Economie Responsable et Consommation Collaborative
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Economie Responsable, Economie Sociale et Solidaire, Innovation Sociale, Consommation Collaborative, Développement Durable, Energie et Environnement.
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Penser l'économie de la contribution : l'exemple des logiciels libres est-il généralisable ?

Penser l'économie de la contribution : l'exemple des logiciels libres est-il généralisable ? | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Cet article est une transcription de la vidéo ci-dessus. Les propos de Bernard Stiegler ont été transcrits de 0’44 » à 46’26″ » avec son aimable autorisation. Cette conférence a eu lieu le 8 avril 2014 à Paris La commande qu’on m’a passé c’est de parler de l’économie de contribution en partant de la question du logiciel libre,...


Via Bernard BRUNET
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Michel Bauwens : "L’économie peer-to-peer est plus productive car elle est passionnelle"

Michel Bauwens : "L’économie peer-to-peer est plus productive car elle est passionnelle" | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Michel Bauwens, théoricien du pair à pair, sort la semaine prochaine son nouveau livre Sauver le monde, Vers une société post-capitaliste avec le peer-to-peer. L’occasion pour Julien Cantoni de lui poser quelques questions en prévision de l’événement que nous organisons autour de Michel Bauwens le 18 mars.

Comment définiriez-vous l’économie p2p et qu’apporte-t-elle spécifiquement ?

La spécificité de l’économie p2p est qu’elle repose sur des communautés de contributeurs qui cherchent avant tout à créer du commun sans se soucier, à priori, du profit qui pourra en être dégagé. Ces communautés produisent des ressources qu’elles partagent pour répondre à leurs besoins avant tout, sans pour autant renier toute forme de profit. Le profit peut en être une résultante mais pas l’objectif et quand il survient, il bénéficie aux contributeurs. Le p2p, qui est une forme d’économie de réseaux, en ce sens se distingue d’autres formes d’économies naissantes basées également sur des logiques de réseaux, dans lesquelles des individus réalisent des transactions sous la forme collaborative mais qui, pour certaines, restent très installées dans la logique du profit et de la compétition. Ces formes d’économies s’apparentent à l’économie p2p mais leur finalité n’est pas orientée vers les communs.



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Du collaboratif au contributif : vers le 3ème web

Du collaboratif au contributif : vers le 3ème web | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

L’économie collaborative est un modèle économique pour demain. C’est ce que Bernard Stiegler, philosophe et spécialiste des mutations portées par les technologies numériques constate et soutient. Acteur de ces mutations, il a mis en place un outil de réflexion contributif avec son Institut de Recherche et d’Innovation[i]. Ses travaux et réflexions ont nourri les débats de la communauté OuiShare durant les derniers mois.

Lors du OuiShare Fest, il a évoqué les enjeux de cette nouvelle économie numérique mais aussi les pièges qu’elle peut contenir. Il appelle de ses vœux un 3ème modèle de web pour une économie contributive qui doit rester sociale et solidaire.



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La politique Geek : sortir du Capitalisme

Comment sortir d'un capitalisme malade ? imaginer une économie de la contribution inspirée des comportements propres à l'univers numérique.

Le plus geek des philosophe explique le modèle contributif pour des jours meilleurs. Bernard Steigler (et oui encore lui) nous apprend que le logiciel libre (open-source) sera notre avenir. Pourquoi ? Car ce philosophe 2.0 nous fait la description complète de notre société. Avec, une description de notre capitalisme addictif, par un système de sanction, un système pulsionnel, avec note éternel morale en berne ou la spéculation remplace l’investissement. Sommes-nous tous résigné à devenir crétins ?

Heureusement, Bernard est là et nous explique que l’individuation devient générateur des économies contributives, un effet de masse qu’il marche déjà et qui nous en apprend tous les jours sur notre curiosité responsable. Oublions donc le consumérisme pour les bienfait du contributif.

En référence à l’article de geek politics du premier site d’information belge francophone :
Le temps est venu de passer d’un consumérisme toxique à une économie de la contribution.

