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Le 15 juin dernier, le journaliste scientifique Adrien Denèle (ESJ Lille 2013, 20e promo JS) était présent au Club de la Presse de Bordeaux pour animer un atelier consacré au journalisme sur Twitch. L’occasion de faire le point sur les possibilités offertes par cette plateforme de diffusion vidéo en direct au service de l’information.
Le verdict concernant les plaintes pour «dénigrement et diffamation» intentées par les dirigeants du groupe Reworld Media, Pascal Chevalier et Gautier Normand à l'encontre de Mathilde Fontez (ESJ Lille 2007, 14e promo JS) et Hervé Poirier (ESJ Lille 1999, 6e promo JS) qui ont fondé le mensuel «Epsiloon», sera rendu le 7 juin par le tribunal judiciaire de Paris. Article réservé aux abonnés Voir aussi
Des journalistes plus écologistes aimeraient que la causalité entre les événements et le dérèglement climatique soit plus systématique. Article réservé aux abonnés Voir aussi
Dans un entretien accordé à l’AFP, les cofondateurs du mensuel scientifique Epsiloon sont revenus sur sa première année d’existence, avec 60.000 acheteurs mensuels (dont 42.000 abonnés et 18.000 ventes au numéro). Le magazine doit faire face aux poursuites engagées par Reworld Media, qui réclame près d'un million d'euros à Mathilde Fontez (ESJ Lille 2007, 14e promo JS) et Hervé Poirier (ESJ Lille 1999, 6e promo JS), rédacteurs en chef d'Epsiloon, pour «diffamation», ainsi qu'à leur éditeur Unique Heritage Media (UHM) pour «concurrence déloyale et parasitisme». photo ©Maxime Tellier/Radio-France Voir aussi
Chers collègues journalistes: traiter de science n’est pas facile, j’en sais quelque chose. Vous n’êtes pas tous formés pour cela, et cela peut entraîner des erreurs involontaires, qui peuvent carrément poser des risques pour la société. Mais vous avez des pouvoirs: celui de réclamer de vos directions d’être formés pour le faire correctement, ou de les encourager à embaucher des journalistes spécialisés en science (il y en a bien en économie, en art, en sport…). Pour des sujets aussi sensibles que la pandémie actuelle, il y va de la santé de la société. Par Joël Leblanc, journaliste scientifique, président de l’Association des communicateurs scientifiques du Québec. Voir aussi
Face à une situation inédite, les médias audiovisuels ont principalement utilisé le «nombre de décès», statistique aisément compréhensible, pour rendre compte de la pandémie de Covid-19.
Selon "La correspondance de la presse" et "Le Monde", le groupe Reworld Media, qui édite notamment "Biba", "Auto Plus", "Top Santé" et la future plateforme de Pierre Ménès "Pierrot Football Club", a décidé d'attaquer en justice le magazine "Epsiloon", pour "dénigrement", "diffamation", "parasitisme" et "concurrence déloyale. Il lui réclame un total de 1,2 million d'euros. Pour rappel, en mars 2021, la quasi-totalité de la rédaction de "Science & Vie", journal né en 1913, a démissionné et a fondé" Epsiloon" avec le groupe Unique Heritage Media. Voir aussi
Le magazine scientifique Epsiloon, créé par des anciens de Science & Vie en conflit avec l'actionnaire du mensuel, sera disponible en kiosque le 23 juin, a précisé Hervé Poirier (ESJ Lille 1999, 6e promo JS), le rédacteur en chef de cette nouvelle publication, lors d'un événement organisé avec Un bout du monde, association qui se bat pour l'indépendance des médias et présidée par Julia Cagé. Voir aussi
«Epsiloon» fera son apparition dans les kiosques fin juin. La quasi-totalité de la rédaction du magazine scientifique avait démissionné fin mars, en désaccord avec la politique éditoriale de leur nouveau propriétaire Reworld Media. «Nous faisons le pari d’être plus intéressants à lire que notre concurrent», sourit son rédacteur en chef Hervé Poirier (ESJ Lille 1999, 6e promo JS). (accès abonnés) Voir aussi
Un an après le premier confinement, La Revue des médias revient avec Hélène Romeyer, spécialiste de la médiatisation des questions de santé, sur le traitement médiatique hors norme de la crise liée à la Covid-19. Voir aussi
Neuf journalistes travaillant pour le magazine Science et Vie, dont la quasi-totalité des rédacteurs titulaires, ont annoncé mardi avoir démissionné du titre en raison de «désaccords» avec le groupe Reworld Media, son propriétaire depuis l'été 2019.
