?HOP?. Derrière une simple onomatopée, un combat tout sauf simple. Halte à l?Obsolescence Programmée est une jeune association qui s?est donnée pour mission d?élever les voix de consommateurs révoltés par ce système. Et de nous donner des solutions concrètes pour faire vivre nos produits plus longtemps que prévu.
Comment augmenter mon impact sans avoir à trouver plus de subventions ? En développant mon social business ! De plus en plus d'ONG et d'associations se posent la question de transformer leur modèle en entreprise sociale pour gagner en autonomie financière. Dans les pays en développement, cela est d'autant plus tentant que les marchés locaux connaissent des croissances rapides alors que les subventions et dons internationaux sont toujours plus difficiles (et chers) à mobiliser.
donDans l'écosystème foisonnant du crowdfunding (ou financement participatif), HelloAsso parie sur un modèle économique différent en misant sur la rémunération au pourboire. Un positionnement stratégique autant que militant.
Associations, que vous soyez caritatives, sportives ou culturelles, ceci est un appel à vous emparer des outils numériques. La révolution numérique a profondément changé notre manière de nous divertir, de consommer, et de communiquer. Mais cette révolution peut - et doit - aller plus loin.
Associations, que vous soyez caritatives, sportives ou culturelles, ceci est un appel à vous emparer des outils numériques. La révolution numérique a profondément changé notre manière de nous divertir, de consommer, et de communiquer. Mais cette révolution peut - et doit - aller plus loin.
Fin 2012, le Mouvement des entrepreneurs sociaux (Mouves) s’est fortement mobilisé pour qu’un mécanisme équivalent au Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE) puisse bénéficier aux entreprises sociales, et notamment aux grandes associations non lucratives, non assujetties à l’impôt sur les sociétés mais à la taxe sur les salaires.
En l’état actuel des choses, le CICE introduit une distorsion de concurrence patent en défaveur de ces organisations, pourtant positionnées sur des secteurs où elles sont en concurrence directe avec les entreprises du privé lucratif : la santé (les hôpitaux), la dépendance (les maisons de retraite), la petite enfance (les crèches) ou encore la croissance verte (recyclage).
Avec, concrètement, d’un côté une diminution des charges de 4% en 2013 (6% en 2014) pour les entreprises lucratives – soit une économie pour certaines de plusieurs millions d’euros – et de l’autre, une compensation bien maigre : un abattement sur la taxe sur les salaires…plafonné à 20 000 euros pour les associations non lucratives !
Les textes présentés dans cet ouvrage explorent les transitions entre bénévolat, volontariat et salariat dans le monde associatif et l’animation. Ils contribuent à éclairer les registres de l’engagement en s’interrogeant sur les parcours, trajectoires et expériences qui en découlent. Les travaux de recherche sur les parcours dans les métiers de la culture, du sport ou des services à la personne sont mis à contribution pour éclairer ce qui fait la commune mesure de ces transitions professionnelles : don de soi, vocation, créativité mais aussi exploitation, aliénation, précarité. Les auteur(e)s mettent en valeur le contexte de ces transitions professionnelles à travers le discours des acteurs sur leurs pratiques, par exemple lorsque celles-ci génèrent du plaisir ou de la souffrance au travail. Dans ce monde aux valeurs fortes, dont le champ professionnel de l’animation participe à la structuration, la formation et l’expertise apparaissent comme une zone d’ombre où se jouent à la fois la régulation du champ et son instrumentation politique et sociale.
Dans le Nord, l’association Et vous trouvez ça drôle !!! est devenue un véritable Centre régional des arts du cirque. Un lieu abracadabrant !
Imaginez, au cœur d’un parc urbain du Nord, une forteresse moyenâgeuse. Entre les deux tours, une porte toujours ouverte donne sur une allée pavée bordée de maisons à colombages. Le tout semble droit sorti d’une fiction, et pour cause : le Centre régional des arts du cirque a planté ses 5 chapiteaux entre les murs d’un parc d’attractions à l’abandon.
Trois jeunes Strasbourgeois ont fondé Boyz’n Road, une asso qui organise des actions de collecte de déchets. Lauréats du Trophée des associations de la Fondation EDF, Baptiste, Clément et Benjamin ont entrepris un Green Planet Tour pour sensibiliser d’autres jeunes. Avec un mot d’ordre : « les ordures n’ont pas de frontières ».
Dans le cadre de l’Année européenne des citoyens, la Fonda, la Mairie de Paris, la Maison de l’Europe de Paris et Pour la Solidarité organisent un séminaire : le 14 juin de 9h30 à 13h à Paris
De l’engagement à la citoyenneté, quelle place pour les associations en Europe ?
