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Après 13 mois sans directeur des rédactions, les journalistes du quotidien économique se sont prononcés pour la nomination de Christophe Jakubyszyn, passé par La Tribune, Le Monde, TF1 et BFM Business. 
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Après des mois d’inertie, l’audition de Mathieu Gallet par la Société des journalistes des «Echos» dans le cadre de son éventuelle accession au conseil de surveillance, pourrait constituer la première étape du retour au processus de nomination d’un nouveau directeur de la rédaction.
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"L' arrivée de Mathieu Gallet dans le trio d’administrateurs indépendants (avec Nicolas Molfessis, juriste, et Alice Antheaume, la directrice de l’école de journalisme de Sciences Po) fait figure de rebondissement potentiellement décisif dans une intrigue en cours d’enlisement."
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Rachetée par Bernard Arnault, la revue de vulgarisation historique est dirigée depuis par le chroniqueur à succès d’Europe 1, CNews et “Valeurs actuelles”. L’accusant d’une lecture passéiste, deux journalistes ont quitté la rédaction. Décryptage.
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"L’écrivain et animateur d’émissions à succès sur Europe 1 et Radio Classique est régulièrement pointé du doigt pour ses biais, approximations et falsifications historiques."
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La crise se poursuit aux Échos. Proposée par le conseil de surveillance du quotidien économique, propriété de LVMH, la candidature de François Vidal, directeur délégué de la rédaction du journal depuis le départ mouvementé en mars dernier de Nicolas Barré, a été rejetée par la rédaction.
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"Selon des témoins, le candidat à la direction de la rédaction n’avait pas convaincu de sa réelle volonté à encourager la révélation d’informations susceptibles de déplaire aux acteurs économiques. Il n’avait pas non plus apporté de réponse satisfaisante sur la façon dont l’actualité du groupe de luxe LVMH serait couverte à l’avenir."
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Le Parisien has established a strong foundation on TikTok since it started publishing on the platform a year ago. Here, the company’s head of video shares what they have learned along the way. Aurélien Viers (CFJ 2001), Editor-in-Chief of Le Parisien’s Web Video Department, appointed Mathieu Hennequin (CFJ 2021), who had just graduated from a journalism school, as its first TikTok journalist and created a TikTok account with him.
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"Although there is currently no way to monetise TikTok videos (unlike on YouTube or Facebook, for example), TikTok is a critical investment in building brand awareness among the young: It’s for Le Parisien to exist in this universe.”"
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Comment réagir quand un milliardaire veut s'offrir un média? En 2007, les journalistes des Échos, dont certains venus de La Tribune alors détenue par Bernard Arnault - LVMH, ont été confrontés à un cas d'école.
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La SDJ monte régulièrement au créneau: quand Bernard Arnault désigne son fils Antoine pour siéger au sein du comité d'indépendance éditoriale ou quand le journal publie une nécrologie de Jean Arnault (le père du propriétaire) comme s'il s'agissait d'une personnalité de premier ordre… L'indépendance reste un combat.
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Ça rue dans les brancards au sein des journaux de Bernard Arnault. Après leurs collègues des Échos, dont le directeur de la rédaction a été brutalement débarqué fin mars, les journalistes du Parisien s’inquiètent à leur tour pour leur indépendance et de la possible ingérence de leur actionnaire, le groupe LVMH.
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«Des journalistes ont témoigné ici qu’il leur a été explicitement demandé de ne pas travailler sur certaines enquêtes. D’autres racontent ce mécanisme insidieux qui veut qu’on anticipe un “non” et qu’on s’autocensure»
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Après plus de 30 ans de partenariat avec le groupe "Le Figaro", la presse régionale a décidé de diffuser son propre magazine télé.
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La France compte une dizaine de magazines télé, dont Télé 7 Jours (845.000 exemplaires), Télé Z (708.000) ou Télé Star (587.000). Contrairement aux deux nouveaux venus, ils sont vendus à part et pas comme supplément d'autres journaux.
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Profitant de l'appétit des téléspectateurs pour les histoires vraies, des journaux comme «Le Parisien», qui a investi dans la société de production StudioFact, ou «Vanity Fair» font adapter certaines de leurs enquêtes en documentaire ou en fiction. Une pratique déjà bien ancrée aux Etats-Unis. (accès abonnés)
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"Pour un reportage de télévision, le tarif syndical payé par les diffuseurs est d'environ 1.700 euros la minute, soit près de 90.000 euros les 52 minutes. Le budget d'un documentaire va de 60.000 euros, au plus bas, à 500.000 pour un projet important pour une plateforme, note StudioFact. Un budget de cinéma se chiffre en millions."
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Le Parisien entre au capital de StudioFact pour produire des contenus télé autour d’histoires vraies
Le Parisien entre ce lundi au capital de la société de production audiovisuelle StudioFact, spécialisée dans la narration d’histoires vraies, après la signature d’un partenariat exclusif en septembre 2021. Grâce à celui-ci, une dizaine de documentaires et reportages inspirés d’enquêtes réalisées par le quotidien ont vu le jour et ont été diffusés à la télévision.
