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Le quotidien francophone créé à Beyrouth en 1924 a survécu aux guerres et aux crises et est l'un des seuls médias véritablement indépendants du monde arabe. Voir aussi
Au lendemain de l'explosion qui a gravement endommagé le bureau de l'AFP dans la bande de Gaza, l'armée israélienne, qui pilonne le territoire palestinien depuis plusieurs semaines, a affirmé vendredi soir avoir mené une frappe à "proximité" du bureau de l'Agence sans avoir "en aucune façon" visé ce bâtiment. Voir aussi
Le journaliste franco-afghan Mortaza Behboudi, qui était détenu depuis le 7 janvier en Afghanistan, a été libéré mercredi 18 octobre après avoir été acquitté par la justice afghane, a annoncé l’ONG Reporters sans frontières (RSF). Voir aussi
Le site d’information, fondé en 2013 par un petit groupe de passionnés du Moyen-Orient et du Maghreb, réunis autour d'Alain Gresh, ancien directeur adjoint du Monde diplomatique, a réussi à se développer malgré un modèle entièrement gratuit. Grâce à un vaste réseau de rédacteurs bénévoles, deux campagnes de collecte de dons par an et quelques aides de l’Etat, il a aussi trouvé son modèle économique. Article réservé aux abonnés
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a renouvelé aujourd'hui son appel à la communauté internationale pour qu'elle prenne des mesures concrètes afin de protéger la sécurité et les libertés des journalistes, après avoir enregistré un pic du nombre de journalistes tué.e.s ou emprisonné.e.s en 2022. Depuis le 1er janvier 2022, elle a recensé 67 meurtres de journalistes et d'employé.e.s des médias dans l'exercice de leurs fonctions, contre 47 en 2021, soit un renversement de la tendance à la baisse enregistrée ces dernières années. Voir aussi
Alors que s’ouvre la Coupe du monde de football au Qatar, des atteintes à la liberté de la presse pendant (et après) la compétition seraient inadmissibles. La Fédération internationale de football association (FIFA) avait formulé l’engagement de “garantir les meilleures conditions de travail possibles aux médias participant au tournoi” le 15 octobre dernier. Cette promesse n’a pas été pleinement tenue et il ne faudrait pas qu’elle soit trahie pendant la compétition. Les témoignages de journalistes de sport, inquiets de subir une interpellation, des violences, ou même une détention arbitraire, se multiplient.
Facebook a annoncé jeudi 21 juillet avoir fermé les comptes d’au moins deux médias d’État afghans, le groupe de radio-télévision publique RTA et l’agence d’État Bakhtar, arguant de la nécessité de se conformer à la loi américaine qui classe les talibans parmi les organisations terroristes. Les talibans utilisent largement les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter depuis leur prise du pouvoir en août 2021, et exercent un contrôle strict sur les médias publics afghans.
Le Pakistan a modifié sa législation régulant la désinformation sur les réseaux sociaux, en fixant à cinq ans la peine de prison maximale encourue pour la publication de propos jugés calomnieux à l'égard de l'armée, du système judiciaire ou des pouvoirs publics. Ces changements ont suscité la réaction indignée du monde des médias qui accuse le gouvernement de chercher ainsi à restreindre un peu plus la liberté d'expression dans le pays, déjà considéré comme l'un des plus répressifs au monde pour les journalistes. Voir aussi
Reporters, écrivains, photojournalistes ou cameramen, ils couvrent les conflits de notre temps. Depuis le 11 septembre 2001, ils ont vu le monde basculer, leur métier se transformer, les groupes terroristes les prendre pour cibles. Emmanuel Razavi, grand reporter et spécialiste de la géopolitique du Moyen-Orient, publie un livre intitulé «Grands reporters, confessions au cœur des conflits» (éditions Amphora, collection bold), dans lequel il raconte le métier de reporter de guerre à travers les témoignages des plus grands noms de la profession.
La liberté de la presse s'éteint en Afghanistan. L'ONG Reporters sans frontières (RSF) a dénoncé onze "règles du journalisme" édictées par les talibans. Voir aussi
La journaliste Margaux Benn (EDJ Sciences Po 2015) a couvert l'Afghanistan pendant trois ans et demi pour différents médias. Alors que les talibans sont revenus à la tête du pays, elle nous raconte son quotidien de correspondante et comment elle travaille aujourd'hui.
Observateur avisé du conflit israélo-palestinien, Charles Enderlin a publié en avril De notre correspondant à Jérusalem. Le journaliste y retrace les moments-clés de son travail dans la région, en particulier ses trente-quatre ans de correspondance pour France 2, dont il a dirigé le bureau entre 1991 et 2015.
