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Plus de la moitié des activités du quotidien régional dirigé par Edouard Coudurier sont désormais réalisées dans le hors presse, notamment grâce à la société HelloWork spécialisée dans le recrutement, l'emploi et la formation, mais aussi dans le sport avec un point d'orgue, celui de La Route du Rhum, et la production d'événements avec C2G pour l'organisation - entre autres - des Francofolies et du Printemps de Bourges. Voir aussi
Samuel Petit (67e promo ESJ Lille, 1993), rédacteur en chef du Télégramme, nous explique comment le journal a adapté sa manière de produire des contenus suite à la mise en place d'un paywall sur ses articles en ligne. Certains optent pour un modèle gratuit engendrant une course à l’audience pour pouvoir vendre de l’affichage aux annonceurs. D’autres misent sur des partenariats directs avec des marques, sous forme de publi-rédactionnel, de native advertising voire même de prestations conseils. Le Télégramme a de son côté fait le choix d’un contenu exclusif, à forte valeur ajoutée, monétisé à travers les abonnements de ses lecteurs. A écouter:
Ceci n’est pas un scoop: la presse quotidienne régionale (PQR) se vend moins. Son lectorat se renouvelant peu, les groupes de presse régionaux tentent, ces dernières années, de pallier leur manque d’attractivité en ajustant leur modèle économique.
Trois à quatre millions d'euros. C'est la somme que Le Télégramme engagera, cette année, pour relooker totalement l'espace rédaction du siège du journal, situé à Morlaix, et renouveler son système informatique. Pages en couleur dès les années 60, site internet au milieu des années 90, passage au format réduit en 2002... Depuis son installation à Morlaix en 1941, Le Télégramme a toujours cherché à investir et à innover. Un dynamisme qui en fait, aujourd'hui, le sixième quotidien régional français. Lire aussi "Le Télégramme progresse à contre-courant de la presse régionale" dans Challenges du 12 janvier 2017
Edouard Coudurier, PDG du groupe Télégramme, et Hubert Coudurier, directeur de l’information du Télégramme, étaient présents chez 366 le 1er octobre dernier pour présenter leur modèle économique et leurs perspectives. 40% du CA du groupe provient d’activités de diversification et les revenus publicitaires ne représentent plus que 25% des recettes du groupe. Offremedia était présent pour vous en proposer les principaux éléments. Durée: 9min30
Lire aussi "Le Télégramme veut racheter deux périodiques bretons (Le Mensuel du Golfe et Le Mensuel de Rennes)" (CB News)
Le Télégramme, qui possède deux télévisions locales dans le Finistère et le Morbihan, en association avec le groupe Médias du Sud, dirigé par Christophe Musset et qui gère quatre chaînes locales dans le sud de la France, est en discussion avec TF1 en vue d’une «association» avec LCI ou d’une «reprise» de la chaîne.
Sur le Net, les quotidiens payants se rallient au paywall
Les mouvements dans les médias. Sébastien Le Fol, directeur adjoint de la rédaction du Point, est quant à lui nommé directeur de la rédaction de l'hebdomadaire. Lire aussi "Les projets dans les médias" (http://bit.ly/1l5GhMg) et "À l'honneur dans les médias" (http://bit.ly/1ejyIbK)
A écouter dans "le grand bain" (France Inter) Sud-Ouest, La Montagne, Nice-Matin, Ouest-France... Partout en France, la presse quotidienne régionale annonce des fermetures et des licenciements. Jeux de pouvoir politiques, bérézina économique: d'ici peu, que restera-t-il de votre journal local? Avec Emmanuel Schwartzenberg (Télé Toulouse), Olivier Gerolami (Groupe Sud Ouest), Hubert Coudurier (Le Télégramme) et Jean Stern.
