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D’un jardin partagé à un logiciel « libre », d’une place de village à une encyclopédie en ligne, les « communs » parlent d’une construction sociale et politique nouvelle où se fabrique à la fois de la citoyenneté, une réponse à des besoins (se nourrir, se loger, partager des connaissances, une imprimante 3D…), une nouvelle gouvernance, une pratique démocratique dialoguée avec les institutions publiques, et la possibilité pour chacun de contribuer avec ses compétences à faire société. S’immisçant entre l’état et le marché, cet état d’esprit des « Communs » s’ancre dans des pratiques locales tout en fonctionnant en réseau et en maillant un ensemble de territoires et de pays. Ces nouveaux espaces retissent pour soi et pour autrui le désir d’être en activité, de contribuer, d’être utile, de développer des compétences, de créer de la richesse… en relation à un intérêt général.
Via Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Le protocole de Nagoya, entré en vigueur ce dimanche, doit empêcher le vol des savoirs ancestraux par les industriels. Plongée dans nos placards pour un inventaire, non exhaustif, des produits déjà pillés.
tuMusées en ligne, création artistique digitale, e-commerce de l'art... la multiplication des expériences numériques dans le monde de la culture recoupe des réalités fort diverses. Et la nébuleuse des initiatives rend la lecture de ce secteur naissant éminemment complexe. Comment repenser l'offre culturelle à l'heure de sa dématérialisation ? Comment répondre aux nouveaux besoins d'un « consommateur » d'art ultra-connecté ?
Cherchant à rompre l’isolement et l’ennui redouté des séniors, la jeune entreprise sociale Philomène crée des rencontres intergénérationnelles autour d’activités culturelles et loisirs.
Le secteur de la création culturelle est loin d'être une « danseuse » Mal connu et son poids mal apprécié, le secteur commence seulement à être identifié.
Je me souviens clairement d’une discussion que j’ai eue avec un producteur de films qui soutenait que les licences libres ne pouvaient réellement fonctionner que dans le domaine des logiciels et dans celui des encyclopédies en ligne. En dehors des logiciels libres et de Wikipédia, la création culturelle, qu’il s’agisse de livres, de films, de musique ou de jeux vidéo, présentait selon lui de trop fortes spécificités pour autoriser la mise en place de modèles économiques viables, capables d’assurer une diffusion de l’oeuvre au public et de rémunérer les créateurs.
Via association concert urbain, Bernard BRUNET
C’est une épicerie, bar, café concert. Un lieu multi-services que font vivre les habitants d’une commune du Morbihan : vente de produits bio, production de bière locale, livraisons pour les personnes âgées, lieu de débat... Une coopérative au service des habitants, dont tous peuvent devenir copropriétaires. Petite visite guidée à Augan, où se réinvente le vivre-ensemble.
Via Pierre-Yves JAN, Bernard BRUNET
Comment venir en aide aux jeunes des quatre coins du monde, tout en misant sur le développement de leur autonomie plutôt que sur la charité? Selon certains Artisans du Changement, c?est en les initiant à la richesse culturelle qui les entoure et à l?éducation qu?on leur offre. Outils indispensables à leur épanouissement et leur affranchissement.
