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Le rédacteur en chef du Canard Enchaîné, Erik Emptaz, prendra le 1er mars la présidence de la société éditrice du journal, cédée par Jean-François Julliard pour "raisons de santé", ont-ils annoncé vendredi à l'AFP, confirmant une information de La Lettre (abonnés). Voir aussi
Décidément, il y a quelque chose qui ne va plus au Canard Enchaîné. La dernière affaire? Des journalistes permanents du palmipède signent de leur propre nom des articles ou des informations en réalité fournis par des journalistes exerçant à la pige pour l’hebdomadaire! Ainsi, le 23 août, un journaliste pigiste qui avait livré un scoop au Canard sur la fourniture par la France de véhicules blindés à l’Ukraine, a eu la surprise de découvrir que son papier, en plus d’être dénaturé par ses contacts du Canard, avait été signé des initiales de ces derniers. Voir aussi
Michel Gaillard, 79 ans, laisse la place a son numéro deux Nicolas Brimo, 72 ans, à la tête d'un journal fortement ébranlé par les révélations d'un de ses journalistes sur un emploi fictif à la rédaction. Il reste toutefois administrateur de l'hebdomadaire satirique. Voir aussi
Le journaliste du «Canard enchaîné» Christophe Nobili raconte comment il en est arrivé à porter plainte contre X après avoir découvert un emploi fictif au sein de la rédaction de l’hebdomadaire. Article réservé aux abonnés Voir aussi
Entre la création d'une cellule syndicale au printemps et l'affaire de "l'emploi fictif" de l'épouse du dessinateur André Escaro, on se vole dans les plumes au "Canard enchaîné", on gronde contre une direction "despotique" et une gestion "opaque", en regrettant l'impact de ces débats devenus publics sur un journal qui s'embourbe dans l'immobilisme. Récit.
La révélation de la plainte d’un journaliste pour suspicion d’emploi fictif au sein de la rédaction de l’hebdomadaire satirique a fait l’effet d’une bombe. L’affaire est révélatrice de la bataille qui oppose depuis des mois une vieille garde dirigeante et les partisans de la modernisation. (Réservé aux abonnés) Voir aussi
Une plainte contre X a été déposée le 10 mai pour abus de biens sociaux et recel d’abus de biens sociaux par Christophe Nobili, journaliste au Canard enchaîné depuis une quinzaine d’années. Selon nos informations, le rédacteur aurait des raisons de penser que la compagne d’un des dessinateurs historiques du journal, qui en fut longtemps administrateur, aurait bénéficié d’un emploi fictif pendant environ vingt ans. (Article réservé aux abonnés) Voir aussi
A l’image de l’ancien rédacteur en chef du «Canard enchaîné», Jean Clémentin, certains journalistes (Roger Auque, Pham Xuân Ân, Kim Philby, Richard Sorge) se sont parfois fait prendre à leur double jeu d’informateur de services secrets.
Menace sur le pluralisme: Une concentration dans les médias toujours plus forte L’essentiel des entreprises de presse, radio ou télévision est entre les mains d’une poignée d’industriels soucieux de défendre leurs intérêts économiques et leurs convictions politiques. Au sommaire - TF1-M6 : Un projet de fusion préoccupant
- Chez Prisma Media, l’impossible déontologie
- Christian Delporte : « Bolloré a un projet politique défini et construit son empire médiatique dans ce but »
- JT : Que servent les grands-messes de l’info publique ?
- Le CSA manque à sa tâche
- Pour une presse indépendante : Lectrices, lecteurs, au travail !
- Contre la concentration des médias, reprendre le contrôle
- « La fragilité économique est un obstacle au pluralisme dans les médias »
- Mediacités, le caillou dans la chaussure de l’Occitanie
- Chez Médiacités : « Débusquer ce qui est caché »
- Arrêt sur images : De la « dictature » à la démocratie intégrale
- Le Canard enchaîné : « Un contre-pouvoir, c’est une solidité financière »
- Splann ! Bousculer les médias de l’intérieur
- L’Écho des Cévennes : « Le pélou dans le caleçon du notable »
Le Canard enchaîné, qui avait déjà vécu une petite révolution pendant le premier confinement en proposant l'achat de numéros en version numérique, sera désormais disponible dans ce format tous les mardis à 23H00, la veille de sa parution papier. Et le nouveau site internet propose "deux ans d'archives du journal, en achat à l'unité, sur support papier et en version numérique", aux côtés de nouvelles formules d'abonnement, intégralement numériques ou non. Voir aussi
Le Canard Enchaîné publie un extrait d'un procès-verbal qui retranscrit une conversation du 9 mars 2014 entre sa chroniqueuse judiciaire Dominique Simonnot et un magistrat qui souhaite s'exprimer sous couvert de l'anonymat, dans le cadre de l'affaire dite «Paul Bismuth». «Les enquêteurs ont soigneusement omis de mentionner le métier de l'interlocutrice: journaliste. Sans quoi cette conversation n'aurait pu être écoutée et encore moins retranscrite». Voir aussi - "Un secret qui ne coule pas de source" dans Le Canard Enchaîné du 8 juillet 2020
Les ventes de l’hebdomadaire satirique ont chuté en 2018, après des chiffres exceptionnels en 2017 dus à l’affaire François Fillon. Les ventes ont « logiquement baissé », tombant à 340.176 exemplaires en moyenne, contre près de 400.000 un an plus tôt. Le « palmipède », l’un des seuls journaux qui publie ses résultats chaque année, a fait état d’un bénéfice de 1,4 million d’euros l’an dernier. Voir aussi
Les ventes et les bénéfices du Canard enchaîné ont grimpé l'an dernier, portées par l'élection présidentielle et les révélations concernant François Fillon, d'après les comptes annuels publiés mercredi par l'hebdomadaire satirique. Après une année 2016 qu'il avait qualifiée de "médiocre" et marquée par une baisse de 8,6%, les ventes du palmipède ont remonté de 11,5% avec une diffusion totale payée de 399.457 exemplaires en moyenne par semaine, le bénéfice net, en chute de 14,8% l'année précédente, remontant de près de 10%, à 2,1 millions d'euros.
