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Salomé Saqué, Léa Chamboncel, Hugo Couturier, Aude Favre... Engagés et tournés vers la pédagogie, de jeunes « citoyens journalistes » esquissent des solutions pour restaurer la confiance dans les médias. À l’écart des réseaux mainstream. abonné·es
A chaque image de poubelle en feu, de charge policière ou de tir de mortiers d’artifice, ils sont une nuée, téléphone à la main, à saisir l’image en même temps. Apparus sur le trajet des manifestations avec, le plus souvent, la volonté d’apporter un récit des événements différent de celui des chaînes d’information, ces reporters journalistes ou reporters citoyens sont de plus en plus nombreux. (accès abonnés) Voir aussi
À l'occasion de la réunion annuelle organisée par le Fonds pour une presse libre (FPL), journalistes et intellectuels ont engagés différents débats quant à la liberté de la presse et les solutions pour garantir plus de transparence. L'occasion de revenir sur les enjeux de la presse locale. Clémence Faustis, rédactrice en chef de revue Far ouest, un média d’info locale en Nouvelle Aquitaine, Faustine Stenberg, journaliste chez Splann! et Marie Barbier, rédactrice en chef de la revue féministe La Déferlante, ont décrit leurs quotidiens et la manière dont elles parvenaient à faire émerger de nouvelles informations. Voir aussi
Durant quarante ans, Pierre Assouline a publié dans de nombreux médias de presse écrite: France-Soir, Lire, Le Magazine Littéraire, L'Express, L'Histoire, mais a aussi fait de la radio: RTL, France Culture, France Inter… Depuis 2005, il tient un blog littéraire, «La République des livres». Avec l’avènement d’internet et des réseaux sociaux, il a vu les critiques amateurs faire leur apparition, parfois au détriment des journalistes.
Wikipédia fonctionne et est utilisée comme une encyclopédie: on y entre dans un sujet ou un champ de connaissance ou on y recherche une information précise et factuelle. Mais d’autres fonctionnements et usages en font aussi un média d’information. Explications.
Souvent à l’origine d’images ou d’enquêtes qui ont révélé les violences policières, ces reporters assidus aux manifestations sont parfois assimilés à des militants. «Les Taha Bouhafs, les Gaspard Glanz ont changé les règles du métier», assure David Perrotin, l’auteur pour le média en ligne Loopsider de l’enquête sur l’agression raciste de Michel Zecler, samedi 21 novembre à Paris. Article réservé aux abonnés Voir aussi
Armés de nos téléphones, sommes-nous tous des reporters en puissance, à l’image de la lycéenne qui a filmé la mort de George Floyd ? Alors que s’ouvre le festival Visa pour l’image à Perpignan, du 29 août au 27 septembre, le photojournalisme, en pleine révolution, n’a jamais semblé aussi nécessaire. Aux États-Unis, en France, et partout ailleurs. (article réservé aux abonnés)
Depuis son lancement, le 23 juin, le trimestriel souverainiste se serait écoulé à plus de 70.000 exemplaires d'après Stéphane Simon, cofondateur et producteur du média, qui compte aujourd'hui 45.000 abonnés (papier et numérique confondus). A titre de comparaison, la revue XXI , lancée en 2008, se vend à environ 20.000 exemplaires par numéro et compte moins de 10.000 abonnés. Plus qu'un média, Front Populaire entend peser dans la présidentielle de 2022. Voir aussi
(accès abonnés) Ils filment côté manifestants et sont devenus la bête noire des forces de l’ordre. Gaspard Glanz, Taha Bouhafs ou Rémy Buisine incarnent une génération controversée de reporters militants. Voir aussi
Si le smartphone fait de nous tous des journalistes, il n’y aura plus de journalistes, a averti le président de la République dans ses vœux à la presse. Le nouvel instrument du peuple est-il en train de détruire le Quatrième pouvoir?
Enquête À l’occasion du festival Médias en Seine, la consultation citoyenne intitulée « Comment les médias peuvent améliorer la société?», dont La Croix est partenaire, est rendue publique ce mardi 8 octobre. Ses résultats sont en résonance avec d’autres initiatives visant à mieux s’informer. Voir aussi Des citoyens appellent les médias à plus de lenteur et d’analyse (La Croix, 8/10/19)
Par Nicolas Kaciaf De la mobilisation des «gilets jaunes» à ces «affaires de Rugy», le travail journalistique a récemment suscité de fortes controverses. Ces polémiques réactivent des interrogations anciennes: chacun peut-il se revendiquer journaliste ou bien cette activité doit-elle être réservée à des professionnels reconnus par leurs pairs? Les journalistes peuvent-ils être au service d’une cause ou bien doivent-ils faire preuve d’une stricte neutralité? La vérité factuelle constitue-t-elle le seul critère de pertinence du travail journalistique? La crédibilité des contenus dépend-elle de l’identité des propriétaires des médias? Loin d’être neuves, ces questions prennent une tournure singulière dans un contexte de profond chamboulement de l’écosystème médiatique.
Après sa garde à vue, le reporter indépendant s’est vu imposer un strict contrôle judiciaire. Voir aussi
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Depuis 2021, Vivant, pure-player charentais, organise régulièrement des conférences de rédaction citoyennes. Les habitants locaux proposent des sujets aux journalistes, et découvrent l’univers journalistique par la même occasion.