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«Cette diversification s’inscrit dans notre volonté de faire du Parisien un média référent dans le domaine des grands récits, capable de produire aussi bien pour l’écrit, le numérique (les podcasts et la vidéo en particulier), et désormais les contenus télé.»
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La société des journalistes et les syndicats du quotidien détenu par Bernard Arnault s’émeuvent de la non-parution d’une interview de Philippe Martinez, le leader de la CGT, pourtant validée par les responsables de permanence. Le directeur de la rédaction du quotidien, Nicolas Charbonneau, a fait savoir, dimanche, qu’il ne souhaitait pas la voir publiée. Par ailleurs, une réorganisation de la rédaction a été annoncée en comité social et économique.
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La réforme éditoriale mise en œuvre il y a deux ans s’apprête à subir quelques retouches. Certaines thématiques (le théâtre, le spectacle vivant, les livres, mais aussi la macroéconomie) devront faire l’objet d’un traitement plus modéré, et les sujets dits «marronniers» (les crèmes solaires, le chassé-croisé des vacanciers…) bannis autant que possible.
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Le groupe de luxe LVMH de Bernard Arnault a injecté 65 millions d'euros dans le groupe de presse Les Echos-Le Parisien, qu'il contrôle, afin d'éponger ses pertes, selon une annonce légale consultée mercredi par l'AFP, confirmant une information de La lettre A.
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Un nouveau projet éditorial, déployé courant 2020, s'est assorti de la suppression des éditions départementales et d'un plan de départs volontaires qui a concerné au total cinquante employés.
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Venu jeudi 20 janvier devant le Sénat présenter son groupe de presse et de médias comme une activité désintéressée de «mécénat», le leader du luxe, Bernard Arnault, l’un des hommes les plus riches du monde, a tenu à se démarquer en affirmant vouloir conserver une ligne éditoriale à laquelle il «adhère».
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L’homme d’affaires qui a investi dès 1993 dans La Tribune (revendue en 2007) et désormais leader de la presse économique (Les Echos, Investir, Boursier.com), propriétaire du Parisien, du mensuel Connaissance des arts, de Radio Classique et de la chaîne Mezzo, soit au total 644 cartes de presse, consacre d’ailleurs «peu de temps» à cette activité qu’il «rangerait plutôt du côté du mécénat».
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"Jean-Michel Décugis est un spécialiste des infos non recoupées au Parisien"
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La rédaction du Parisien, inquiète pour son indépendance après une "dérive" éditoriale privilégiant les "convictions de l'actionnaire LVMH", selon sa Société des journalistes, va rédiger une charte éthique, réclamée "depuis des mois" à la direction qui défend, elle, un média "ni neutre ni partisan". Le Parisien-Les Echos est la propriété du groupe de luxe LVMH détenu par Bernard Arnault.
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Selon la SDJ, le PDG du groupe, Pierre Louette, a affirmé que "c'est l'actionnaire qui valide la ligne parce que s'il paye un journal qui n'a pas la ligne qu'il souhaite, il va arrêter de payer".
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Qui sont les clients VIP d'un groupe de média? C'est en partant de cette interrogation que Violette Chomier, la Chief Data Officer (CDO) du groupe Les Echos / Le Parisien et son équipe se sont attaquées à la normalisation de la donnée au sein d'un groupe comprenant 35 marques d'événementiel, de services B2B et de média, des entités travaillant sur des modèles économiques souvent très différents. Dans le cadre d'un projet de consolidation des bases de données, le groupe a utilisé l'IA générative pour être en mesure de monétiser certains champs.
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"Excepté dans nos rédactions, nous utilisons l’IAG pour consolider nos bases de données. À titre d’exemple, elle peut nous aider à améliorer la diffusion en créant du multimédia de façon native avec du speech to text ou du text to video. Une aide précieuse pour adapter de multiples contenus à différentes plateformes de diffusion."
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«L’objectif du Parisien est d’être également reconnu comme un média digital, et pas uniquement comme un journal papier. La vidéo est parfaite pour ce faire.»
(Editor’s note: In mid-2023, Le Parisien had more than 650,000 followers and almost 17 million likes.) (dans la version de l'article en anglais)
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"Pour apprendre, il faut essayer, par exemple en expérimentant de différentes longueurs (en général, les vidéos courtes semblent mieux fonctionner avec l’algorithme de TikTok).
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Les Echos ne paraîtront pas vendredi. La rédaction du quotidien économique détenu par LVMH, le groupe de Bernard Arnault, a décidé de se mettre en grève pour vingt-quatre heures, pour les publications print et Web, pour obtenir un renforcement des garanties d’indépendance.