Malgré l’influence croissante du cadre européen sur leurs pratiques, les associations se sentent éloignées de l’Europe institutionnelle et peinent à investir le concept de citoyenneté de l’Union européenne, tel que défini par le Traité de Maastricht. Pourtant, au quotidien, partout en Europe, les associations contribuent à la mobilisation collective autour d’initiatives porteuses de valeurs démocratiques et de cohésion sociale, alimentant de fait un sentiment d’appartenance et d’adhésion à un projet commun.
Une association est en train de se mettre en place en vue de la création d’une épicerie solidaire, complémentaire de l’action des associations caritatives.
L’OPHEC (Office de Promotion de l’Habitat Ecologique Coopératif) est une association basée à La Plaine-Saint-Denis qui oeuvre pour le développement de l’habitat écologique en autopromotion. Elle a pour objectif de soutenir des groupes de candidats qui souhaitent être promoteurs de leur projet d’habitat écologique. Plusieurs projets sont en phase préliminaire en région parisienne. L’Association pour l’Autogestion a rencontré son Directeur, Laurent Rassak.
Le garage partagé l’Atelier invite ses adhérents à venir réparer eux-mêmes leurs véhicules.
Depuis 1981, l‘Atelier initie ses adhérents à l’entretien et à la réparation de leurs véhicules. Dans un local de 300 m2, propriété de l’association, plusieurs formateurs salariés sont présents pour les épauler.
Avec la crise, les adhésions ont bondi. De plus en plus de particuliers préfèrent l’Atelier aux garages traditionnels. L’aspect pécuniaire entre bien sûr en ligne de compte : contre une cotisation annuelle, on vient non seulement réparer à moindre frais mais aussi apprendre la mécanique. En effectuant les travaux soi-même, on gagne ainsi sur le prix de la main d’œuvre.Le garage partagé l’Atelier invite ses adhérents à venir réparer eux-mêmes leurs véhicules.
Envie de faire des folies durant les soldes? L'occasion de faire un petit tri dans nos armoires et, pourquoi pas, un don à des associations!
Les soldes d'hiver débutent début janvier, et les Français comptent bien en profiter! Envie de ce sac repéré en vitrine ou encore d'un énième jean? Un petit plaisir égoïste qui peut aussi être l'occasion de faire un geste solidaire. Face à des armoires déjà bien encombrées, où tout s'entasse, pourquoi ne pas donner une seconde vie à ces pulls et chaussures délaissés? Les associations caritatives s'en chargent volontiers.
«Il est écrit où le dogme selon lequel un entrepreneur ne peut pas être humaniste ?» : à 43 ans, Philippe Barre, fondateur de Darwin, projet urbain ayant jeté les bases à Bordeaux d’un modèle inédit de développement économique durable, défend les «bâtisseurs» contre les «bétonneurs».
Patrons de start-up, employés d’entreprises en co-working, responsables d’une ferme urbaine, clients du restaurant bio, touristes en goguette et prochainement mal-logés accueillis en logements d’urgence... l’espace Darwin, sur la rive droite à Bordeaux, est en perpétuelle ébullition.
L'Association des VTC de France a lancé mercredi son application VTC Cab pour tenter d'organiser une concurrence à Uber, jugé trop dominant et trop imprévisible par une partie des chauffeurs qui cherchent à re-gagner leur indépendance.
Le mois dernier, des chauffeurs de VTC qui s’estiment trop dépendants d’Uber et de ses changements tarifaires imposés sans concertation avaient annoncé la création de leur propre application concurrente, qui n’était pas encore disponible au moment de l’annonce. C’est désormais chose faite.
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A Paris, l’association art-exprim propose des cours de pratiques artistiques aux habitants de son quartier. Say Yess a testé pour vous l’atelier d’arts plastiques...
Comme tous les jeudi soirs à 20 heures dans le XVIIIe arrondissement de Paris, le 87 rue Marcadet s’anime. L’atelier de l’association art-exprim (loué à la mairie) accueille des artistes en herbe, habitants du quartier pour la plupart, autour de Yoann Paounoff, plasticien de 29 ans qui dispense un cours de peinture. Le thème ce soir là : « se casser la figure » ! Autrement dit, « se lancer, prendre des risques, ne pas avoir peur de la rature ou de la composition bancale », précise Yoann.
Les associations ne semblent pas au centre de la loi sur l'économie sociale et solidaire de Benoît Hamon qui vise à définir et développer ce secteur.
Définition de l’économie sociale et solidaire (ESS), droit d’information des salariés pour la reprise de leur entreprise, création d’un nouveau statut de coopérative…, le projet de loi de Benoit Hamon sur l’Economie sociale et solidaire vise à développer, ouvrir et sécuriser juridiquement tous les organismes considérés aujourd’hui comme appartenant à ce secteur: coopératives, mutuelles, fondations, associations.