Le monde est en train de vivre des transformations profondes, qui construisent une société différente de celle dans laquelle nous vivons aujourd?hui. Dans cette session, l?attention sera portée sur des innovations qui ne sont pas de nature technologique et sont portées par des entrepreneurs ou des citoyens en réseau : économie du partage, circuits courts, villes en transition, entreprises « humaines », financement citoyen, etc. Guidés par des motivations très diverses (initiative économique, solidarité, environnement, etc.), leurs promoteurs redéfinissent les contours traditionnels des sphères économiques et sociales, de la production et de la consommation des biens et des services, et du rapport des citoyens aux institutions publiques et privées. Ils proposent de nouveaux cadres dans lesquels l?innovation technologique peut se déployer en se reconfigurant. Déjà, dans des secteurs aussi différents que l?énergie, l?agroalimentaire, les transports ou la culture, les stratégies conventionnelles sont bousculées par de nouvelles organisations ou de nouveaux business models. Les promesses économiques, sociales et environnementales de ces innovations sont-elles crédibles ? Dans quelle mesure offrent-elles des pistes de renouvellement et de redéploiement pour l?activité économique ? Comment l?action publique peut-elle construire un terreau fertile à l?innovation sociale pour la soutenir sans la stér
Cette année, ce sera le dixième anniversaire de la loi du 1er août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations, la loi dite "Aillagon". L'objectif de cette loi était, faut-il le rappeler, de permettre le développement du mécénat tant côté particulier que côté entreprise, avec des dispositifs fiscaux très incitatifs. Dix ans après, où en est-on?
Loin de combattre les barrières mentales, la mondialisation fait en réalité plus que jamais ressortir les malaises identitaires, selon le penseur français Dominique Wolton. Entretien.
Festivals de musique ou rencontres de théâtre, les événements culturels ont tous un impact sur l’environnement. Voici 3 mesures pour le réduire.
De passage à Marseille les 8 et 9 juin prochain ? Arrêtez-vous à la 16ème édition du festival Etang d’Arts ! Concerts, spectacles, concours de courts-métrages…Les 20 étudiants à l’origine du projet ont prévu un véritable programme de fête.
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Festivals annulés, structures ou associations fermées faute de subventions… Une cartographie recense les bouleversements d’un secteur culturel en berne.
En vert pour la musique, en bleu clair pour les arts de la rue, en jaune pour le théâtre… Au fil des jours, les points colorés s’accumulent sur la Cartocrise collaborative qui recense les suppressions et annulations d’événements, de structures ou d’association en lien avec la culture.
De 48 points le 23 janvier lors de sa mise en ligne sur OpenStreetMap, à 71 cinq jours plus tard et jusqu’à 113 début février, “la carte sera malheureusement toujours en construction” selon Emeline Jersol, médiatrice culturelle au Boulon, un centre national des arts de la rue dans la banlieue de Valenciennes, à l’initiative du projet.
Alors que l'auteur de ce blog continue à négocier pour la publication de son livre "l'écologie au service de l'économie", il entame par cet article, un nouveau travail de rédaction autour de la notion centrale d'Urbaculture. Cet article a pour objectif d'en définir le sens, les articles suivants permettront de préciser les différentes composantes de ce nouveau concept.
En ligne depuis quelques semaines, Covoiture-art.com est un site de covoiturage innovant. Cette nouvelle plateforme intègre une dimension culturelle et permet de découvrir les trésors caché de patrimoine français. Nous avons interviewé les deux jeunes entrepreneurs à l’initiative de Covoiture-Art, Thibault Denis du Péage et Adalaïs Choy.
Avec le financement participatif (crowdfunding) des milliers de projets voient le jour grâce à la générosité des internautes. Une nouvelle plateforme basée sur le modèle de Kickstarter ou encore Ulule vient de faire son apparition sur la toile. Pubslush est dédié aux auteurs voulant de l’aide pour publier un livre (papier ou numérique), en faire la promotion, payer un graphiste etc. Un back office permet de soumettre le projet, montrer quelques pages, fixer le montant dont l’écrivain a besoin. Ici encore, l’auteur a la possibilité de récompenser les généreux donateurs en proposant des incentives. Plusieurs outils sont mis à la disposition de l’utilisateur pour suivre l’évolution du projet. La plateforme ne touche quant à elle que 4% des sommes collectées. Pubslush propose également des programmes pour aider la littérature à entrer dans les chaumières. Pour cela, chacun peut devenir un Ambassadeur. Il y a le Campus Ambassador déstiné aux étudiants et le Professional Ambassador. Chaque moindre s’engage à promouvoir la lecture notamment auprès des jeunes. De plus, pour chaque livre publié et vendu grâce à ce réseau, un livre sera donné à des associations caritatives oeuvrant pour la lecture et l’apprentissage des enfants défavorisés.
