Depuis le début de l’invasion russe, des photos et vidéos trafiquées ou détournées sont partagées en masse sur les réseaux sociaux. Stephanie Lamy, spécialiste des opérations sémantiques et stratégies de désinformation, explique à «Libé» comment éviter les pièges.
Voir aussi
- Facebook interdit aux médias d'État russes de diffuser des publicités et de monétiser (Le Figaro avec AFP, 26/02/2022)
- TikTok, Facebook et YouTube suspendent les comptes des médias d’Etat RT et Sputnik en Europe (Le Monde, 28/02/22)
"«Désinformation» est un mot piège. Beaucoup des contenus que l’on regroupe sous ce terme ne sont en réalité pas des informations fausses, mais plutôt des informations décontextualisées et partagées sur le coup de l’émotion. Twitter, avec son format court, est particulièrement propice à cette décontextualisation."