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Palomar5 was the 1st Innovation Camp in Germany. It took place from 9th of October to 24th of November 2009 at the Malzfabrik, a converted former brewery area, located in Tempelhof in the south of Berlin.
30 participants under the age of 30 from 17 countries, internationally selected out of +700 applications, lived and worked together for 7 weeks around the topic "the future of work". The camp team created 12 projects that reached from devices to enable a more haptic transfer of digital data, to oversized light-interfaces questioning the dynamics of control between user and digital device, to a satellite network to connect the global poor to the www.
200m2 d’ateliers professionnels + 800m2 de matériaux de récupération =1000m2 de cohabitation entre matériaux, machines, outils et créateurs
Via R-CUBE
La plasticienne Julie Galland, à Cholet (Maine-et-Loire), confectionne des lampes avec des plaques offset. Elle fait partie de ceux qui incarnent la dynamique créatrice et entrepreneuriale des Mauges. « Il y a 5 ou 6 ans, je devais créer les décors d'un spectacle où les scènes se jouaient dans une usine. Mais il manquait une lampe d'usine, alors j'ai décidé d'en créer une.
Loomio est un outil collaboratif en ligne qui facilite le brainstorming et la prise de décision en équipe. Un outil qui nous vient de Nouvelle-Zélande et qui renouvelle le genre grâce a une interface et des fonctions particulièrement bien pensées.
Via Bernard BRUNET
Depuis 10 ans, l'association francilienne veut faire changer le regard sur le handicap et sensibiliser tous les publics à l'art.
Le 21 et 22 novembre s’est tenu le séminaire européen Entrepreneuriat rural et créativité, à l’abbaye de Amay près de Huy. L’objectif affiché par son organisateur, le Réseau Wallon de Développement Rural, était de rassembler divers acteurs du développement rural afin de réfléchir ensemble aux enjeux actuels du développement économique ainsi qu’aux solutions élaborées en milieu rural pour en stimuler l’économie. Destiné à un public européen, cet événement à réuni 200 participants provenant de plusieurs pays européens (France, Belgique, Écosse, Suède, Portugal, Bulgarie, pays Baltes…) J’ai tenu à y participer en auditeur libre afin de me familiariser avec les problématiques actuelles du développement rural (mon expérience en la matière remonte déjà à 2008) et identifier ce que mes compétences d’anthropologue sociale pourraient apporter au secteur.
La bouteille solaire, c’est d’abord une idée lumineuse qui profite aux habitants des bidonvilles du monde entier. La recette tient en trois ingrédients : une bouteille en plastique transparent, de l’eau et un peu de javel. Une fois remplie de cette simple mixture, la bouteille est fixée à travers le toit de tôle des habitats de fortune via un trou percé pour l’occasion. La lumière du soleil se réfracte alors à l’intérieur de la pièce. L’intensité lumineuse produite équivaut à une celle d’une ampoule de 50 watts.
Dans tous les pays, émergents ou non, les forces de la métropolisation concentrent les fonctions urbaines et activités dans les pôles et accentuent de facto la dissociation domicile-lieu de travail. Partout, les déplacements pôles-périphéries, contraints par le manque d'infrastructures, obligent les usagers à réinventer sans cesse leur mobilité au gré de l'offre. En revanche, les métropoles des pays dits "émergents" accueillent plus favorablement une multitude de systèmes privés et de systèmes D pour organiser la mobilité des individus. Au point que des métropoles développées s'en inspirent parfois ; comme le modèle Ciclovia de la ville sans voiture de Bogota, importé avec bonheur dans de grandes villes américaines ou New York City qui a adopté le modèle des collectivos, sous forme de taxis collectifs ou encore le concept de BRT, né à Curitiba au Brésil. Avec Mexico, ville tentaculaire et chaotique, nous entamons une série de billets sur les déséquilibres, les embouteillages mais aussi les stratégies et agilités des usagers des transports.
Banderoles, kakemonos et autres supports publicitaires. Imprimés pour un évènement, ces supports de communications sont vite obsolètes…et finissent trop souvent à la poubelle. Mais à Saint-Cyr/mer, la municipalité ne jette désormais plus ses supports de communication à la poubelle. Dans la poursuite de sa politique en faveur du développement durable et de son engagement pour la mise en place d’un Agenda 21, la commune de Saint-Cyr/mer ne jette désormais plus ses supports de communication à la poubelle. Environ 5 banderoles par manifestation et 10 kakemonos sont utilisés selon les événements, et c’est désormais Isabelle Gonet qui s’en charge.
