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In this factsheet we test how well two of the most widely used generative artificial intelligence (AI) chatbots – ChatGPT and Bard (now called Gemini) – provide the latest news to users who ask for the top five news headlines from specific outlets. We prompted each chatbot to provide headlines from the most widely used online news sources across ten countries and analysed the outputs to provide descriptive statistics on how they responded.
Les Etats généraux de l'information ont présenté jeudi leur diagnostic sur le coût du journalisme en France. L'enjeu reste de trouver des pistes pour améliorer le financement des rédactions, à l'heure où les revenus des médias sont sous pression et les Gafam délaissent le champ des news. accès abonnés Voir aussi
C'est une première en France, un média qui s'allie à l'outil phare de l'intelligence artificielle générative. Le quotidien français "Le Monde" annonce avoir signé un partenariat avec l'entreprise OpenAI, derrière ChatGPT. Jusqu'ici les médias s'étaient montrés méfiants vis-à-vis de ces outils. Voir aussi Intelligence artificielle: un accord de partenariat entre «Le Monde» et OpenAI. Par Louis Dreyfus (Président du directoire du «Monde») et Jérôme Fenoglio (Directeur du «Monde») (Le Monde, 13 mars 2024)
Meta, maison mère de Facebook, qui a retiré les contenus d'actualités de sa plateforme dans nombreux pays, a indiqué qu'il supprimerait l'onglet Facebook News en Australie et ne renouvellerait pas ses accords de contenus avec les médias d'une valeur de centaines de millions de dollars.
Le groupe audiovisuel public canadien CBC Radio-Canada a confirmé la suppression de 600 emplois, soit 10% de ses effectifs, en raison «de la diminution des revenus publicitaires de la télévision et de la concurrence féroce des géants du numérique».
Google vient de conclure un accord d'autorisation avec la société des Droits voisins de la presse (DVP)", présidée par l'ancien journaliste Jean-Marie Cavada. A ce jour, "les accords en France couvrent plus de 350 sites d'éditeurs de presse". Le groupe américain avait signé un accord-cadre en mars 2022 avec l'Alliance pour la presse d'information générale (APIG) (qui regroupe près de 300 titres de presse quotidienne nationale, régionale et locale), puis en avril 2022 avec le Syndicat des éditeurs de la presse magazine (SEPM, qui représente 80 éditeurs pour plus de 400 titres). Outre ces deux accords-cadres, Google avait signé des accords individuels, avec l'Agence France-Presse (AFP) en novembre 2021 puis avec d'autres médias comme Le Monde. Voir aussi
L’Alliance de la presse d’information générale (Apig), dont «Libération» est membre, annonce que les éditeurs de presse vont «mettre en place les mécanismes de réserve légale» pour empêcher les robots explorateurs du Web d’accéder à leurs contenus sans contrepartie.
Les grands médias et le gouvernement sont très critiques des géants du Web et de leur mainmise sur la diffusion du contenu en ligne, mais ne font pas grand-chose pour s’attaquer sérieusement au pouvoir de ces entreprises, se contentant de réformes ciblées et peu efficaces. Pivot s’est entretenu avec le sociologue Philippe de Grosbois, auteur des livres Les batailles d’Internet et La collision des récits: le journalisme face à la désinformation, pour en discuter.
A l'image du «New York Times», quelques sites français, dont ceux de Radio France et TF1, empêchent le robot GPTBot d'OpenAI de se nourrir de leurs contenus. Refusant d'être «pillé», le secteur réfléchit à la manière d'obtenir une juste rémunération de la part des géants de l'IA. Voir aussi
Depuis le 1ᵉʳ août, les liens vers les sites d’information ne s’affichent plus sur Facebook et Instagram, alors que plus de 400 feux parcourent le pays. Leur maison mère, Meta, entend ainsi protester contre une nouvelle loi relative à l’information en ligne. Alphabet, propriétaire de Google, entend également procéder à un blocage des liens vers les sites d’information, là aussi pour protester contre la loi C-18 («Online News Act»). Voir aussi
Déplorant que Twitter n'ait «jamais accepté de négocier» l'application des droits voisins, les trois groupes de presse assignent en justice le réseau social dirigé par Elon Musk et sa filiale française. Ils réclament les données permettant d'évaluer la rémunération dont ils estiment Twitter redevable. Voir aussi
Facebook et Instagram bloqueront l'accès aux publications provenant de médias canadiens, a déclaré leur maison mère Meta en réaction à une loi tout juste votée qui oblige les géants du web à payer pour diffuser le contenu des médias locaux.
