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Le Pôle d’indépendance du Groupe Le Monde se félicite de l’acquisition par le Fonds pour l’indépendance de la presse de NJJ Presse, société holding de Xavier Niel qui contrôle, via la société Le Monde libre, la majorité du capital du Groupe Le Monde ainsi que «Le Nouvel Obs». Voir aussi
Les sociétés des journalistes (SDJ) de Paris Match et du Journal du dimanche (JDD) se sont «sabordées», laissant ces titres «sans contre-pouvoir en interne». Le propriétaire de ces journaux, le groupe Lagardère, qui possède aussi Europe 1, est depuis novembre sous le plein contrôle de Vivendi, géant des médias contrôlé par la famille de Vincent Bolloré, aux opinions ultraconservatrices.
Le manque de couvertures consacrées aux civil·es gazaoui·es, un portrait pro-palestinien supprimé de l'édition papier dans laquelle il devait paraître, et des reproches appuyés du directeur Dov Alfon envers un article de la rubrique "CheckNews" démontant la communication israélienne autour du 7-Octobre. La première réunion collective de la rédaction de "Libération" autour de la couverture de la guerre à Gaza a été particulièrement animée. Récit. accès abonnés Voir aussi
La rédaction du Parisien, inquiète pour son indépendance après une "dérive" éditoriale privilégiant les "convictions de l'actionnaire LVMH", selon sa Société des journalistes, va rédiger une charte éthique, réclamée "depuis des mois" à la direction qui défend, elle, un média "ni neutre ni partisan". Le Parisien-Les Echos est la propriété du groupe de luxe LVMH détenu par Bernard Arnault.
Le 23 octobre 2023, dans le cadre des États généraux de l’information, la Conférence des écoles de journalisme a fait connaître ses revendications sur les conditions d’accès au métier de journaliste pour ses étudiants. Elle alerte sur plusieurs enjeux notamment sur ce fossé qui se creuse face aux attentes des rédactions.
La journaliste du média d’investigation «Disclose» est poursuivie pour avoir publié des informations sur l’opération «Sirli», menée par l’armée française pour le compte du pouvoir égyptien à partir de 2015. Voir aussi
Le conflit au Journal du dimanche, qui s’est soldé par le départ de la presque totalité des journalistes, a suscité une vive polémique sur la nature juridique des relations entre le propriétaire du journal et la rédaction qui est responsable du contenu. Toutefois ce débat sur une éventuelle réforme du droit de la presse a masqué une interrogation plus ample sur l’avenir économique très incertain d’une activité essentielle pour la vie démocratique. Par Antoine Tarlé Voir aussi
La rédaction du Journal du dimanche (JDD), en grève depuis trente-deux jours contre la nomination à sa tête de Geoffroy Lejeune, ancien directeur de la rédaction du magazine Valeurs actuelles et qui devrait prendre la direction effective de la rédaction à partir du 1er août, s’est dite, mardi 25 juillet, «plus déterminée que jamais», déplorant la «décision unilatérale» de Lagardère, propriétaire du titre, de rompre les négociations. Voir aussi
Huit anciens directeurs du Journal du dimanche (JDD), dont Hervé Gattegno, Cyril Petit et Alain Genestar, ont apporté leur soutien aux salariés de l’hebdomadaire en grève contre l’arrivée à sa direction du journaliste d’extrême droite Geoffroy Lejeune, venu de Valeurs actuelles. «Penser que l’identité d’un journal puisse être ainsi gommée revient à mettre en danger le fondement même de notre métier.» Voir aussi
Comment réagir quand un milliardaire veut s'offrir un média? En 2007, les journalistes des Échos, dont certains venus de La Tribune alors détenue par Bernard Arnault - LVMH, ont été confrontés à un cas d'école.
Le journaliste du média en ligne Brut Rémy Buisine a déposé une plainte, vendredi 5 mai, auprès de la police des polices, visant deux fonctionnaires l’ayant frappé lors de la manifestation du 1er-Mai à Paris. Vidéo diffusée sur Twitter à l’appui, il dénonce un coup de matraque et un coup de pied infligés par deux policiers lors de la manifestation alors qu’il était «au sol après avoir reçu un coup de bouclier». Voir aussi
Les journalistes craignent d’y voir la marque de son actionnaire, le groupe LVMH, alors qu’aucun signe avant-coureur ne laissait présager cette décision.
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Le présentateur de la chaîne info est accusé d’avoir diffusé pendant plusieurs mois à l’antenne des contenus «non validés» par sa hiérarchie. En toile de fond, des «soupçons d’ingérence» au service d’intérêts étrangers.
