Les modes actifs, c’est à dire les transports nécessitant la force musculaire de leurs propres utilisateurs, sont-ils les clients les plus fidèles aux commerces de proximité ? Pour beaucoup d’aménageurs, d’élus, de riverains et de commerçants, la marche à pied et le vélo restent des modes de déplacements « anti-économique », réservés aux bobos et qui nuiraient à la bonne santé commerciale d’une ville ou d’un territoire.