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Ukraine, Proche-Orient… Les reporters de guerre sont sollicités sur les fronts les plus violents. Au risque de leur vie, mais aussi de leur santé mentale, mise rudement à l’épreuve face à l’indicible.
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Recueillir les témoignages des victimes de VSS est éprouvant. L'écoute de ces récits exige de l'empathie et touche durablement les journalistes. Comment se débrouillent-ils avec l'écho de ce qu'ils ont entendu?
Dans un livre Une information brute? Journalisme, vidéos et réseaux sociaux (éditions INA) consacré à Brut, Aurélie Aubert, enseignante et chercheuse, revient sur la création de ce média (où s'est illustré Rémy Buisine) et analyse les modifications profondes qu'il a imposées à la production de contenus sur l'ensemble du paysage médiatique. Entretien. Voir aussi
À La Voix du Nord, les journalistes sont de plus en plus convaincus que la couverture médiatique du suicide affecte le lectorat. Reportage dans les coulisses du quotidien régional, premier média français à ouvrir ses portes à «Papageno», un programme national de prévention contre la contagion suicidaire.
Stressed, burnt out and sick of therapists who didn't understand them, San Francisco Chronicle journalists asked for help — and got it.
News avoidance is a very real phenomenon and, frankly, a deeply rational one for many people who see news as high risk, low reward. That’s the subject of a new paper out from Benjamin Toff and Rasmus Kleis Nielsen in the journal Political Communication. It’s titled “How News Feels: Anticipated Anxiety as a Factor in News Avoidance and a Barrier to Political Engagement,” and here’s the abstract.
"Findings suggest that people’s preexisting perspectives about what news is (anxiety-inducing) and offers for them (little practical value) play an important role in shaping attitudes toward news and subsequent behavior. These perspectives highlight the importance of emotional dimensions of news use beyond its presumed value as a source of information."
Envahissante voire anxiogène, l’actualité peut apparaître telle une vague qui va tout submerger. À l’occasion de la publication de son baromètre des médias, «La Croix L’Hebdo» a rencontré d’anciens «accros à l’info» qui ont entrepris une diète médiatique pour comprendre leur réaction et leurs attentes. (accès abonnés) Voir aussi
La pandémie a montré à tous l’ampleur et l’impact de la désinformation sur la société, explique Sebastian Dieguez, chercheur en neurosciences à l’Université de Fribourg, en Suisse, co-auteur du livre «Le complotisme» (Ed. Margada).
"Pour la première fois, on fait vraiment face à l’insuffisance du modèle strictement informatif. C’est quelque chose qu’on savait déjà pour le climat: il ne suffit pas de donner les faits ou de communiquer la science pour créer l’adhésion ou même faire comprendre ce qui se passe. Avec le Covid, c’est devenu évident."
Emmanuel Macron, même s'il se sait en terrain miné, propice aux accusations de vouloir censurer la liberté d'expression ou de mettre en place une vérité officielle comme au temps de l'ORTF, a installé ce mercredi une commission, qui sera chargée de réfléchir aux «impacts de la révolution numérique sur notre société et notre démocratie». Composée de 14 experts - sociologues, historiens, politologues, professeurs, journalistes - elle sera présidée par le sociologue Gérald Bronner, auteur du livre «Apocalypse cognitive» sorti au début de l'année. "Le CSA régule la parole politique en cette période électorale, en accordant un temps de parole à chaque candidat en fonction de son poids politique. Ne pourrait-on pas s'inspirer de cette logique pour le monde scientifique? Il ne s'agit pas de censurer des points de vue, mais de donner la parole à la mesure de ce que ces paroles pèsent dans le monde scientifique." Voir aussi
(article réservé aux abonnés) Pourquoi sommes-nous si sensibles aux «fake news»? Le sommes-nous réellement autant qu'on le dit et qu'on le croit? A l'heure du Covid-19, le phénomène serait surestimé et son impact aussi, même s'il révèle des biais cognitifs. Explications des spécialistes.
