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RCS Mediagroup est racheté par Urbano Cairo, qui a commencé sa carrière au sein de Fininvest à vingt-cinq ans comme assistant de Silvio Berlusconi avant de devenir patron de Mondadori Pubblicità.
Pour la deuxième année consécutive, Amazon participe à la bourse du concours d’écriture du Festival international du journalisme de Pérouse (Italie). Des étudiants provenant de toute l’Europe, âgés de 18 à 25 ans, auront pour défi de rédiger un essai de 1000 mots maximum sur le thème «Le journalisme à l’ère numérique» en langue française, anglais, italienne, espagnole ou allemande.
Lire aussi "Le 1er festival international du journalisme vivant aura lieu à Couthures (47)" (Sud Ouest, 8 janvier 2016)
Cofondé en avril 2014 par Éric Fottorino, Laurent Greilsamer (49e promo ESJ Lille), Natalie Thiriez et Henry Hermand, l’hebdomadaire Le 1 se déclinera ce jeudi en italien suite à un accord de licence passé avec La Stampa. Baptisé Origami, le nouveau venu respectera donc la charte éditoriale et la maquette originelle. Ainsi, «il traitera d’un sujet d’actualité à travers plusieurs regards, sur une seule feuille de papier pliée en trois».
Lire aussi "A l'équilibre, l'hebdomadaire Le 1 multiplie les déclinaisons" dans Challenges du 3 décembre 2015
Un rapport proposant une réforme des divers médias du Vatican, jugés coûteux, est entre les mains du pape François. L’heure est déjà aux économies à Radio Vatican comme au quotidien L’Osservatore Romano, où l’on défend la raison d’être de ces organes d’information.
Quatre éditeurs européens ont décidé de lancer une revue en ligne multilingue, baptisée "eutopia", pour remettre l'Europe au coeur du débat intellectuel. Eric Jozsef, correspondant de Libération dans la capitale italienne, en est le rédacteur en chef, entouré d'une équipe basée à Rome.
Le site: http://eutopiamagazine.eu/
A lire dans Courrier International du 25 juillet 2013 Dans un article très remarqué sur les réseaux sociaux, une jeune journaliste italienne, Francesca Bori, en poste en Syrie, raconte sa solitude de pigiste sous-payée et l’indifférence dans laquelle elle travaille.
Le constructeur pourrait prendre le contrôle du quotidien italien de référence en difficulté. Une entorse aux traditions du journal.
La presse écrite italienne traverse une crise profonde avec une baisse de 22% en cinq ans des ventes de journaux et revues tandis que ses recettes publicitaires sont retombées au niveau de 1991, indique mercredi un rapport. "En cinq ans, depuis 2007, les quotidiens ont perdu plus de 1,15 million d'exemplaires (vendus, ndlr), soit une baisse de plus de 22%", précise le rapport de la Fédération italienne des éditeurs de journaux (FIEG).
Les actionnaires du prestigieux Corriere della Sera, principal quotidien italien avec plus de 400.000 exemplaires vendus chaque jour et véritable institution du pays depuis sa naissance, en 1866, ont annoncé qu’ils allaient tailler à la hache dans les effectifs. Sur l’ensemble du groupe RCS (Rizzoli Corriere della Sera), ce ne sont pas moins de 800 personnes qui devraient être mises à la porte et neuf magazines sur la trentaine détenus par l’entreprise, dont Novella 2000, Max, Yacht & Sails, seront mises en vente.
Traitement de choc en vue pour l'éditeur du «Corriere della Sera», le premier quotidien national italien fondé en 1876 à Milan. Face aux tensions persistantes du marché publicitaire, le directeur général de RCS Media Group, Pietro Scott Jovane, a présenté un plan d'économies drastique destiné à rétablir sa situation financière. Outre la fermeture d'une dizaine de magazines («A», «Europeo», «Max», «Ok Salute»… ), l'éditeur italien a revu à la hausse son plan d'économies avec un objectif de 800 suppressions de postes (dont 640 en Italie) sur un effectif global de 5.000 employés, contre un objectif initial de 500 départs en novembre. Même si le «Corsera» n'est pas épargné, avec une centaine de départs, l'essentiel de l'effort porte sur la branche magazine.
"Paris constitue l'un des plus passionnants laboratoires pour le futur du journalisme en ligne en Europe" relève une enquête consacrée à l'étude de neuf sites d'information pure players en France, en Italie ainsi qu'en Allemagne. En ligne (et en anglais) sur le site du Reuters Institute for the Study of Journalism de l'Université d'Oxford.
