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Nous reproduisons sur cette page la typologie des services de partage et de consommation collaborative que nous avons élaborée dans le premier chapitre du livre. Nous la compléterons au fur et à mesure, car de nouveaux services apparaissent tous les jours ! Merci à la graphiste Nelly Mary pour les 4 pictogrammes illustrant notre typologie. La diffusion de cette liste est soumise au Creative Commons (libre reproduction, non commercialisation et citation de l’auteur). 
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« Communauté », « troc », « échange de savoirs » : les sites de partage permis par le développement d’Internet bousculent les règles de l’économie.
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TIME Magazine, mars 2011 : la consommation collaborative fait partie des 10 idées qui vont changer le monde selon le magazine américain. Dans l’article correspondant Bryan Walsh affirme qu’ « Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses ». Nous en sommes en effet en train de passer du 20ème siècle de consommation à outrance et de possession boulimique au 21ème siècle de partage. Et puis ce n’est plus la peine de se voiler la face on est fauché et ne pouvons plus consommer à outrance comme ce fut le cas à une époque ! Non seulement notre pouvoir d’achat est en baisse mais c’est aussi la planète qui s’épuise à fournir de l’énergie pour produire toujours plus. Ainsi, on voit naitre chaque jour des consciences écologiques et sociales.
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Vous avez certainement dans vos placards ou vos tiroirs des vêtements et accessoires que vous ne portez quasiment plus. Depuis quelques années déjà, dans le sillage de digitroc, les sites de trocs se multiplient : on gaspille moins, on ne jette plus mais on préfère donner, revendre ou échanger. Au coeur de la consommation collaborative, on retrouve une nouvelle manière d’échanger ses biens tout en s’amusant. Il s’agit des Swap Parties, littéralement, les fêtes de l’échange, en français.
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Tabou il y a encore peu, revendre ses cadeaux de Noël sur Internet est aujourd’hui entré dans les mœurs. Et avec les plates-formes d’occasion, d’échange, de location et de don de consoGlobe, c’est encore plus facile ! Cela fait plusieurs années qu’on en parle, mais en 2012 le phénomène prend une ampleur inédite : la revente, l’échange ou la location des cadeaux reçus à Noël se fait sans complexes ! Faisons le point sur cette tendance qui donne une deuxième vie aux cadeaux qui n’ont pas fait mouche du premier coup.
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Depuis quelques temps, les sites collaboratifs et applications de partage fleurissent en proposant des alternatives au gaspillage alimentaire. Pumpipupe, comprenez « prête-moi ta pompe », propose quant à lui d’utiliser nos biens de consommation de façon plus consciente. Zoom sur cette application de troc local astucieuse et … collaborative.
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Deux amies ont décidé d’organiser un événement malin et écolo le dimanche 17 novembre après-midi au Mylord. La boîte de nuit vauréenne accueille une troc-party réservée aux femmes. Ces dames ne viendront pas pour tenter d’échanger leur mari, mais tout simplement pour troquer leurs vêtements. «Toutes les participantes font des économies en donnant une seconde vie aux vêtements, chaussures et accessoires, dont elles n’ont plus l’utilité. En plus cela crée du lien», explique Sandy Soubrevie. Elle précise d’emblée qu’une troc-party ne sert pas à refourguer ses vieux chiffons ! Les vêtements et autres accessoires à emporter doivent être en bon état, propres et repassés. En gros, tels que vous-mêmes vous souhaiteriez qu’ils soient. «Vous avez certainement dans vos placards ou vos tiroirs des habits ou tenues que vous ne portez quasiment plus», ajoutent les organisatrices. Depuis quelques années déjà, les sites de trocs se multiplient : on gaspille moins, on ne jette plus mais on préfère donner, revendre ou échanger. Au cœur de la consommation collaborative, on retrouve une nouvelle manière d’échanger ses biens tout en s’amusant. «C’est une pratique ancestrale pleine d’actualité». À l’accueil du Mylord, les articles de chaque participant seront triés : acceptés ou refusés. Une fois tout le monde présent et les vêtements installés, les organisatrices vous inviteront à chiner, essayer, troquer ce qu’il vous plaît. Comme son nom l’indique, il s’agit uniquement de troc, ce qui exclut par définition tout échange d’argent. Les participants échangent gratuitement leurs vêtements. Les sous-vêtements, tenues de nuit et maillots de bain sont exclus du troc pour des raisons d’hygiène. En fin de journée tous les articles restants seront donnés à une association humanitaire. Quelques règles : minimum de 3-5 articles et maximum 15-20 articles par personne. Tous les articles doivent être impeccables et propres et les articles contrefaits ne sont pas acceptés.
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Le premier réseau social permettant d’échanger des services à distance a gagné 5000 utilisateurs au cours des sept derniers mois. Le site prévoit maintenant de mettre en place un système de troc d’objets usagés, pour faire rimer recyclage et solidarité.
Via Ouishare Rhône-Alpes
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A l’heure du retour aux produits locaux et de saison, échanger fruits, légumes, fines herbes ou fleurs du jardin contre un repas, un café ou un pot de confiture séduit restaurateurs et riverains australiens. Savourer les produits du jardin Le commerce informel entre jardiniers amateurs et restaurateurs locaux se développe autour des grandes villes australiennes, avec des avantages pour tous. Pour les restaurateurs, le plaisir de pouvoir s’approvisionner en produits locaux et de saison sans avoir à se déplacer est un luxe qui vaut une tasse de café ou un dîner. « Je peux offrir un dîner pour la récolte d’un mûrier – cela représente trois mois de confiture pour nous – ou cela peut être l’offre d’un café ou d’un petit déjeuner. C’est assez fluctuant », explique James Hird, copropriétaire de Buzo and Wine Library dans la banlieue de Sydney.
Le Bon Côté des Choses's comment,
February 7, 2013 4:13 AM
Voilà qui devrait plaire à nos amis de e-barter.fr
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Un open tour de tout ce qui se fait en mode Co-llaboratif !