 

 

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Bernard Stiegler : « Nous entrons dans l’ère du travail contributif »

Bernard Stiegler : « Nous entrons dans l’ère du travail contributif » | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Fab’ lab’, imprimantes 3D... « Le consumérisme a vécu », assène le philosophe pour qui, motivés par nos seuls centres d’intérêt, nous allons changer de mode de travail.

Les bureaux de Bernard Stiegler font face au Centre Pompidou, sous les toits de Paris. C’est pour son célèbre voisin que le philosophe a fondé l’Institut de recherche et d’innovation (IRI), afin d’« anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques ».

Mais dans l’esprit de l’enseignant-auteur-chef d’entreprise, tout est lié : culture, consommation, technique, travail, politique. Pour lui, le modèle consumériste se meurt, comme celui du progrès permanent. Tout s’automatise. L’intérêt économique ne peut plus être le seul poursuivi. Il faut réhabiliter le savoir, la connaissance, la créativité. Comment ? En développant une « économie de la contribution », qui révolutionne la manière de travailler. Entretien.

 

 

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"L'emploi et le salaire ne peuvent plus être la seule voie de redistribution"

"L'emploi et le salaire ne peuvent plus être la seule voie de redistribution" | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

La robotisation des outils industriels pourrait détruire trois millions de postes d'ici à 2025, selon une étude. Pour le philosophe Bernard Stiegler, il faut repenser l'économie et passer à un revenu contributif.
Avec l'arrivée des robots d'un nouveau type, bientôt accessibles aux petites et moyennes entreprises, va survenir ce que Bernard Stiegler appelle l'"automatisation intégrale et généralisée". Invité du journal du Matin, il est l'auteur de "L'emploi est mort, vive le travail!"
Parallèlement à la robotisation, il y a aussi ce qu'on appelle la data économie. "Le fait que chacun d'entre nous, en utilisant son smartphone, produit des données qui sont exploitées par les big data, permet de supprimer toutes sortes d'emplois, en particulier dans le secteur tertiaire", affirme Bernard Stiegler, directeur de l'Institut de recherche et d'innovation du Centre Pompidou.




Via Bernard BRUNET
AJISSE's curator insight, March 18, 2016 10:27 AM

#emploi#travail

Avec l'arrivée des robots d'un nouveau type, bientôt accessibles aux petites et moyennes entreprises, va survenir ce que Bernard Stiegler appelle l'"automatisation intégrale et généralisée".

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Pour la Transition, une économie du partage de la connaissance et des biens communs

Pour la Transition, une économie du partage de la connaissance et des biens communs | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Rencontre publique avec Bernard Stiegler et Michel Bauwens : Pour la Transition, une économie du partage de la connaissance et des biens communs.


Face aux crises économique, sociale et écologique, nous sommes nombreux à penser qu’il faut créer les conditions de la transition d’un monde industriel productiviste vers une économie fondée sur le partage de la connaissance en biens communs et sur des modes de productions collaboratifs et contributifs. L’enjeu est d’abord de forger de nouveaux concepts pour comprendre les effets de l’automatisation et de la pénétration du numérique dans tous les aspects de la vie. Il s’agit également de repenser l’intérêt général et la solidarité comme des horizons possibles.

Pour cela, les pouvoirs publics locaux et nationaux, l’Université et la société civile organisée, doivent inventer ensemble, dans les territoires de vie, des alternatives à l’individualisme propriétaire et aux modes de gouvernance fondés sur le duopole Etat/marché.

C’est en tout cas l’hypothèse qui a été faite en Équateur. Ce pays a organisé une vaste étude pour tenter de mettre au clair la construction d’une société en transition appuyée sur les communs. Plusieurs chercheurs et spécialistes internationaux ont été mobilisés, dont Michel Bauwens et Bernard Stiegler.



