé par Le Club du Business et du Sens de L'Express, avec Convergences et une dizaine d'entreprises et d'associations.
L’idée n’est pas neuve : née au Mexique en 2005 où de nombreux distributeurs le pratiquent, l’arrondi solidaire fonctionne de manière très simple : dès que vous effectuez un achat et que vous réglez en carte bancaire, on vous propose d’en arrondir son montant après la virgule à l'unité supérieure. La somme d’argent ainsi récoltée constitue un micro-don.
Plus de 800 millions d'euros de fonds publics destinés aux rescapés du séisme et du tsunami de mars 2011 au Japon ont servi à des activités sans rapport, allant du décompte des tortues marines à la promotion du vin et du fromage à des centaines de kilomètres des zones dévastées. Plus de 800 millions d'euros de fonds publics destinés aux rescapés du séisme et du tsunami de mars 2011 au Japon ont été dépensés hors des zones touchées, a reconnu le gouvernement nippon lundi. D'après un article de presse, des fonds ont servi à des activités sans rapport, allant du décompte des tortues marines sur des plages semi-tropicales à la promotion du vin et du fromage à des centaines de kilomètres des zones dévastées.
Imaginons que chaque fois que vous achetez un produit, le fabricant en donne un à un consommateur qui n’a pas les moyens de se l’offrir. C’est le modèle d’affaires de la société californienne Toms, fondée par Blake Mycoskie. Une idée simple qui lui a permis de vendre plus d’un million de chaussures. Et d’en donner tout autant aux citoyens pauvres en Amérique Latine ou en Afrique.
Combien d'ordinateurs avez-vous déjà jetés ? Combien de mobiles végètent en ce moment même dans vos tiroirs ? Qu'allez-vous en faire lors de votre prochain déménagement ? En Europe, nous produisons chaque année plus de 11 millions de tonnes de déchets électroniques. 50 millions à l'échelle mondiale. Les innovations technologiques s'enchaînent à un rythme toujours plus soutenu, la pub nous abreuve de must-have et l'obsolescence programmée est devenue monnaie courante : pas étonnant que nous nous débarrassions si facilement de nos écrans, iPods, smartphones et autres ordinateurs, la plupart du temps toujours en état de marche.
Du lundi 25 mars au vendredi 29 mars, l’Agence du Don en Nature (ADN) lance la première semaine du don en nature en France. Chaque année, 400 millions d’euros de produits neufs non-alimentaires sont invendus puis détruits. Selon les chiffres de l’Insee de 2010, plus de 8 millions de personnes, dont 2,7 millions d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté. C’est donc 13,5% de la population qui est concernée par cette opération.
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A en croire Winston Churchill (et on en a très envie) “On vit avec ce qu’on obtient. On construit sa vie avec ce que l’on donne”. Autrement dit, pour accomplir son destin un homme aurait autant besoin de gagner de l’argent que d’en donner. Mais en avons-nous tous conscience ? C’est pour avoir un début de réponse à cette question que cette expérience intéressante a été tentée.
Beaucoup le font déjà, mais des députés veulent en faire une obligation.
Via Guillaume Fouquet
Inventée à Berlin il y a trois ans, la Givebox (littéralement « boîte à donner ») s’est propagée un peu partout dans les rues de la ville. Son principe est basé sur l’échange, on y dépose ce dont on ne se sert plus et on y prend ce qui nous intéresse. Depuis, elle est apparue au Canada, en Espagne, en Angleterre mais aussi en France dans des lieux associatifs ou culturels. Ce phénomène qui est amené à se développer est révélateur d’une grande part des citoyens de vouloir « consommer durable ».
donDans l'écosystème foisonnant du crowdfunding (ou financement participatif), HelloAsso parie sur un modèle économique différent en misant sur la rémunération au pourboire. Un positionnement stratégique autant que militant.
Via Anne-Sophie, Aurélien BADET
I first learned of Gift Economy in a geodesic dome in the gorgeous middle of nowhere, Utah at a Reality Sandwich retreat in 2009. Charles Eisenstein was there speaking, and the sparkle in his eye was infectious. I remember scribbling madly in my notebook as he sat cross-legged with his spine perfectly straight, like a modern day messiah, sharing the good news: We get to do what we love! We NEED to do what we love! The WORLD needs us to do what we love! And there’s enough room for everybody! At the time I didn’t know it mentally, but I felt it in my body: those words were the beginning of the next era of my life.