Le groupe Hersant Média suscite la convoitise de plusieurs investisseurs. Ailleurs en France, les difficultés s'amoncellent pour les titres régionaux. Sur la carte de France de la PQR, il n'y a guère que La Dépêche du Midi qui se porte bien. Le Télégramme, à Brest, vient de réduire sa pagination et préparerait un plan d'économie. Même Ouest-France, considéré comme le plus solide des titres régionaux, commence à flancher.
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Si la crise sanitaire et celle du papier ont marqué durement les résultats financiers de la presse, l’heure est aujourd’hui à la fois à la reconquête et aux nouvelles ambitions. Edouard Coudurier, le président du groupe Le Télégramme, entend poursuivre ce nouveau souffle, tout en ne cachant pas son inquiétude face à des plateformes qui voudraient dicter leurs lois. Interview.
Mercredi 17 avril un nouvel hebdomadaire a fait son apparition dans les kiosques de la région Bretagne et en Loire-Atlantique. La particularité du Journal de la Bretagne: traiter de l'information des cinq départements de la Bretagne historique. "Notre seule ambition c'est de donner une bonne synthèse de l'info en Bretagne toutes les semaines. De Nantes à Brest et de Rennes à Guingamp" explique le rédacteur en chef Erwan Chartier. Voir aussi "Nouveau média. Le Journal de la Bretagne" (Le Télégramme, 16 avril 2019)
Le groupe breton, qui possède notamment La Route du Rhum, réalise désormais 50% des 160 millions d'euros de son chiffre d'affaires dans le sport, les ressources humaines ou l'organisation de festivals (Francofolies de La Rochelle et Printemps de Bourges). Voir aussi "Les petits secrets de la réussite du Télégramme de Brest" (Challenges abonnés)
Le groupe Le Télégramme a déposé une offre de reprise du groupe Scrib, présidé par Killian Tribouillard et qui édite deux périodiques en Bretagne, Le Mensuel du Golfe et Le Mensuel de Rennes.
Lire aussi "Le Télégramme lance une nouvelle application mobile et tablette" dans La Correspondance de la Presse du 20 novembre 2015
Édouard Coudurier est le président-directeur général du groupe Télégramme, qui édite le titre breton Le Télégramme, l'un des premiers quotidiens régionaux français. En 2014, son groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 150 millions d'euros, dont un quart provient désormais des diversifications, notamment dans l'organisation d'événements sportifs. L'éditeur souhaite par ailleurs s'impliquer dans le mouvement à venir de consolidation du secteur des télévisions locales.
Le groupe de presse régionale a pris le contrôle d'OC Sport, l'organisateur d'événements fondé par Ellen MacArthur.
Cerné d'un côté par la mer, de l'autre par son principal concurrent «Ouest-France», le finistérien «Le Télégramm » ne cesse d'innover pour continuer d'exister. Il a mis en kiosque ce matin une nouvelle formule de son quotidien print et Web. Edouard Coudurier, le président du groupe familial qui fête cette année ses soixante-dix ans d'existence, la veut «plus attrayante avec un maximum d'iconographies».
"Merci de patienter car Ouest France n'a sans doute pas cette info." Une petite erreur de publication sur le site du Télégramme a mis en lumière une stratégie étonnante des grands quotidiens régionaux. Explications.
Cet article de Denis RUELLAN et Joël LANGONNE se propose de revenir sur la trajectoire suivie par un quotidien régional (le Télégramme) dans la diversification de ses activités et la mise à contribution de ses équipes pour réaliser un journalisme multisupports. Elle soutient l’hypothèse que l’objectif de ce processus est moins dans la recherche d’une transformation des activités traditionnelles que dans la construction d’un discours de modernité et dans l’acculturation à des activités nouvelles qui peuvent être développées parallèlement au journal papier.
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Le Télégramme vient d'acheter une nouvelle rotative pour son imprimerie de Morlaix qui jouxte la rédaction du journal. Elle permet de changer automatiquement les plaques pour les dix-neuf éditions locales du Télégramme, dont la dernière date de 2014 et couvre Dinan-Dinard-Saint Malo, concurrençant sur ses terres le géant Ouest-France.