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Depuis les tensions du mois de novembre au sein de la chaîne francophone TV5 Monde dirigée par Yves Bigot, la relation continue de s'envenimer entre la direction de l'information et la rédaction. La société des journalistes (SDJ), créée en 2019 mais en sommeil depuis cinq ans, a été réactivée. Un nouveau bureau a été élu le 3 avril, présidé par l'animatrice Dominique Tchimbakala.
accès abonnés Voir aussi - "Quatre despotes conviés à la table de TV5 Monde" dans le Canard enchainé du 17 avril 2024
DÉONTOLOGIE Rayan Nezzar, avec lequel Ivanne Trippenbach est en couple depuis plusieurs années, a été nommé conseiller auprès du Premier ministre. Selon une enquête de Mediapart publiée avant l’annonce du retrait de Ivanne Trippenbach, plusieurs membres de la rédaction du Monde s’étaient inquiétés d’un risque de conflit d’intérêts. Voir aussi
La Société des journalistes (SDJ) de Paris Match a dit vendredi 22 décembre son désaccord avec le choix de la «une» du numéro 3894, consacrée à une crèche de Noël dans un foyer parisien appartenant au principal actionnaire de l’hebdomadaire, Vincent Bolloré. La SDJ «s’inquiète vivement de l’évolution de la ligne éditoriale du magazine et demande à la direction de Lagardère News des clarifications».
La Société des journalistes de «Capital» s’est désolidarisée d’un article intitulé «Franck Annese: les méthodes douteuses du patron de Society, So Foot… ». «Society» avait publié une enquête, cet été, sur le titre du groupe Prisma, détenu par Vivendi. «A la sauce Bollo », publié le 17 août, racontait comment, depuis que Vincent Bolloré a mis la main, en juin 2021, sur Prisma Media (Capital, Voici, Géo, Femme actuelle, etc.), la réalité du travail y serait faite d’«ingérence éditoriale, [de] management brutal et [de] rédactions décimées». Voir aussi
La crise se poursuit aux Échos. Proposée par le conseil de surveillance du quotidien économique, propriété de LVMH, la candidature de François Vidal, directeur délégué de la rédaction du journal depuis le départ mouvementé en mars dernier de Nicolas Barré, a été rejetée par la rédaction. Les statuts du journal Les Échos et l’accord d’indépendance, signés en 2007 lors de l’arrivée de Bernard Arnault, permettent aux journalistes de se prononcer sur le candidat proposé par l’actionnaire. Voir aussi
Dans quelles conditions la liberté d’expression s’exerce-t-elle en pratique dans le paysage médiatique français? Quel est le rôle de l'AFP, des CLP (Correspondants locaux de presse), du native advertising, des syndicats et des sociétés de journalistes? Qu'est-ce que le journalisme d'impact? Quelles pressions, explicites ou implicites, pèsent sur les personnes qui façonnent l’information? De quelles marges de manœuvre ces personnes disposent-elles? Rédacteur en chef à Arrêt sur images, Loris Guémart revient dans cet entretien sur les rapports de pouvoir qui président à la fabrication de l’information.
Depuis la Libération, les journalistes s’organisent pour défendre la ligne éditoriale et la déontologie de leurs médias. Une façon de contrebalancer le pouvoir des propriétaires, avec une efficacité qui varie d’une rédaction à l’autre. Voir aussi
Une nomination qui ne passe toujours pas. La rédaction du Journal du dimanche (JDD) a voté, mardi 11 juillet, la reconduction de la grève, qui arrive à son dix-neuvième jour, jusqu’à mercredi matin, pour dénoncer la nomination à sa tête du journaliste marqué à l’extrême droite Geoffroy Lejeune, a annoncé sa Société des journalistes (SDJ). La reconduction de la grève a été votée à 94% (87 pour, 6 contre, 9 ne se prononcent pas), selon la SDJ. Voir aussi
Les Echos ne paraîtront pas vendredi. La rédaction du quotidien économique détenu par LVMH, le groupe de Bernard Arnault, a décidé de se mettre en grève pour vingt-quatre heures, pour les publications print et Web, pour obtenir un renforcement des garanties d’indépendance. Voir aussi
Le quotidien, racheté en 2015 par LVMH, géant du luxe détenu par Bernard Arnault, ne parvient pas à renouer avec la rentabilité. A cela s’ajoutent des interrogations grandissantes des journalistes quant à l’indépendance du titre. Article réservé aux abonnés Voir aussi
Ça rue dans les brancards au sein des journaux de Bernard Arnault. Après leurs collègues des Échos, dont le directeur de la rédaction a été brutalement débarqué fin mars, les journalistes du Parisien s’inquiètent à leur tour pour leur indépendance et de la possible ingérence de leur actionnaire, le groupe LVMH.
Les rédactions du Journal du Dimanche et de Paris Match ont exprimé leurs "vives inquiétudes" quant au traitement dans leurs journaux des tensions entre leur actionnaire Vivendi et la ministre de la Culture, redoutant que cela n'entache leur "image d'indépendance". Voir aussi
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Le Fonds pour l’indépendance de la presse est désormais indirectement l’actionnaire majoritaire du Groupe Le Monde au côté du Pôle d’indépendance, principalement composé des sociétés de journalistes et de personnels des différents titres du groupe (Le Monde, Télérama, Courrier international, La Vie…).