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L'homme aux mille vies a été impliqué jusqu'à son dernier souffle dans le grand journal de la ville de Marseille. Bernard Tapie détenait 89% des parts du Groupe La Provence, qui édite également Corse-Matin. (accès abonnés) Voir aussi
France-Antilles, le seul quotidien de Martinique, Guadeloupe et Guyane, est menacé de disparition. Créé en mars 1964 à l'occasion de la visite officielle du président Charles de Gaulle en Martinique, le journal, qui a longtemps été un instrument de pouvoir pour l'exécutif, propose trois éditions distinctes, FA Martinique, FA Guadeloupe et France Guyane. Voir aussi
La direction de France-Antilles a demandé l'ouverture d'une procédure de placement en redressement judiciaire "suite aux difficultés financières auxquelles doivent faire face les sociétés du groupe", selon Frédéric Verbrugghe, le directeur général du journal distribué en Martinique, en Guadeloupe et en Guyane. Voir aussi
Le tribunal mixte de commerce de Fort-de-France a décidé ce mardi de confier la reprise de la holding Antilles Guyane Médias (AGM-France-Antilles et France-Guyane) et de ses filiales à la société AJR Participations, l'une des deux candidates à la reprise du groupe. L'offre d'AJR Participations avait reçu le soutien d'une partie du personnel à la différence de celui de la société "She Three" de Marc Laufer qui envisageait notamment la suppression d'une soixantaine de postes. Voir aussi "Mme Aude JACQUES-RUETTARD reprend France-Antilles" dans La Correspondance de la Presse du 14 juin 2017
Interview Claude Perrier, PDG du groupe La Provence, à lire dans Le Figaro du 22 juin 2015. "Entre la réduction de la masse salariale et celle sur les frais de gestion, nous devrions être bénéficiaires dès 2016. Ce qui est rare dans ce métier de la presse écrite que je découvre depuis un an."
Lire aussi "Le groupe belge Nethys acquiert 11% du groupe La Provence" (CB News, 30 octobre 2015)
Le quotidien France-Antilles Guadeloupe, qui fête ses 50 ans cette année, a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Pointe-à-Pitre. Le journal qui compte 127 salariés est en proie à des difficultés financières depuis plusieurs mois. Il présente un lourd déficit.
Voir aussi "France-Antilles toujours dans la tourmente" (Guadeloupe 1ère)
L'ancien directeur de l'information de TF1 sera nommé lundi président du directoire et directeur des rédactions par un conseil de surveillance provisoire présidé par Jean-François Roubaud, l'élu SNJ ayant porté le projet de reprise du groupe par ses propres salariés.
Lire aussi "Une nouvelle ère pour Nice Matin" (La Croix)
Les déclarations de Bernard Tapie sur i-Télé ont fait bondir les salariés du quotidien marseillais. Face à Audrey Pulvar, Bernard Tapie a affirmé que le quotidien marseillais n'avait «vraiment pas été objectif» dans sa couverture des élections municipales et avait favorisé le candidat socialiste, Patrick Mennucci. La raison? «80% de la rédaction est à gauche», assurait-il.
Lire aussi "Corse-Matin: les salariés choisissent Bernard Tapie"
Parmi les candidats au rachat de Nice-Matin, actuellement en redressement judiciaire, le belge Rossel s’engage à supprimer moins de 400 postes sur les 1.128 du quotidien régional. Trois questions à Bernard Marchant, administrateur délégué du groupe Rossel, propriétaire du Soir et, en France, de La Voix du Nord.
Lire aussi "Nice-Matin: Tapie abat sa dernière carte"
Le 30 septembre, le quotidien France Antilles Martinique a été placé en redressement judiciaire. Un épisode de plus dans la déconfiture scandaleuse du Groupe Hersant Médias (GHM). Pour les salariés, c’est la crainte d’un plan social qui pourrait concerner entre 30 et 50 personnes, sur les 200 que compte l’entreprise.
