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Google a annoncé qu'il allait supprimer des liens vers les sites d'information californiens dans les résultats de recherche de certains habitants de l'Etat américain, pour riposter contre un projet de loi qui l'obligerait à verser aux éditeurs un pourcentage des revenus publicitaires générés par les contenus journalistiques.
Le tribunal judiciaire de Paris rendra le 14 mai sa décision concernant X (ex-Twitter), assigné en référé par une dizaine de titres de presse français dont Le Monde, Le Figaro et Les Echos, ainsi que l'AFP, pour obtenir l'application des droits voisins du droit d'auteur. Etendu aux plateformes numériques en 2019 par une directive européenne, le droit voisin permet aux journaux, magazines ou agences de presse de se faire rémunérer lorsque leurs contenus sont réutilisés sur Internet par les géants comme Google ou Facebook. Voir aussi
Après plusieurs mois de négociations, le gouvernement du Canada et Google ont conclu un accord pour que le groupe californien verse une compensation aux entreprises de presse du pays en échange de la diffusion de leurs contenus, rapportent plusieurs médias canadiens. Voir aussi
Google vient de conclure un accord d'autorisation avec la société des Droits voisins de la presse (DVP)", présidée par l'ancien journaliste Jean-Marie Cavada. A ce jour, "les accords en France couvrent plus de 350 sites d'éditeurs de presse". Le groupe américain avait signé un accord-cadre en mars 2022 avec l'Alliance pour la presse d'information générale (APIG) (qui regroupe près de 300 titres de presse quotidienne nationale, régionale et locale), puis en avril 2022 avec le Syndicat des éditeurs de la presse magazine (SEPM, qui représente 80 éditeurs pour plus de 400 titres). Outre ces deux accords-cadres, Google avait signé des accords individuels, avec l'Agence France-Presse (AFP) en novembre 2021 puis avec d'autres médias comme Le Monde. Voir aussi
Google a développé un produit basé sur l’intelligence artificielle capable d’écrire des articles de presse. Le projet, nommé Genesis en interne, est toujours en phase de test mais a été présenté à plusieurs entreprises de presse américaines dont le New York Times, le Washington Post et le géant News Corp (propriétaire notamment du Wall Street Journal). L’outil serait capable d’agréger des informations et des détails sur des événements d’actualité et d’en tirer une synthèse écrite. Voir aussi
Après les artistes et les développeurs, c'est au tour de la presse de reprocher à OpenAI d'avoir utilisé leurs articles pour entraîner ChatGPT, sans permission. Voir aussi
Arrivé à la tête de l'Agence France Presse (AFP) en 2018, son PDG Fabrice Fries a été reconduit dans ses fonctions pour un deuxième mandat de cinq ans par le conseil d'administration. Voir aussi
L’Humanité, Konbini et Les Jours font partie des lauréats. Google va financer les projets d’une quarantaine de médias européens jugés innovants, dont 8 français, à hauteur de 150.000 euros chacun maximum.
Après presque trois ans de négociations intenses et parfois mouvementées entre Google et les éditeurs et agences de presse, l'heure est à l'apaisement sur le dossier de la rémunération des droits voisins. L'Autorité de la concurrence (ADLC) a accepté les engagements pris par le géant de la tech tendant à assurer que, dans le respect de la loi de juillet 2019 sur les droits voisins , il négocie «de bonne foi» avec les éditeurs les conditions de rémunération de leurs contenus (articles, photos, vidéos, etc.) s'affichant sur son moteur de recherche et autres services. Voir aussi
Google, filiale d'Alphabet, a indiqué à Reuters avoir signé un accord avec plus de 300 éditeurs de presse en Allemagne, en France et dans quatre autres pays européens pour leur verser une rémunération dans le cadre de l'utilisation de leurs informations et va déployer un outil pour faciliter d'autres accords en ce sens. Cette décision fait suite à l'adoption, il y a trois ans, d'une directive européenne sur le droit d'auteur et les droits voisins qui oblige Google et d'autres plateformes en ligne à rémunérer les musiciens, artistes, auteurs, éditeurs de presse et journalistes pour l'utilisation de leur travail.
Google a annoncé un accord avec la plus grande association de médias français: l’Alliance de la presse d’information générale (APIG), qui regroupe les quotidiens nationaux (Les Echos, Le Parisien-Aujourd’hui en France, Le Figaro…) et régionaux (La Dépêche du Midi, Sud-Ouest, Ouest-France…), ainsi que la presse hebdomadaire régionale. La signature est une avancée importante dans le long feuilleton qui a commencé en 2019 autour des droits voisins. Créés par la directive européenne sur le droit d’auteur, ceux-ci donnent le droit aux médias de négocier avec les plates-formes numériques une rémunération pour la reprise d’extraits d’articles. La discussion avec le Syndicat des éditeurs de la presse magazine (SEPM) est en cours et Google devra ensuite négocier avec le Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spill) représentant Mediapart ou Arrêt sur Images, par le biais de l’organisme de gestion collective Droits voisins de la presse (DVP), créé par plusieurs associations. (Article réservé aux abonnés) Voir aussi
La bataille (juridique) pour l’application du droit voisin continue. Déjà à l’origine, avec d’autres (l’Alliance de la presse d'information générale, l’AFP…), de l’amende de 500 millions € infligée par l’Autorité de la concurrence mi-juillet 2021 à Google, le Syndicat des éditeurs de presse magazine (SEPM), représentant notamment Le Point, Le Canard enchaîné ou Télérama, a annoncé avoir déposé une nouvelle procédure contre le moteur de recherche. Voir aussi
Plusieurs campagnes publicitaires qui étaient prévues ces derniers mois par le groupe américain dans l'hebdomadaire ont été annulées après un éditorial de son directeur Étienne Gernelle contre le groupe américain. (accès abonnés)
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La firme américaine est condamnée ce mercredi 20 mars pour «ne pas avoir respecté quatre de ses sept engagements» et ne pas avoir négocié «de bonne foi» avec des éditeurs de presse pour évaluer leur rémunération au titre des droits voisins.