Burning Man, festival artistique hors norme, attire chaque année des dizaines de milliers de personnes dans le désert hostile du Névada. Leur défi : pendant une semaine, créer une communauté ouverte basée sur le don et l’entraide, sur fond de fête démesurée où tout est permis… À quelques jours de l’ouverture des inscriptions pour l’édition 2014, Ferdinand nous fait le plaisir de revenir sur son expérience de l’été dernier.
Via Collporterre, Bernard BRUNET
Gittip est un système de micro-don régulier (par semaine) auprès de personnes et de projets. De par sa facilité d'usage et la possibilité de donner dès que l'on possède un compte twitter ou github, cet outil permet de rapidement initier un financement participatif. La description du profil permet de spécifier nos actions pour "améliorer le monde" et l'objectif de financement visé. Chaque don est par ailleurs anonyme.
Faut-il donner de son vivant, ou au moment de sa mort? Eric Berseth et Vincent Mudry, respectivement directeur et responsable des opérations de Philanthropy Advisors, nous éclairent.
Quand les utilisateurs s’approprient une liste de méls de dons pour en faire d’autres utilisations. Aujourd’hui j’aimerais partager avec vous mes interrogations de modérateur Freecycle. Pour rappel, Freecycle c’est un mouvement international lancé en 2003 aux Etats-Unis qui favorise les dons entre particuliers. On compte… 4800 groupes locaux dans le monde et 120 en France.
Une charte qui n’a pas force de loi Les membres s’inscrivent sur une liste de mél, où ils peuvent demander ou rechercher des objets. Le tout est gratuit : les objets sont donnés. Les messages passent avant diffusion sous le contrôle d’un modérateur. Il vérifie si les messages sont bien conformes à la charte. Or à Orléans (France) ce modérateur c’est moi. Mon groupe compte 350 membres avec en moyenne un message par semaine. Plusieurs fois je me suis heurté aux limites de la charte Freecyle. Ce document conventionnel d’une page pose les bases de bonnes relations entre les membres sans pour autant poser des limites claires dans le partage d’informations. Soyez gentil, écrivez bien, pas de politiques, de religion ou d’annonces matrimoniales, et les messages ayant pour objet la reproduction des animaux sont interdits, jusqu’ici rien de bien surprenant, mais…
Le nombre qui limite nos capacités à donner, échanger et coopérer Extrait du livre "tirer profit du don : pour soi, pour la société, pour l'économie". Dans un petit groupe, par exemple dans une famille, le don, tout comme l’échange, est naturel. Il nous semblerait totalement ridicule qu’une mère demande à son enfant de lui rembourser tout ce qu’elle lui a donné alors qu’il était jeune ! Nous n’avons pas besoin non plus, dans un petit groupe d’amis, de tenir le compte de ce que nous faisons les uns pour les autres. Nos capacités cognitives sont suffisantes pour nous permettre d’avoir une appréciation de ce chacun fait pour l’autre, tout au moins de façon approximative. Le don, tout comme l’échange d’ailleurs, est donc une faculté naturelle. Mais elle est limitée par la taille du groupe. Lorsque le nombre de personnes de notre entourage dépasse une certaine limite, nous ne sommes plus capables d’appréhender la communauté dans son ensemble et d’y interagir naturellement, par le don ou l’échange, sans recourir à des mécanismes que nous devons inventer.
33 kilos par habitant, c’est le poids des déchets d’ameublement qui serait à collecter chaque année auprès des particuliers, estime l’Ademe. Une situation à laquelle souhaite remédier 24 distributeurs et fabricants de mobilier.
Jacques-Étienne de T'Serclaes est un homme ayant un parcours professionnel dans le monde des grandes entreprises: d’abord Administrateur Indépendant de plusieurs grands groupes, «senior advisor» chez Morgan Stanley et «operating partner» chez Advent international, il se tourne pourtant vers le milieu associatif en 2009, lorsqu’il créé l’Agence du Don en Nature.
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