Rumeurs, complotisme, populisme... Le chercheur spécialiste des croyances, qui publie “Apocalypse cognitive”, décrypte les mécanismes de la crédulité. Et fait de la rationalité son grand combat. (article réservé aux abonnés)
La députée "La République en marche" Céline Calvez a présenté ce mercredi 13 janvier, devant la commission des affaires culturelles et de l'éducation, le rapport issu de la mission sur la place des femmes dans les médias en temps de crise. Elle formule 26 préconisations pour promouvoir la parole ainsi que l'expertise des femmes et résorber le déséquilibre encore patent avec l'exposition des hommes. Voir aussi
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These are a few highlights of our panel discussions on AI, mental health, newsroom diversity, reader revenue and foreign news Voir aussi
Selon Reporters sans frontières, nous sommes entrés dans une ère de polarisation des médias, où chacun peut trouver celui qui correspond à ses préférences politiques. Mais, au-delà de ce constat, que sait-on vraiment des critères qui influencent le choix des canaux par lesquels nous nous informons? Dans une étude pour la Fondation Descartes publiée dans Mass Communication & Society, nous avons obtenu des réponses plutôt nuancées en ce qui concerne l’usage effectif des médias en France et l’influence de la proximité politique.
Sur papier ou sur écran, lire revient à décoder des signes pour les doter d’une signification. Mais la luminosité des smartphones ou ordinateurs et les habitudes de scrolling changent la donne.
A massive study of Upworthy headlines — remember Upworthy? — shows how a few emotionally charged words can mean the difference between viral and ignored.
REPORTAGE Dans les Deux-Sèvres, les patients du service psychiatrie de l’hôpital de Niort prennent la parole sur l’antenne de cette Web-radio. A travers des lectures, des débats ou en réalisant des reportages, ils renouent avec ces mots qui leur ont souvent fait défaut. Une bulle dans le secteur de la psychiatrie, en grande souffrance. Réservé à nos abonnés
Depuis le début de l’invasion russe, des photos et vidéos trafiquées ou détournées sont partagées en masse sur les réseaux sociaux. Stephanie Lamy, spécialiste des opérations sémantiques et stratégies de désinformation, explique à «Libé» comment éviter les pièges. Voir aussi
Un dossier du Conseil national du numérique publié jeudi pointe différentes pistes d'action pour faire face aux effets psycho-sociaux «dangereux» des procédés utilisés par les réseaux sociaux et plateformes internet pour capter notre attention et nous maintenir rivés aux écrans. Parmi les pistes proposées, les auteurs, coordonnés par Anne Alombert et Olga Kokshagina, proposent notamment de «sensibiliser aux enjeux psychiques et sociaux de l'économie de l’attention», et de «renforcer l'éducation critique et pratique aux médias numériques».
Ce nouveau dispositif développé par la Confédération des maisons des jeunes et de la culture a été lancé à la MJC "Les Terrasses" de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), un an après l'assassinat de Samuel Paty. Voir aussi
A l'heure où nous sommes bombardés d'informations, il est indispensable d'apprendre à faire le tri dans ce que nous lisons ou entendons. Apprenons à détecter ce que les chercheurs baptisent «biais cognitifs»: biais de confirmation, de causalité, de généralisation, d'intention, de proportion, de présomption… pour ne citer que les plus courants. Voir aussi
La Trusted News Initiative et la BBC Academy ont proposé cette semaine une conférence virtuelle de trois jours sur la confiance dans les informations, une vue du front de la lutte contre la désinformation. Toutes les facettes les plus importantes de ce fléau ont été débattues: Pourquoi croit-on ou ne croit-on pas, quels publics sont les plus fragiles devant la désinformation, quel rôle ont les journalistes dans cette lutte, la technologie comme appui, bref, quelles sont les actions concrètes à mettre en place pour regagner la confiance des audiences.
S’affranchissant des contraintes propres aux grilles radio, de jeunes journalistes, souvent des femmes, investissent le Web. Partir de son intimité pour évoquer l’universel: les auditeurs approuvent. (article réservé aux abonnés)
La période actuelle est troublée par des attentats, dont celui qui a touché Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie en région parisienne, mais également par les répercussions de la pandémie liée à la Covid-19. Dans ce contexte anxiogène, de nombreux repères sont bouleversés pour chacun d’entre nous et de nombreux questionnements autour de potentielles conséquences psychotraumatiques apparaissent, notamment auprès des enfants. par Julie Rolling pédopsychiatre, Université de Strasbourg
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"La sécurité physique des journalistes est, depuis longtemps, un enjeu pour les rédactions. En 1992, Reporters sans frontières a publié la première édition de son Guide pratique de sécurité des journalistes. Depuis peu, les médias intègrent la problématique de la prévention des traumatismes psychologiques."