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Il n'y aura plus de quotidien papier en Martinique, Guadeloupe et Guyane: la liquidation judiciaire jeudi de France-Antilles entraîne la disparition des trois éditions du journal, et le chômage pour les 235 salariés. Après plusieurs mois d'incertitude, le groupe France-Antilles, ancienne filiale du groupe Hersant, était en redressement judiciaire depuis le 25 juin 2019. Et le groupe, créé en mars 1964 à l'occasion de la visite officielle du président Charles de Gaulle en Martinique, n'a depuis pas réussi à trouver de repreneur fiable. Voir aussi
La direction du groupe FA Médias, qui détient les quotidiens France-Antilles et France-Guyane, en redressement judiciaire depuis le 25 juin, a alerté samedi sur une possible liquidation judiciaire fin octobre. "Le compte à rebours a commencé, dans 30 jours les dés seront jetés", a déclaré le directeur général de France-Antilles, Frédéric Verbrugghe. Voir aussi
(Edition premium) Chez France-Antilles, une Hersant en remplace un autre. Placé en liquidation judiciaire au printemps 2017, le groupe de presse opérant en Martinique, en Guadeloupe et en Guyane, alors détenu par Philippe Hersant, a été repris en juin à la barre du tribunal de commerce par sa nièce, Aude Jacques-Ruettard, et son holding AJR Participations. Voir aussi "Après la grève, redressement judiciaire à l'imprimerie de La Dépêche de Tahiti" (Graphiline)
(Accès premium) Les journaux restent une histoire de famille chez les Hersant. Antilles Guyane Médias, le nouveau nom de l'ex-groupe France-Antilles contrôlé par le groupe Hersant Média (GHM), pourrait changer de main mais rester dans le giron de la famille. Aude Jacques-Ruettard, la nièce de Philippe Hersant et la petite-fille par alliance de Robert Hersant, ancien poids lourd de la presse française longtemps propriétaire du Figaro , devrait en effet faire prochainement une offre de reprise du groupe de son oncle, dont elle détient 38% via son holding personnel AJR Participations. Lire aussi "La presse quotidienne régionale va mieux" et "Presse régionale: la digitalisation a enfin vraiment démarré" ainsi que "Le groupe Antilles Guyane Médias Services, éditeur des quotidiens France-Antilles, placé en redressement judiciaire" dans La Correspondance de la Presse du 18 avril 2017 et "Mme Aude JACQUES-RUETTARD, petite-fille de Robert HERSANT, accompagnée par M. Philippe LABI, ancien directeur de l'information de M6 et ancien éditeur et rédacteur en chef à Prisma Presse, va déposer une offre de reprise du groupe de presse Antilles Guyane Médias" dans La Correspondance de la Presse du 21 avril 2017
«Le Saumon» a 30 ans. Retour sur la naissance d'un supplément économique qui a fait école. À l'heure des écrans, l'originalité et la singularité d'un journal restent les meilleurs gages de son succès.
Si les quotidiens locaux se portent légèrement mieux que la presse nationale, le secteur cache d’importantes disparités entre les titres. De 150 titres après la Seconde Guerre mondiale, on n’en compte plus qu’une soixantaine actuellement. Et derrières ces journaux locaux, se cachent en réalité à peine une dizaine de groupes de presse. Le groupe Ebra concentre, par exemple, l’ensemble de la PQR de l’Est français, après le grignotage progressif des titres par le Crédit Mutuel, principal actionnaire du groupe, depuis 2006.
Lire aussi "Groupe Sud Ouest: un résultat d’exploitation en progression" (CB News)
Robert Namias a été nommé le 1er décembre dernier président du directoire du groupe Nice-Matin et directeur des rédactions de Nice-Matin, Var-Matin et Monaco-Matin. L'ancien patron des rédactions de TF1 détaille ses ambitions pour le groupe de presse régionale, détenu depuis novembre 2014 par la société coopérative d'intérêt commun des salariés de Nice-Matin. Il fait un point sur le redressement du groupe et expose son projet éditorial.
Dans un entretien au Figaro, Bernard Tapie explique pourquoi il a décidé de soutenir le projet de reprise des salariés de Nice-matin et souligne son rôle: "Je n'aurais aucun droit dans la gouvernance. Le groupe sera mené par les dirigeants de leur choix."
Lire aussi "Nice-Matin: des salariés dans la rue, Rossel explique son plan" (challenges.fr/AFP)
Deux projets, deux additions. Une étude comparative des offres de Rossel et de la SCIC (Société coopérative d'intérêt collectif) Nice-Matin montre une nette différence quant à l'évaluation du coût de la reprise du groupe Nice-Matin. Sur le papier en tout cas, cela ne fait pas un pli: l'offre rédigée par les salariés est estimée à moins de 14 millions d'euros et supposerait le licenciement de 159 salariés. Quand celle de Rossel est évaluée à 30 millions d'euros, avec un plan de départ contraint ou non de 376 salariés.
«La SCOP continue… mais sans Tapie.» C'est ainsi que les personnels de Nice-Matin ont annoncé, vendredi 19 septembre, la rupture de l'alliance qu'ils avaient nouée avec l'homme d'affaires. Les représentants des salariés refusent de s'engager à procéder à des licenciements si le nombre de 169 départs prévu dans leur projet n'était pas atteint par la voie du volontariat.
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Actionnaire minoritaire, le milliardaire Xavier Niel est bien placé pour reprendre journal marseillais si la famille Tapie décide de vendre.