Un processus d’innovation sociale comprend plusieurs acteurs sociaux. Chacun d’eux peut jouer un rôle à une étape spécifique du projet ou s’impliquer du début à la fin d’un processus d’innovation sociale. Il peut s’agir de citoyens qui portent des projets, développent les compétences nécessaires au fur et à mesure du déploiement du projet. Dans d’autres cas, il peut s’agir de partenariats entre des organisations influentes.
On peut distinguer certains rôles clés dans le processus : 1 ) Innovateurs sociaux (Social innovator). Ce sont des spécialistes des approches d’innovation sociale qui amorcent le changement et s’investissent principalement au niveau du déclencheur, de l’idéation et de l’expérimentation.
2 ) Entrepreneurs sociaux. Ce sont les entrepreneurs qui portent les projets et les concrétisent qui jouent un rôle crucial dans la pérennisation et le déploiement du projet dans la collectivité.
3 ) Intervenants sociaux (changemakers). Ce sont les groupes de citoyens et les OSBL qui ressentent le plus sensiblement la problématique sociale impliquée et qui s’investissent avec acharnement à déployer le projet de la première à la dernière étape.
4) Bailleurs de fond. Ce sont les organisations philanthropiques, les fondations, parfois des entreprises privées et des organismes gouvernementaux, ceux qui soutiennent les projets porteurs d’amélioration sociale et qui génèrent des résultats à moindre coût.
5) Responsables des politiques publiques. Ce sont les décideurs et les responsables publics de la conception des politiques publics qui sont incontournable pour permettre étendre les projets porteurs à grande échelle jusqu’à l’accomplissement d’un changement global.
On comprend donc qu’une diversité de projets, aux apparences parfois simples, initient le changement dans une collectivité en réunissant différents acteurs impliqués dans une problématique, en utilisant de nouveaux outils pour agir plus efficacement dans un champs social.
Des pièces uniques, des tissus anciens, une fabrication française… les sacs écolo Le Grand Cerf ont vraiment tout pour plaire ! Zoom sur une marque qui fait du neuf avec du vieux
Le Grand Cerf… Quel drôle de nom pour une boutique de tissus anciens ! En 2011, Stéphanie Cluzel a crée son petit atelier/boutique qu’elle a installé dans l’ancien hôtel du Grand Cerf, à Mortagne-au-Perche, dans l’Orne. Sa boutique de tissus anciens propose un choix vaste d’objets de déco comme des coussins, des pochons, des abat-jour, des tapisseries de siège, etc. et des sacs très originaux !
Acheter moins, mais mieux et local. Et surtout louer, partager, recycler, troquer... En quelques années, de nouveaux modes de consommation se sont développés partout dans le monde. Plus « collaboratifs », ils marquent aussi une forme d'émancipation des consommateurs. Depuis les années 2000, les consommateurs des pays industrialisés ont fait preuve d'une créativité et qu'on ne soupçonnait pas : ils sont devenus des acteurs à part entière de la distribution, en co-créant de nouvelles filières d’achat, que ce soit sur Internet ou dans leur environnement local.
En 2005, consoGlobe a créé la première bourse de troc sur le web français. Depuis, que de chemin parcouru ! Le sentiment pro-environnement et de devoir consommer plus intelligemment a progressé : le consommateur français devient de plus en plus adepte de ce que nous appelons la « nouvelle consommation ». Cela reflète une attirance pour un ensemble de valeurs où l’environnement joue une place centrale aux cotés d’autres aspirations profondes : l’éthique, la solidarité, l’envie de consommer local et en circuit court, le respect de soi, le respect des autres, la générosité, ….
La consommation collaborative est née, avec une valeur universelle : le partage, pierre angulaire d’une révolution silencieuse.
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« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » ! Cet aphorisme que l’on prête à Lavoisier prend tout son sens dans le concept même d’upcycling. L’idée est simple : transformer un matériau, quel qu’il soit, en objet qui a de la valeur.
Mieux que faire du neuf avec du vieux, la tendance est à l’upcycling. Il s’agit là de transformer des déchets en produits de bien meilleure qualité, voire à qui l’on a même ajouté une certaine plus-value. On retrouve de l’upcycling dans les objets du quotidien, les accessoires de mode, les objets de déco et même dans les galeries d’art ! Rien ne se perd, tout se récupère.
L’upcycling, c’est quoi au juste ?
Upcycling, ou « en bon français » upcyclage ou recyclage est un terme désignant l’action de récupérer des matériaux ou des produits dont on a plus l’usage afin de les revaloriser. On recycle donc « par le haut », en produisant des objets dont la qualité est supérieure au matériau d’origine.