Les 5 et 6 novembre dernier, à l’occasion des dix ans de la loi mécénat (ou loi Aillagon), se tenaient au Grand Palais Les entretiens du mécénat, organisé par le Ministère de la Culture et de la Communication. Pour démarrer l’année 2014, voici mes retours et commentaires sur les points clés soulevés lors de ces deux journées riches en intervenants et débats, qui ont constitué un bon « état des lieux » des évolutions du mécénat de ces dix dernières années.
Une importante mobilisation citoyenne se met en place pour donner une seconde vocation à cette gare abandonnée, héritée des expositions universelles de Paris. Les voyageurs au départ de Paris Saint-Lazare l’aperçoivent parfois depuis la vitre du train. La Gare Lisch ne figure pas sur Google Maps, ni sur Wikipédia. Elle est pourtant bien là, plantée entre deux voies ferrées, près de la gare d’Asnières-sur-Seine.
Vous vous rappelez sûrement de l‘appel désespéré du New York City Opera aux deniers publics et surtout privés pour finir l’année 2013 et payer la programmation 2014-2015. Faute d’avoir pu atteindre son objectif (ambitieux) de 20 millions de dollars, l’institution, pionnère de l’opéra populaire, a déposé le bilan en octobre 2013. Nombreux ont été ceux qui ont pointé du doigt l’échec d’appel de fonds auprès du grand public via la plateforme de financement participatif (ou de crowdfunding) Kickstarter.
L’opéra espérait récolter auprès de sa communauté 1 million de dollars minimum et ce en moins d’un mois, tout en sachant qu’elle avait besoin de 6 millions de dollars supplémentaires pour finir le mois de septembre… Moralité, à la date de clôture, le New York City Opera n’avait atteint que 30% de son objectif.
L'Observatoire régional de l'économie sociale et solidaire en Île-de-France vient de publier un panorama thématique, élaboré en étroite collaboration avec le centre régional de ressources et d'animation (C2RA). La publication "La culture, levier du développement économique et social des territoires" met en valeur des données statistiques sur le secteur culturel francilien, les spécificités des acteurs de l'économie sociale et solidaire et des initiatives innovantes.
Antonin Leonard a créé il y a plus d’un an avec Flore Berlingen, Benjamin Tincq et Edwin Mootoosamy OuiShare , la première communauté dédiée à l’économie collaborative, désormais active dans plus de 25 villes en France, en Europe et en Amérique Latine. OuiShare réunit d’ores et déjà plus de 1500 soutiens actifs dans le monde. En cette rentrée 2013, il dresse pour Viuz un bilan de l’état et des perspectives de l’économie collaborative en France et dans le monde.
Mettre des artistes en contact avec des maisons de disque grâce à un algorithme qui mesure l'écoute des internautes, tel est le concept de Noomiz. Est-il possible de soutenir des artistes en écoutant et partageant gratuitement -mais légalement- leur musique sur Internet? C'est ce que propose Noomiz, une plateforme indépendante ouverte au grand public depuis le 1er octobre 2010.
Internet n’est pas seulement un outil idéal pour permettre la rencontre d’une offre et d’une demande favorisant la consommation collaborative. Le réseau joue également un rôle potentiellement beaucoup plus disruptif : la mutation de notre culture commune.
Quelles sont les points de jonction entre artistes et tiers-lieux ? Réenchantement du quotidien, vision du futur, co-création avec le public, mutations des notions de propriété et d'auteur...
Une artisterie dans un tiers-lieu : au-delà du lieu de résidence, des artistes qui illuminent les processus d'un tiers-lieu (coworking, médiation numérique, médias participatifs, fablab, éducation populaire...), des publics co-créateurs, initiateurs, béta-testeurs de création
A Mouans-Sartoux : Accès gratuit Une journée 100% participative, apportez vos crayons de couleur :-)
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