Ce départ collectif concerne, dans le détail, cinq titulaires et quatre pigistes travaillant pour le mensuel et ses hors-séries. Il risque de porter «un coup fatal» à cette publication centenaire, spécialisée dans la vulgarisation scientifique, selon sa société des journalistes (SDJ). Voir aussi
Alors que le magazine scientifique se débat contre son propriétaire, Reworld, le ministère de la Culture a annoncé une mission pour réformer les conditions d'accès aux aides à la presse, exigeant notamment la présence de journalistes dans les rédactions concernées... Voir aussi
La rédaction du magazine, repris en 2019 par un groupe à la piètre exigence journalistique, s’inquiète des contenus de son site web et du manque d’effectifs. Voir aussi
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Une étude de plusieurs scientifiques allemands met en avant la hausse des articles produits par des «paper mills». Un article sur cinq dans une revue biomédicale serait faux. Et le phénomène pourrait encore gonfler avec l'IA… Voir aussi
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ENQUÊTE Ils parlaient de la pluie et du beau temps. Aujourd’hui, Evelyne Dhéliat, Marie-Pierre Planchon ou Laurent Romejko décrivent quotidiennement des catastrophes naturelles. En quelques années, ces journalistes sont devenus des observateurs inquiets du réchauffement de la planète dont ils tentent d’expliquer l’ampleur. Voir aussi
Les ressources que nous proposons proviennent de l’association Environmental Investigative Forum (EIF), un consortium de journalistes international à but non lucratif, dirigé par Alexandre Brutelle, reporter indépendant.
Outre une tendance croissante à la collaboration, déclare Brutelle, les perspectives sont excellentes pour ce qui est des enquêtes sur l’environnement, grâce à la disponibilité de l’imagerie spatiale et d’outils d’analyse de données de systèmes d’information géographique (SIG), de bases de données établies comme Global Forest Watch, et au partage de données provenant d’enquêtes récentes.
Les journalistes utilisent de plus en plus les outils du journalisme scientifique et de l’investigation scientifique pour enquêter sur le changement climatique, la santé ou la pollution. Parfois, ces outils peuvent aussi permettre de braquer les projecteurs sur des découvertes scientifiques douteuses.
Les journaux, radios et chaînes de télévision se rendent compte qu'il est indispensable de bien couvrir le changement climatique, une crise multiforme qui touche tous les aspects de la vie en société. Ils optent pour différentes stratégies afin de se transformer, mais ces nouveautés donnent parfois lieu à des tensions. Voir aussi
Un journaliste qui suit un dossier finit il par être «engagé»? Et cela est-il contraire à l’éthique? La question a donné lieu a de passionnants échanges lors des Assises du journalisme de Tours, qui étaient consacrées à l’information sur la crise climatique. Voir aussi
Un collectif de professionnels de santé et scientifiques dénonce la violence d'un article de France Soir les visant en faisant référence à la Veuve, surnom de la guillotine. Voir aussi
The climate crisis and covid-19 share many similarities - they are scary, intangible, and difficult to explain. Reuters Institute’s Wolfgang Blau talks about best practices to bring environmental stories to your audiences
L’enchevêtrement des récits scientifiques, médiatiques et politiques, accéléré par la pandémie, conduit à une confusion entre autorité et popularité. Dans cette cacophonie, il y a urgence à mettre en place une éducation aux médias, estime le professeur en sciences de l’information et de la communication Laurent Petit. Article réservé aux abonnés
Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles un sujet scientifique peut ne pas être fiable. Les charlatans profitent de la complexité de la science, certains éditeurs de contenus ne savent pas distinguer la mauvaise science de la bonne et certains politiciens colportent de la fausse science pour soutenir leurs prises de position. Voici six conseils pour vous aider à détecter les fausses données scientifiques. Voir aussi
Nous avons évoqué dans un précédent article la mobilisation de la rédaction de Science et Vie face aux pratiques brutales de Reworld Media, propriétaire du titre. Nous revenons dans cet entretien sur les tenants et aboutissants de cette mobilisation avec Hervé Poirier (ESJ Lille 1999, 6e promo JS), ancien directeur de la rédaction qui a quitté le magazine en septembre 2020. Quand marchandisation de l’information et journalisme scientifique ne font pas bon ménage...
Philippe Descola, Julie Battilana, Françoise Combes, Annie Ernaux, Gabriel Zucman, Julia Cagé… Dans une tribune au «Monde», un collectif de près de trois cents universitaires et scientifiques dénonce les pratiques du groupe Reworld avec l’éthique journalistique. "Ce combat pour Science & Vie, c’est d’ailleurs un combat pour l’ensemble des médias. Nous l’avons souligné, ce n’est pas la première fois que Reworld vide les rédactions des titres qu’il rachète de leurs journalistes et remplace l’information qu’elles produisaient par des contenus parfois faux, souvent publicitaires, régulièrement copiés-collés. Mais au-delà de Reworld, les exemples ne manquent pas d’actionnaires qui se croient tout permis. Article réservé aux abonnés
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«Le fait d’avoir une bonne idée, de proposer du contenu de qualité ne garantit pas forcément d’avoir un audience importante. Le mieux est d’avoir déjà une communauté qui vous suit sur d’autres réseaux sociaux, et de leur proposer ensuite de venir voir ce que vous faites sur Twitch»