Via Somme éco-activités, R-CUBE
Ce projet centré sur le recyclage des encombrants est organisé dans le cadre d'un chantier d'insertion intitulé «LES RECYCLEURS SOLIDAIRES» basé sur la ville de Le Blanc. Cette activité est gérée par l'association O.S.E. Recyclage. (Objectif Solidarité Emploi Recyclage).
Via R-CUBE
Les résultats du concours ?Deviens un Awakener?, à l?initiative de la Commission Européenne, ont été rendus le 15 mai au Lieu du Design à Paris. L?objectif est de sensibiliser les créatifs Européens aux principes de revalorisation et de réutilisation des matériaux. Au sein d?une Europe où chaque habitant produit près de 6 tonnes de déchets chaque année, le concours Génération Awake amène à une réflexion sur la valeur des déchets dans la résolution des problématiques environnementales actuelles.
Le secteur de la création culturelle est loin d'être une « danseuse » Mal connu et son poids mal apprécié, le secteur commence seulement à être identifié.
Pour sa troisième édition, le Forum ADEME des Innovations n’a pas failli à sa réputation. Événement incontournable des citoyens curieux, intéressés, voire engagés en faveur d’un avenir planétaire pérenne, il a été encore une fois le catalyseur de nouvelles idées et progrès en matière de développement durable. Avenir énergétique mondial, écologie, modes de comportement durables, consommation collaborative, étaient les exemples d’une liste non-exhaustive de sujets abordés lors de cette journée.
À l’heure où les questions de diversité dominent de plus en plus les débats en management et où les entreprises, confrontées à des environnements changeants, sont poussées à concevoir de nouvelles stratégies, réfléchir à la façon dont les entreprises peuvent exploiter la diversité pour susciter créativité et innovation et ainsi améliorer leur performance nous apparaît comme un enjeu fondamental.
La récente révolution des Sao-Paulo, mettant dans la rue plus d'un million d'usagers protestant contre les conditions apocalyptique de transport, vient rappeler combien le sujet du transport est sensible et comment il est puissamment relié au champ du travail, du moins ses déplacements afférents. Partout, les forces de la métropolisation concentrent les fonctions urbaines et activités dans les pôles et accentuent de facto la dissociation domicile-lieu de travail. Partout, les déplacements pôles-périphéries, contraints par le déficit d'infrastructures, obligent les usagers à réinventer sans cesse leur mobilité au gré d'une offre à la peine. Pour résoudre ces obstacles, les métropoles des pays émergents accueillent plus favorablement des offres privées et des "bricolages". Au point que les pays développées s'en inspirent. Ainsi du modèle Ciclovia de la ville sans voiture de Bogota, importé avec bonheur dans de grandes villes américaines ou New York City adoptant le modèle des collectivos (taxis collectifs) ou encore le concept de BRT, né à Curitiba au Brésil et désormais hébergé un peu partout.
La créativité des publicitaires peut-elle défendre de grandes causes planétaires et soutenir le travail des associations, ONG et institutions qui oeuvrent pour un monde meilleur ? Si vous en doutez, l'exposition présentée du 18 au 21 juin par l'association ACT Responsible dans le cadre du Festival International de la Créativité de Cannes pourra peut être vous en convaincre.
Vous rentrez de vacances et pensez déjà aux prochaines ? Voici une tendance qui pourrait vous inspirer : c’est le tourisme créatif. Il s’agit d’un excellent moyen de partir à la découverte d’une ville, d’une région ou d’un pays par le biais de la culture. Avec le tourisme créatif, on ne fait pas que voir, mais on donne une dimension participative à son voyage !
L’innovation sociale en soi est une aptitude dont l’être humain est doté naturellement et lui permet de créer les conditions de vie nécessaires à sa subsistance et à son bien-être. L’innovation sociale est aussi un mouvement en émergence qui s’appuie sur de nouvelles méthodes de création de valeur. Il faut dire que les concepts nouveaux sont nombreux et qu’il n’y a pas de véritable consensus quant à l’emploi de l’expression « innovation sociale ».
La croissance urbaine à l’échelle mondiale donne naissance à de vraies innovations dans le champ de la construction de la ville et du design urbain. Pour répondre à cet enjeu, la CCI de Lyon œuvre au développement de l’innovation par la mise en réseau des industries créatives, notamment dans le domaine de la création architecturale en milieu urbain.
Depuis près de trente ans, ce sous-traitant picard pour l’industrie automobile pousse ses 400 ouvriers à élire leurs responsables et à travailler sans hiérarchie. Et le succès de son modèle fait réfléchir.
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