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Le dernier mouvement de grève de la rédaction de ce journal d’information économique et financière remonte à 2007, après l’annonce du rachat du journal par LVMH. En mars, la SDJ des Echos avait déjà protesté contre le départ surprise du directeur de la rédaction, Nicolas Barré, y voyant une «éviction brutale par l’actionnaire», le milliardaire Bernard Arnault, à la suite d’« articles qui auraient déplu».
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Le quotidien, racheté en 2015 par LVMH, géant du luxe détenu par Bernard Arnault, ne parvient pas à renouer avec la rentabilité. A cela s’ajoutent des interrogations grandissantes des journalistes quant à l’indépendance du titre. Article réservé aux abonnés
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"Vus comme un centre de coût important, les neuf cahiers départementaux de l’Ile-de-France et de l’Oise ont disparu à la faveur des confinements lors de la crise liée au Covid-19 en 2020, en étant fondus dans un cahier «Grand Paris». Ils ne sont jamais réapparus."
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Les journalistes craignent d’y voir la marque de son actionnaire, le groupe LVMH, alors qu’aucun signe avant-coureur ne laissait présager cette décision. Voir aussi
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Alors que les comptes du journal sont revenus dans le vert en 2021 et que la progression des ventes numériques (plus de 100.000 abonnés, pour une diffusion France payée de 138.421 exemplaires) a été récemment saluée en interne, l’éviction de Nicolas Barré laisse dans la rédaction «un sentiment général de sidération».
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Les communicants d'Avisa partners n'en ont pas fini avec leur mauvaise réputation. De nouvelles enquêtes de "Libération" et "Jeune Afrique", entre autres, jettent à nouveau la lumière sur la firme, déjà à l'origine de procédures contre "Arrêt sur images", "Mediapart" et "Reflets".
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Le Parisien, qui cite régulièrement Avisa sur des affaires liées à la cybersécurité, n'a jamais évoqué les nombreuses enquêtes sur les pratiques d'Avisa Partners, pas plus que les procès intentés par la firme à plusieurs médias indépendants. Il faut dire que le propriétaire du journal, Bernard Arnault, a eu lui-même recours aux services d'Avisa pour protéger sa réputation en ligne. Sans grande surprise, Avisa jouit de la même mansuétude de la part des Échos, également propriété d'Arnault.
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Le groupe Les Echos - Le Parisien met en ordre de bataille son pôle de presse financière et patrimoniale. Après l'acquisition du mensuel «Mieux Vivre Votre Argent» en juillet, qui a donc rejoint «Investir» et Boursier.com, le pôle média de LVMH est désormais doté de trois publications qu'il estime très complémentaires.
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"La conjoncture est porteuse pour ce type de contenus. Le groupe note que 175 milliards d'euros de «surépargne Covid» ont été accumulés en France. Et dans un contexte de forte inflation et de préoccupations sur le pouvoir d'achat, le besoin d'information financière devrait continuer à augmenter."
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Les deux titres lancent Le Figaro TV Magazine et Le Parisien TV Magazine, insérés dans l'offre de suppléments de fin de semaine. «TV Magazine» était jusqu'alors diffusé par la presse régionale, qui va de son côté créer son propre titre, Diverto.
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Le nouveau «TV Magazine» sera conçu par les équipes du «Figaro» et vendu au «Parisien». Il vise une diffusion de 530.000 exemplaires, alors qu'il était diffusé à quelque 3,8 millions d'exemplaires (le premier magazine français), dans la mesure où il était jusqu'alors distribué avec les quotidiens régionaux.
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Nicolas Charbonneau, directeur de la rédaction du magazine Le Parisien-Aujourd'hui en France Week-End depuis 2020, est promu directeur des rédactions du Parisien-Aujourd’hui en France. Il succède ainsi à Jean-Michel Salvator en poste depuis septembre 2020, qui devient conseiller éditorial auprès de la direction du Parisien. Nicolas Charbonneau, 52 ans, est passé par Europe 1, TF1 et LCI, et officie au Parisien depuis 2017.
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La greffe entre la rédaction et Jean-Michel Salvator, ancien journaliste du Figaro, n’a jamais réellement pris. La mise en place d’un éditorial, à rebours de la culture historique du titre, et certaines prises de position avaient été contestées à plusieurs reprises par la Société des journalistes (SDJ).
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«Mieux Vivre Votre Argent» va passer sous le contrôle du groupe Les Echos - Le Parisien. Ce mensuel et son site Internet vont compléter les marques Investir et Boursier.com dans le pôle de presse financière et patrimoniale du propriétaire - entre autres - de Radio Classique et, à 50%, de la chaîne Mezzo.
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Outre l'information générale et économique, le groupe Les Echos - Le Parisien, propriété de LVMH, se développe dans les médias spécialisés sur l'art et la culture («Connaissance des Arts») ou encore la musique classique.
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"Cette nomination ouvre une nouvelle ère pour le titre du groupe Les Echos-Le Parisien, dirigé par Pierre Louette. Antoine Arnault, administrateur de LVMH, s'est personnellement impliqué dans ce dossier sensible."