Economie Responsable et Consommation Collaborative
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Economie Responsable, Economie Sociale et Solidaire, Innovation Sociale, Consommation Collaborative, Développement Durable, Energie et Environnement.
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La transition écologique au cœur de leur nouveau manifeste

La transition écologique au cœur de leur nouveau manifeste | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it
Quatre ans après leur premier manifeste, les Economistes atterrés reviennent à la charge. Cette fois, ils veulent dépasser le constat de l’échec des politiques libérales, pour mettre en avant leurs solutions alternatives.

Via association concert urbain, Bernard BRUNET
Marco Bertolini's curator insight, February 1, 2015 5:59 AM
Comment intégrer l'écologie à l'économie et faire face aux défis environnementaux ? 15 propositions des Economistes Aterrés !
Rescooped by Aurélien BADET from Démocratie en ligne, participative et délibérative
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Vidéo : Quel programme de recherche sur les Communs? Une conversation avec Valérie Peugeot

Entretien réalisé par Alain Ambrosi, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Anima...

Via Florence Piron
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L’indicateur de progrès véritable : est-ce lui qui va remplacer ou compléter le PIB ?

L’indicateur de progrès véritable : est-ce lui qui va remplacer ou compléter le PIB ? | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

La carrière des indicateurs est une chose intéressante. Certains semblent installés pour des lustres pendant que d’autres aspirent à les détrôner ou à les compléter. Leur carrière future dépend des « réseaux d’intéressement » (termes de sociologues de l’innovation) qui se forment pour les défendre, et de l’influence de ces réseaux sur les décisions politiques, lesquelles sont seules en mesure de décider que tel ou tel indicateur sera désormais placé en haut de l’agenda politique et donc statistique.

(...)

En fait, cet IPV, une variante de ce qu’on appelait les « PIB verts », existe depuis les années 1990 mais essentiellement aux Etats-Unis où il est né, à l’initiative d’une fondation californienne, «Redefining Progress» www.rprogress.org

(...)

Dans mon billet de 2008, je menais des critiques de ces indicateurs et de leur façon de tout transformer en monnaie afin d’être directement comparables au PIB, ce qui est leur atout « communicationnel » majeur. Je ne vois pas de raison de modifier mes critiques de l’époque. Mais en voici une autre qui ajoute au trouble. (...) si le progrès véritable est si véritable que cela, le pays qui, parmi les pays riches, bat tous les records sur le plan des inégalités, de la pauvreté, des violences, de l’exclusion, des émissions de gaz à effet de serre, de l’empreinte écologique par habitant, des OGM, des gaz de schiste, de la consommation d’eau, et bien d’autres records de ce type, devrait être très mal classé !

(...)

Le drame est que même les plus écolos des économistes restent (presque tous) des économistes… Leur réponse est double :

 

1) l’IPV n’est pas un indicateur de soutenabilité, mais un indicateur de « bien-être économique » (c’est-à-dire lié aux activités économiques) très supérieur au PIB ;

2) « il vaut mieux avoir approximativement raison que précisément tort » (p. 55).

 

Bonne formule, mais, avec l’IPV, ont-ils « approximativement raison » ou largement tort ? Cet indicateur nous indique-t-il ou non un bon cap ? Je ne crois pas que les PIB verts feront carrière. L’ampleur de la crise écologique est telle qu’ils seront débordés.


Via Christophe CESETTI
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On l'appelait capitalisme

On l'appelait capitalisme | Economie Responsable et Consommation Collaborative | Scoop.it

Il y a vingt-cinq ans, c'était la star du ring, le « boss », vainqueur du communisme par KO ! Aujourd'hui, le capitalisme est un champion usé par la crise, miné par les contradictions et politiquement à bout de souffle. Dans toutes les disciplines, d'éminents chercheurs se penchent sur le blessé. L'an dernier, Thomas Piketty (dans Le Capital au XXIe siècle) ou l'anthropologue David Graeber (avec Dette, 5 000 ans d'histoire) ont brillamment disséqué les failles du boxeur, bouffi d'excès. Au début de l'année l'historien ­Jérôme Baschet a publié ses Adieux au capitalisme – pronostic vital engagé ! Et voilà que se glisse, en tête du cortège, une des pythies les plus écoutées de la planète, Jeremy Rifkin, venu prononcer l'épitaphe du capitalisme dans un ­essai au titre barbare mais au propos fascinant : La Nouvelle Société du coût marginal zéro. L'Internet des objets, l'émergence des communaux collaboratifs et l'éclipse du capitalisme.



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Vidéo : Suffisantisme: Ou comment rééquilbrer l'économie (Par l'écologie)

Notre façon de voir le monde détermine notre facon d'agir. La pensée occidentale nous réduit à des guerriers sanguinaires luttant pour le contrôle des ressources. Alors que d'après la philosophie indigène -les soi-disant sauvages - nous sommes tous des individus apparentés, de par notre appartenance à la même communauté; HUMAINE. Et en tant que partie intégrante de la nature, nous contribuons avec d'autres à son équilibre.

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