Ces dernières, au nombre d’un million, représentent 80% des organismes de l’ESS. Et pourtant, les associations ne semblent pas être au centre de ce projet de loi, discuté en première lecture les 6 et 7 novembre au Sénat. En effet, il y a assez peu de passages qui les concernent directement dans ce texte. Alors, que va apporter cette loi au secteur associatif?
A l’occasion de la sortie de son ouvrage, le fondateur du Groupe SOS, géant de l’économie sociale et solidaire (ESS), nous livre sa vision du secteur, qui fait l’objet d’une loi.
Les associations qui œuvrent dans les quartiers populaires sont les premières victimes des finances publiques en berne.
En période de rigueur budgétaire, les temps sont durs pour le milieu associatif. Les structures implantées dans les banlieues sont les premières victimes de ce tour de vis.
En 2002, 15.000 associations étaient subventionnées dans les quartiers, elles ne sont plus que 7000 dix ans plus tard. L’Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE) consacre 500 millions d’euros aux associations qui œuvrent dans les quartiers populaires.
"Il en faudrait au moins deux fois plus", estime Samuel Thomas, président de la Fédération nationale des maisons des potes (FNMP). Nous en sommes loin, "les subventions ont encore baissé, au nom du déficit qu’il faut combler", ajoute-t-il. Un manque à gagner important pour ces structures dont la pérennité financière est délicate à assurer.
Le club de réflexion proche du PS Terra Nova publie un rapport sur la participation des associations à la vie démocratique.
Ce travail, dont « La Croix » publie les principales conclusions, propose de leur donner plus de prérogatives dans le champ politique et d’accroître leur présence au sein du Conseil économique, social et environnemental.
Ce chiffroscope met en lumière les résultats du études d’une étude d’Edith Archambault et Viviane Tchernonog, du Centre d’économie de la Sorbonne.
La vidéo elle a été réalisé par la Conférence permanente des coordinations associatives (CPCA), un regroupement d’organisations.
Le secteur associatif représente 3,5% du PIB, soit autant que l’agriculture et l’industrie agroalimentaire réunies (3,4%), un secteur de poids donc, trop souvent négligé.
France Active et le groupement associatif CPCA présentent leurs propositions pour pérenniser et développer le secteur associatif.
Dans une période de morosité du secteur associatif, entre la baisse des subventions et des dons, l’association France Active (qui soutient des entrepreneurs et des entreprises sociales) et la Conférence permanente des coordinations associatives (CPCA) publient des propositions pour le financement des associations et leur développement.
Cet ouvrage collectif appréhende le monde associatif comme monde du travail. Il s'ouvre sur une réflexion autour des modalités d'exercice du travail associatif en interrogeant la frontière entre la sphère professionnelle et le «hors travail».
Les relations avec les différentes «parties prenantes» font également l'objet d'études spécifiques : avec les entreprises mécènes investies dans des partenariats avec le monde associatif, comme avec les collectivités publiques qui considèrent désormais les associations comme de véritables «opérateurs de politiques publiques».
Si le monde associatif est souvent défini comme un «tiers secteur» qui se situe entre le secteur privé lucratif et le secteur public, il demeure très largement structuré par leurs normes et leurs pratiques. Il peut contribuer cependant à servir des missions d'intérêt général et peut se poser comme une solution à la «crise de l'État-providence» ; il est alors envisagé comme une «alternative au capitalisme».
Les contributions présentées ici révèlent toutes ces ambivalences et dressent un portait nuancé des nombreuses promesses d'émancipation incarnées par le monde associatif.
Les associations sont partout dans le monde en plein essor. En France, elles regroupent près de 2 millions de salariés et, dans la première décennie du XXIe siècle, elles ont créé plus d’emplois que les entreprises privées. Par ailleurs, près d’un français sur trois de plus de 15 ans est bénévole. Les associations, présentes dans de nombreux domaines, sont donc au cœur de la société civile et civique. Pourtant elles restent méconnues, voire caricaturées : elles souffriraient d’amateurisme par rapport à l’entreprise ou elles ne serviraient qu’à compenser le retrait du service public. Cet ouvrage détaille leur fonctionnement institutionnel et organisationnel, leur rôle économique et politique, ainsi que les transformations sociales qu’elles induisent. Appuyé sur de nombreuses études de cas, il brosse un tableau fidèle et très vivant de la dynamique associative en France et en livre une analyse originale dans ses dimensions théorique, épistémologique et pratique. Ce livre correspond à une réédition profondément remaniée et actualisée de l’ouvrage Sociologie de l’association, de Renaud Sainsaulieu et Jean-Louis Laville paru en 1997 aux éditions Desclée de Brouwer.
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