accès abonnés Gafam. Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft. Ajoutons à la liste le nouveau X de Twitter et le T de Tiktok pour un panel complet. 62% des Français passent par un réseau social pour s'informer. Face aux géants du web, les médias ont mis un temps infini à réagir, en passant des accords financiers pour gratter une part du gâteau, ou en courant derrière les dernières évolutions de ces éditeurs incontournables pour s'assurer une visibilité en ligne. La presse peut-elle sortir de cette nouvelle dépendance? Et à quel prix? Avec Laurent Mauduit, Nathalie Sonnac et Olivier Ertzscheid.
Campbell Brown, cheffe de l’information chez Facebook, a annoncé sa démission le 3 octobre. Le lendemain, X a commencé à supprimer les titres d’articles relayés sur sa plateforme. Le 11 octobre, le responsable de l’application Threads d’Instagram, un concurrent de X, a indiqué que son réseau social n’allait pas «amplifier» l’information des médias traditionnels. Voir aussi
Google a évoqué vendredi un possible blocage dès décembre des sites d'information sur son moteur de recherche au Canada en réponse à une nouvelle loi canadienne obligeant les géants du numérique à payer les médias pour le partage de leurs contenus.
En vertu d’une loi récemment approuvée par le Sénat du Canada, Google et Meta se verront obligés de négocier des accords commerciaux avec les médias locaux afin de diffuser leurs actualités sur ses plateformes. Contre ce nouveau cadre législatif, les deux groupes ont décidé de ne plus relayer les liens redirigeant vers des articles canadiens. Google juge que «malheureusement, lorsque vous mettez un prix sur les liens, vous brisez la façon dont le Web et les moteurs de recherche fonctionnent».
Le Wits Centre for Journalism et l’École de journalisme et d’études des médias de l’université Rhodes, en Afrique du Sud, sont en train de mettre en œuvre un nouveau projet de l’UNESCO, financé par Google News Initiative, visant à renforcer les écoles de journalisme en Afrique.
Le service Google News Showcase est désormais une réalité en France. Ce nouvel onglet, accessible sur son portail Actualités et sur Discover, sélectionne des articles issus d’un réseau composé aujourd’hui de 130 médias partenaires. Parmi eux, des titres de la presse quotidienne nationale (PQN), comme Le Figaro, Le Monde et Libération, de la presse quotidienne régionale (PQR) comme La Dépêche et La Provence, ainsi que la presse magazine comme L’Obs et Les Inrockuptibles. Ces derniers sont rémunérés par Google, et ce versement s’ajoute au règlement des droits voisins. Voir aussi
Le tribunal de commerce de Paris a débouté le site France-Soir, qui reprochait à Google de lui avoir coupé la publicité et de ne plus le référencer dans son service d'actualités pour cause de contenus complotistes sur le Covid-19. Shopper Union, la société éditrice du site France-Soir, a perdu sur toutes ses demandes et a été condamnée à payer 70.000 euros à Google, au titre des frais engagés par le groupe américain pour sa défense,
Le réseau social réfléchirait au non-renouvellement de ses contrats avec les médias, dont les contenus d’actualité nourrissent aujourd’hui sa rubrique News. Les journaux américains concernés risquent de perdre des millions de dollars. Voir aussi
Face aux risques de désinformation et d'influences étrangères qui pourraient intervenir avant le premier tour de l'élection présidentielle française le 10 avril, Google et YouTube mettent en place plusieurs actions. Objectif: protéger et informer.
Au Canada, «dans les prochains jours», le gouvernement Trudeau déposera son projet de loi qui obligera Google et Facebook à dédommager les médias canadiens dont ils relaient les nouvelles. Le pays emboîte ainsi le pas à l’Australie, dont il s’est inspiré pour légiférer. Dans l’attente des moindres détails, décryptage d’un modèle inspirant, mais qui n’est pas sans faille. Voir aussi
L'Agence France Presse (AFP) dirigée par Fabrice Fries, et le moteur de recherche, représenté en France par Sébastien Missoffe, sont parvenus à un accord spécifique de rémunération de contenus pour les cinq prochaines années. Même si son montant forfaitaire n'a pas été révélé, il s'agit d'un pas important dans la reconnaissance des droits voisins. Voir aussi
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En France, un accord a été conclu en 2022 entre Google, éditeurs et agences de presse pour permettre que les contenus d'information s'affichant dans les résultats du moteur de recherche et sur d'autres services fassent l'objet d'une rémunération.