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Ce rapprochement entre les groupes éditant les journaux La Repubblica et La Stampa donne naissance à «l’un des principaux groupes européens du secteur de l’information quotidienne et digitale», se sont réjouies les deux entités.
Jusqu’au bout, le grand sémiologue et philosophe italien aura lutté pour l’indépendance et la liberté de penser. Il y a deux mois, Umberto Eco recevait Les Echos. Entretien.
Lire aussi "Umberto Eco: Que vive le journalisme critique!" (Le Monde abonnés)
Après le Financial Times en juillet, l’éditeur britannique Pearson cède ses parts dans l’hebdo libéral à la famille Agnelli pour 663 millions d’euros, une somme qui reflète le succès du titre.
Depuis 2013, c'est le CSA qui nomme les dirigeants des services publics audiovisuels, à savoir le président de Radio France, celui de France Télévisions et de France Médias Monde (RFI, France 24). Qu'en est-il chez dans les principaux pays européens?
Lire aussi "Pour Radio France, France TV, BBC, ZDF, c'est la fin de l'âge d'or" (myeurop.info)
Coup de tonnerre dans le monde de l'édition italien: le groupe Mondadori, propriété du magnat Silvio Berlusconi, présidé par sa fille Marina, éditeur d'Il Corriere della Sera, de la Gazzetta dello Sport e t d'El Mundo en Espagne, a fait une offre de rachat de son principal concurrent, RCS Libri, l'activité livres de RCS Mediagroup. S'il se concrétise, ce rachat donnerait naissance à un "moloch du livre" en Italie, sans égal en Europe.
Lire aussi "«Mondazzoli», nouveau Moloch de l’édition italienne" (Le Monde), "Mondadori-Rcs Libri: Umberto Eco opposé à une concentration inédite" (Acualitté), "Le groupe Berlusconi lance une OPA sur «le TDF italien»" (Les Echos), "En Italie, éditeurs et écrivains dénoncent la mainmise de Berlusconi sur l’édition" (Le Monde, édition abonnés) et "Médias: la double offensive de Silvio Berlusconi bouscule l'Italie" (Le Figaro, édition abonnés)
Publié par Mondadori, le groupe de presse de Silvio Berlusconi, dont la filiale française publie notamment Closer, Grazia ou Télé Star, Il mio papa est la première publication non catholique à parler du pape. Facile à lire, les photos occupent une large place dans cet hebdomadaire de 68 pages qui couvre l'actualité du pape, ses déplacements et ses réunions.
Lire aussi "Le Pape aura son magazine hebdomadaire"
Dépassé pour la première fois par la télévision à péage de Rupert Murdoch (Sky Italia) sur son propre marché, le groupe audiovisuel de Silvio Berlusconi, Mediaset, cherche des relais de croissance à l'étranger.
Fiat s'engage à monter à 20% au capital de RCS Mediagroup, l'éditeur du «Corriere della Sera». «L'actionnariat est soudé et a l'ambition de faire de RCS le plus grand groupe de presse italien», a assuré hier le président de Fiat, John Elkann, en se posant en garant de la «stabilisation» du groupe.
L'éditeur de «Closer», «Grazia» ou encore «Modes & Travaux» affiche un chiffre d'affaires 2012 en hausse de 9,6 %, à 381,6 millions d'euros. Ernesto Mauri, président de Mondadori France, est devenu la semaine dernière administrateur délégué de l'ensemble du groupe italien Mondadori, contrôlé par la famille de Silvio Berlusconi.
L'objectif avancé par le numéro un de RCS Media Group, Pietro Scott Jovane, est de réduire d'un tiers les effectifs de la rédaction du quotidien (110 sur 355) en trois ans, outre un plan de 270 départs dans l'administration et la branche magazines.
Si Giovanna Chirri, la journaliste dépêchée au Vatican pour l'agence de presse italienne Ansa, a pu sortir l'info en premier, c'est parce qu'elle a traduit en direct en italien l'annonce du pape, effectuée en latin lors d'un consistoire.
Après l'ouverture de son site britannique, et le démarrage de ses versions française (avec «Le Monde») et espagnole (avec «El Païs»), c'est la quatrième plate-forme lancée, en quelques mois, par la fondatrice du site d'agrégation, Arianna Huffington, avec un partenaire local en Europe.
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Urbano Cairo avait lancé une offre publique d'échange pour prendre le contrôle de l'entreprise propriétaire des deux principaux quotidiens de la péninsule, le Corriere della Sera et la Gazzetta dello Sport.