Son nom est inconnu du grand public, mais son influence, discrète, se traduit dans la vie politique. Textes de loi, aides à la presse, négociations sur le numérique... Pierre Petillault est le lobbyiste chargé de défendre les intérêts des médias réunis au sein de l'Alliance de la presse d'information générale (Apig). Méconnu du grand public — et de la plupart des 15.000 journalistes employés par ses membres — ce syndicat patronal représente 285 journaux: les quotidiens nationaux, les quotidiens régionaux, ainsi que de très nombreux hebdomadaires locaux. Voir aussi
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Google a annoncé qu'il allait supprimer des liens vers les sites d'information californiens dans les résultats de recherche de certains habitants de l'Etat américain, pour riposter contre un projet de loi qui l'obligerait à verser aux éditeurs un pourcentage des revenus publicitaires générés par les contenus journalistiques.
La firme américaine est condamnée ce mercredi 20 mars pour «ne pas avoir respecté quatre de ses sept engagements» et ne pas avoir négocié «de bonne foi» avec des éditeurs de presse pour évaluer leur rémunération au titre des droits voisins.
Le tribunal judiciaire de Paris rendra le 14 mai sa décision concernant X (ex-Twitter), assigné en référé par une dizaine de titres de presse français dont Le Monde, Le Figaro et Les Echos, ainsi que l'AFP, pour obtenir l'application des droits voisins du droit d'auteur. Etendu aux plateformes numériques en 2019 par une directive européenne, le droit voisin permet aux journaux, magazines ou agences de presse de se faire rémunérer lorsque leurs contenus sont réutilisés sur Internet par les géants comme Google ou Facebook. Voir aussi
À peine remise des conséquences sur ses modèles économiques de la révolution numérique, la presse fait face à celle de l'intelligence artificielle. Comment éviter de perdre des emplois et la valeur de contenus journalistiques très prisés? La toute nouvelle régulation européenne devrait l'aider. Avec - Pierre Petillault directeur général de l’Alliance de la presse d’information générale (APIG)
- Julie Lorimy directrice générale du Syndicat des éditeurs de la presse magazine (SEPM)
Après plusieurs mois de négociations, le gouvernement du Canada et Google ont conclu un accord pour que le groupe californien verse une compensation aux entreprises de presse du pays en échange de la diffusion de leurs contenus, rapportent plusieurs médias canadiens. Voir aussi
Google a évoqué vendredi un possible blocage dès décembre des sites d'information sur son moteur de recherche au Canada en réponse à une nouvelle loi canadienne obligeant les géants du numérique à payer les médias pour le partage de leurs contenus.
Le Centre français d'exploitation du droit de copie (CFC), société qui gère collectivement les droits d’auteur du livre et de la presse pour les copies et les rediffusions de leurs contenus, dans les secteurs professionnel et pédagogique, dévoile la 3e édition de son baromètre du partage de la presse dans les organisations françaises avec un focus sur le comportement des cadres. Parmi les enseignements, l’étude relève que les articles de presse sont les contenus les plus rediffusés par les cadres (87%), devant les extraits de programme TV et radio (52%), puis les podcasts (47%).
Le géant américain des réseaux sociaux Meta a annoncé mardi qu'il mettrait fin à l'onglet Facebook News à la fin de l'année sur ses principaux marchés européens, à savoir le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne. Si les utilisateurs du plus grand réseau social au monde pourront toujours lire et partager des nouvelles sur leur fil d'actualité, Meta ne prendra plus en charge l'onglet «actualités» et ne conclura plus d'accords avec des éditeurs de presse pour fournir du contenu dans ces pays, qui comptent plus de 130 millions d'utilisateurs, a indiqué l'entreprise dans un billet de blog. Voir aussi
Alors que Meta, l'entreprise propriétaire de Facebook et d'Instagram, continue de bloquer les contenus d'information canadiens sur ses plateformes, plusieurs journaux francophones hors du Québec se tournent vers la solidarité de leur communauté pour passer à travers cette nouvelle crise. Voir aussi
Google a développé un produit basé sur l’intelligence artificielle capable d’écrire des articles de presse. Le projet, nommé Genesis en interne, est toujours en phase de test mais a été présenté à plusieurs entreprises de presse américaines dont le New York Times, le Washington Post et le géant News Corp (propriétaire notamment du Wall Street Journal). L’outil serait capable d’agréger des informations et des détails sur des événements d’actualité et d’en tirer une synthèse écrite. Voir aussi
En vertu d’une loi récemment approuvée par le Sénat du Canada, Google et Meta se verront obligés de négocier des accords commerciaux avec les médias locaux afin de diffuser leurs actualités sur ses plateformes. Contre ce nouveau cadre législatif, les deux groupes ont décidé de ne plus relayer les liens redirigeant vers des articles canadiens. Google juge que «malheureusement, lorsque vous mettez un prix sur les liens, vous brisez la façon dont le Web et les moteurs de recherche fonctionnent».
Des médias et des entreprises commencent à utiliser des clichés produits avec les logiciels d’intelligence artificielle Midjourney ou Dall-E 2. Des photographes et des illustrateurs estiment leurs droits et leurs rémunérations menacés.
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"The outputs from ChatGPT are heavily influenced by whether news websites have chosen to block it, and outputs from identical prompts can change over time for reasons that are not clear to users."