Alors que de plus en plus de médias locaux ferment à travers les États-Unis, et que les autres resserrent leur budget et réduisent leur personnel, il n'y a pas toujours un journaliste disponible pour couvrir chaque réunion du conseil municipal. Le Documenters Network, créé en 2018 sous l'égide de City Bureau, forme et rémunère des citoyens pour qu'ils prennent des notes lors de réunions publiques peu médiatisées. Le réseau dispose d’antennes à Chicago, Détroit, Cleveland et Minneapolis. Chaque site emploie des membres à temps partiel ou à temps plein qui écrivent et mettent en ligne les notes des réunions, créent des newsletters et mènent d'autres projets spéciaux.
News outlets that have the public as their main source of revenue, through subscriptions, membership, and other programs, are more inclined to integrate the voice of the audience into their editorial decisions. That's according to a study published in Brazilian Journalism Research, which analyzed 80 media from 20 countries in Latin America regarding the incidence of content generated by the audience.
Le festival international de photojournalisme Visa pour l'image, l'un des plus importants évènements consacrés au photojournalisme dans le monde, expose à partir de samedi à Perpignan le travail de ceux qui, malgré les difficultés du métier, ont toujours la même soif d'être "témoins du monde". A l'occasion du 10e anniversaire de la guerre en Syrie, une exposition met à l'honneur toute une génération de jeunes photographes syriens, qui n'avaient souvent aucun lien avec le journalisme et ont documenté le conflit au péril de leur vie.
Invité sur le plateau du journal de 23 heures sur Franceinfo, Rémy Buisine, journaliste et vidéaste pour le média Brut, revient sur la métamorphose constante des médias à l’heure du digital. (vidéo)
Le site d'investigation locale Médiacités a lancé cette semaine un outil en ligne qui permet de suivre les promesses électorales des exécutifs de quatre grandes villes et métropoles (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse). Baptisé Radar, cet outil gratuit mis en ligne mercredi est la première plateforme dédiée au suivi des promesses des élus des grandes villes, a expliqué à l'AFP Jacques Trentesaux, directeur de la rédaction de Médiacités, qui lance un appel au public pour l'aider à compléter ce travail de fourmi. Voir aussi
In the era of vulture investors, tech monopolies, and ubiquitous free internet content, the traditional financial structures that once supported journalism have splintered into bits. But so, too, have some long-standing institutional notions about what journalism is and could be. The exacerbation of the local news crisis, propelled by the pandemic, demands new financial models, but it also underlines the need for better media structures—in which readers are no longer audiences, but partners in the work. Reimagining journalism’s relationship to its community could serve as both an important end and a means to survival.
11 médias (20 Minutes, La Croix, le groupe EBRA, franceinfo, France Médias Monde, le groupe France Télévisions, Ouest France, le Parisien, le groupe Radio France, le groupe TF1 et La Voix du Nord), la société de technologie et de conseil Bluenove, et Google News Initiative, se sont associés dans le cadre d’une vaste consultation «Médias et citoyens», qui a pour ambition de retisser les liens de confiance entre les journalistes et les citoyens. Voir aussi
A lire dans Les Cahiers du numérique, 2019/3 (Vol. 15) (en ligne sur Cairn) Partout sur la planète, et plus particulièrement depuis une décennie, on constate une multiplication et une visibilité sans précédent des mouvements sociaux dans les médias. En plus des médias dits traditionnels, les plateformes numériques participatives (blogs et réseaux sociaux) jouent un rôle déterminant dans l’amplification de la résonance de ces mouvements, qu’il s’agisse notamment des mobilisations citoyennes liées aux «Printemps arabes» ou des «Gilets jaunes» en France. Au sommaire notamment: - Du journaliste au citoyen? Les mobilisations sociales à l’épreuve de la confluence des informations, par
Tourya Guaaybess et Nicolas Pélissier - La couverture des mouvements sociaux avant l’ère numérique: Les journalistes-agenciers en pologne avant la chute du mur par Michael Palmer
- Des journalistes pas comme les autres: Le traitement médiatique des Gilets jaunes, un révélateur des tensions qui traversent le journalisme, par Alexandre Joux.
Le reporter, engagé à gauche et connu pour ses tweets provocateurs, a été placé en garde à vue vendredi après avoir souligné la présence de Macron aux Bouffes du Nord. Il a été libéré samedi soir. Voir aussi
La presse va mal. Des reporters sont mis en garde à vue. Et des journalistes sont empêchés. Leur travail est indispensable à notre démocratie, mais ils ne sont pas des grands médias. Circulez !
Marsactu à Marseille, Le D'Oc à Montpellier, Mediacités à Lille, Lyon, Toulouse et Nantes... Depuis quelques années, la France voit naître dans ses villes une forme de journalisme inédite: l'investigation locale collaborative. Dans un souci d'indépendance, ces "médias web" refusent la publicité, les subventions locales et les actionnaires autres que leurs propres journalistes ou lecteurs. Des équipes réduites, qui rejettent souvent toute couleur politique, et opèrent donc avec leurs lecteurs et d'autres médias selon un mode ultra-collaboratif. Pourquoi cette tendance?
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"Je voulais donner des éléments de compréhension du système politique aux citoyens tout en sensibilisant les élus à des questions qui leur échappent" (Léa Chamboncel)