Besmullah Adel Aimaq, un journaliste radio afghan, a été tué par balles, vendredi 1er janvier, à Ghor, dans le centre de l’Afghanistan. Il s'agit du cinquième journaliste ou employé de médias assassiné en deux mois dans le pays, où les violences ciblées ont augmenté malgré les pourparlers en cours entre le gouvernement de Kaboul et les Taliban.
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Les journalistes du média qatari, qui assume sa ligne propalestinienne, sont pratiquement les seuls représentants de la presse internationale dans l’enclave palestinienne assiégée. Article réservé aux abonnés
Si celles et ceux qui sont nos yeux et nos oreilles disparaissaient, Gaza deviendra un trou noir de l’information, alerte un collectif de journalistes qui demande aux gouvernements égyptien et israélien la possibilité d’entrer dans ce territoire. Voir aussi
Huit journalistes ont été tués depuis la riposte d’Israël à l’attaque du Hamas du 7 octobre, dans l’enclave, l’un des lieux les plus dangereux pour la presse.
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D’après des sources internes, le média a, à plusieurs reprises, bloqué des articles par crainte d’offenser la monarchie saoudienne, remettant en question la liberté des journalistes à rendre compte des violations des droits de l’homme dans le pays.
Une trentaine de journalistes de la chaîne d’information paneuropéenne déplorent que la majorité des sujets concernant le Qatar soient dorénavant couverts depuis Doha. Un bureau dans lequel les salariés ne seraient pas formés pour le «news», mais davantage pour des magazines sponsorisés.
Iran. Alors que le mouvement de contestation déclenché par la mort de la jeune Mahsa Amini entre dans sa septième semaine, des journalistes dénoncent la répression qui frappe plusieurs de leurs confrères accusés d’être des “agents de l’étranger”. Voir aussi
Shireen Abu Akleh a été tuée mercredi alors qu'elle couvrait une opération de l'armée israélienne à Jénine, en Cisjordanie occupée. Un choc pour les journalistes et toutes les personnes qui suivaient ses reportages depuis des années. Voir aussi
La journaliste a mené mardi, sur i24News, un débat consacré à Jean-Michel Blanquer et à la polémique autour de son séjour à Ibiza. Sans préciser aux téléspectateurs qu’elle est l’épouse du ministre. Anna Cabana anime l’émission Conversations sur i24News, et dirige également les pages littéraires du Journal du dimanche. Voir aussi
C'était il y a vingt ans, en Afghanistan. Les talibans vivaient leurs dernières heures au pouvoir à Kaboul. Sur le terrain, dans le nord-est de l'Afghanistan, Johanne Sutton (ESJ Lille 1990, 64e promo), journaliste à RFI, Pierre Billaud, journaliste à RTL et ancien de Radio France, et Volker Handloik, journaliste allemand envoyé par le magazine Stern. Le 11 novembre 2001, ils suivent un convoi de soldats de l'Alliance du Nord entre Taloqan et Kunduz quand ils sont pris pour cible par les talibans. Au terme de l'embuscade, les trois journalistes sont retrouvés morts.
Massoud Hossaini, lauréat du prix Pulitzer en 2012 alors qu'il travaillait pour l'Agence France-Presse et aujourd'hui freelance, explique dans un entretien à l'AFP que les nouveaux maîtres de l'Afghanistan verrouillent déjà la presse, ciblant en particulier les femmes journalistes.
L'homme de 39 ans lance cet appel désespéré alors qu'il se repose aux Pays-Bas après sa fuite mouvementée sur le dernier vol commercial partant de Kaboul le jour où les talibans ont pris le pouvoir, le 15 août. Voir aussi
Liban. L’« arrestation », lundi, de deux journalistes étrangers dans la banlieue sud de Beyrouth par des hommes qui se sont identifiés comme des agents du Hezbollah a secoué les milieux de la presse et les ambassades concernées. Si l’affaire n’est pas inédite – ce n’est pas la première fois que des journalistes sont interceptés et interrogés dans le fief du Hezbollah –, elle met en lumière la paranoïa de plus en plus aiguë du parti chiite qui se sent menacé par la moindre enquête menée dans ce qu’il considère être «ses quartiers généraux».
Samedi, une frappe israélienne a détruit la tour abritant les bureaux de l'agence de presse américaine et ceux d’Al-Jazeera à Gaza. L'armée israélienne avait prévenu AP de l'imminence de la frappe.
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Né de la fusion en 1971 des quotidiens «L'Orient», fondé en 1924, et «Le Jour», lancé dix ans plus tard, l'OLJ doit sa survie au soutien des familles Eddé et Hélou, ses principaux actionnaires, et à un virage numérique réussi qui lui permet de maintenir le lien avec la diaspora libanaise, qui représente 75% de son audience.