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Bernard Stiegler: Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif

Bernard Stiegler: Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

L’économie contributive est fondée sur la recapacitation : elle augmente la capacité des gens plutôt qu’elle ne la diminue. Ce terme de recapacitation s’inspire de l’approche par les capabilités d’Amartya Sen (une capabilité est un savoir – une savoir vivre, un savoir faire ou un savoir formel – partagé avec d’autres et qui constitue une communauté de savoir, Sen ayant montré que le consumérisme diminue la capabilités).


Via Bernard BRUNET
LEBLOND's curator insight, January 28, 2014 4:08 AM

>> développer une culture et une éducation contributives, designer  une architecture sociale de contribution, et favoriser la contribution dans la recherche. Un retour plus qu'intéressant de Bernard STIEGLER.

Damien Thouvenin's curator insight, January 29, 2014 3:12 AM

"L’économie contributive est fondée sur la recapacitation : elle augmente la capacité des gens plutôt qu’elle ne la diminue."


L'interview est un peu décousue mais elle contient des idées intéressantes et la vidéo incluse en fin d'interview vaut la peine d'être vue.

Mlik Sahib's curator insight, January 31, 2014 12:46 AM

"J’ai une vision freudienne de l’économie. La Libido c’est le lien social, c’est la capacité à détourner ses pulsions vers ce que Freud décrit comme un investissement social du désir. La pulsion fonctionne positivement quand on parvient à différer sa satisfaction. Différer la réaction, c’est faire de l’action. L’économie libidinale, c’est l’idéalisation (au sens de Freud) et la sublimation des pulsions. On peut dire que le logiciel libre se nourrit de cette sublimation, dit autrement de ce dépassement."

 

 

"Il faut développer une culture et une éducation contributives, faire que les individus s’engagent d’une façon ou d’une autre dans des projets contributifs, comme ils sont de plus en plus nombreux à le faire. En développant cette culture, on favorisera la capacité des individus à déceler la part de toxicité de ce pharmakon qu’est l’économie contributive.

Sur un autre plan, les designers ont un rôle majeur à jouer. Ils sont appelés à devenir les concepteurs et les accompagnateurs de ces systèmes contributifs. Un fablab ne fonctionne pas seulement grâce à un lieu et des machines, il fonctionne parce qu’il y a une architecture sociale de contribution, c’est un travail de designer.

La recherche permettra aussi de progresser, si elle devient plus contributive. Le rythme s’est tellement accéléré, le niveau de complexité s’est tellement accentué qu’il faut qu’on coopère pour mieux le comprendre et l’analyser. Ouvrir la recherche à d’autres que ceux qui la produisent aujourd’hui permettra de rattraper notre retard sur les événements, d’être plus en prise avec ce qui se passe."

 

 

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Propositions pour un projet politique qui aurait de l'avenir

Propositions pour un projet politique qui aurait de l'avenir | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

3 documentaires vidéo de Simon Lincelles, une interview de Bernard Stiegler et le Manifeste 2010 pour comprendre comment aller vers une économie de la contribution.

 

Ars Industrialis apporte des propositions théoriques et pratiques sur les conditions permettant de faire évoluer le mode présent d’organisation industriel de producteur-consommateur vers une économie de la contribution, susceptible de mettre fin à une prolétarisation généralisée de moins en moins soutenable, que ce soit psychiquement, politiquement ou économiquement. Trois documentaires vidéo de Simon Lincelles, une interview de Bernard Stiegler et le Manifeste 2010 de l’Association Ars Industrialis nous permettent de comprendre pourquoi et comment aller vers une économie de la contribution ...

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Rescooped by Aurélien BADET from Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique.
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Bernard Stiegler : "Les gens consomment plus parce qu’ils idéalisent de moins en moins."

Bernard Stiegler : "Les gens consomment plus parce qu’ils idéalisent de moins en moins." | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars Industrialis*, le philosophe Bernard Stiegler revient pour nous sur les logiques de surconsommation et l’émergence d’un modèle qu’il défend celui de l’économie de contribution.


Via Véronique D, association concert urbain
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