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L’ex-président des Editions Maréchal-Le Canard enchaîné, Michel Gaillard, son successeur, Nicolas Brimo, le dessinateur André Escaro et sa compagne sont cités à comparaître, du 1ᵉʳ au 3 juillet, notamment pour abus de biens sociaux, déclaration frauduleuse pour obtenir une carte de presse, faux et usage de faux et déclaration frauduleuse à un organisme social.
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Secoué par une suspicion d’emploi fictif, l’hebdomadaire satirique va intégrer de nouveaux journalistes dans l’association qui détient près de 37% de ses actions. Un mécanisme astucieux qui assure à la direction une large majorité et protège le journal contre tout rachat extérieur. Voir aussi
Le journaliste, qui a révélé l’existence d’un emploi présumé fictif au sein du journal satirique, s’est vu signifier sa mise à pied, assortie d’une convocation à un entretien préalable au licenciement. Il travaille au sein du “palmipède” depuis une vingtaine d’années. Voir aussi
Lorsque "Le Canard enchaîné" dévoile le taux d'imposition "riquiqui" de Bernard Arnault, début février, aucun média ou presque ne juge l'information digne d'intérêt. Le palmipède dénonce l'omerta en évoquant le poids de la publicité de LVMH dans la presse? Il ne se passe toujours rien. La même semaine, les rédactions ont pourtant parlé sans souci de l'achat d'un tableau au musée d'Orsay "grâce" à l'homme d'affaires.
La journaliste d'investigation Anne Jouan publie aujourd'hui La Santé en bande organisée (Robert Laffont). Elle y raconte notamment comment elle a enquêté sur l'affaire du Mediator au Figaro et les entraves, y compris internes, qu'elle a dû surmonter. Extraits exclusifs.
Dans un éditorial titré "La réalité dépasse le fictif", le Canard enchaîné donne sa version des faits sur les soupçons d'emploi fictif au sein de sa rédaction, révélés ce week-end par Le Monde et France Inter. Selon les informations de Christophe Nobili, lui-même journaliste au Canard et co-auteur de l'enquête sur les emplois fictifs du couple Fillon en 2017, la compagne du dessinateur André Escaro aurait ainsi été rémunérée par le journal sans y avoir réellement travaillé. Le parquet de Paris a d'ailleurs ouvert une enquête préliminaire pour "abus de biens sociaux" et "recel", à la suite d'une plainte déposée par ses soins. Voir aussi
La moitié des journalistes en CDI ont pris leur carte au SNJ-CGT, à l'initiative de Christophe Nobili et au grand dam de leur direction, Nicolas Brimo et Michel Gaillard, pour qui cela heurterait la culture d’indépendance de l’hebdomadaire satirique. Article réservé aux abonnés Voir aussi - "Le Canard Enchaîné renoue avec la profitabilité sur son exercice 2021; le bénéfice net est supérieur à 1,9 million d'euros" dans La Correspondance de la Presse du 28 juin 2022
Exclusif - Sous le pseudonyme de «Jean Manan», Jean Clémentin a été l’une des grandes plumes du «Canard enchaîné». Mais sous le nom de code «Pipa», il a aussi été rémunéré par les services secrets tchécoslovaques. De 1957 à 1969, il leur a livré près de 300 notes. Et a publié, dans l’hebdomadaire satirique, de fausses informations dictées par la StB. Grâce à plus de 1500 pages d’archives jusqu’ici restées secrètes, «l’Obs» révèle une incroyable affaire d’espionnage. (accès abonnés) Voir aussi
Invité hier de l'Association des journalistes média (AJM), Nicolas Brimo, directeur de la publication du "Canard enchaîné", un journal pour lequel il travaille depuis les années 1970, a estimé que la presse française était aujourd'hui de meilleure qualité que par le passé. Alors qu'on la dit fragilisée par la révolution numérique, elle sortirait même plus de scoops qu'auparavant, selon ce spécialiste de la question. Voir aussi
Le journal satirique a enregistré l'an passé la première perte de son histoire en raison de la liquidation de Presstalis. Voir aussi - "Le Canard Enchaîné, déficitaire en 2019 en raison d'une charge exceptionnelle de 1,429 million d'euros due à Presstalis, s'attend à une année 2020 difficile" dans La Correspondance de la Presse du 17 novembre 2020
Le coronavirus a poussé l'hebdomadaire à proposer une version numérique de son édition. Pour la première fois de son histoire. Cette édition comporte quatre pages, au lieu de huit habituellement et est vendu exceptionnellement à 1 euro, contre 1,20 euro en kiosque. D’un point de vue technique, le Canard a choisi de donner à ses lecteurs la possibilité de feuilleter l’édition numérique, mais pas de la télécharger.
Figure de l’investigation au «Canard enchaîné», Claude Angeli revient sur le secret des sources, qui garantit dans la profession la protection de l’identité des informateurs, et sur ceux qui l’ont toujours attaqué.
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Le titre traverse des turbulences depuis la révélation en 2022 par l'un de ses journalistes, Christophe Nobili, de soupçons d'emploi fictif au sein de l'hebdomadaire, concernant la compagne d'un ancien dessinateur et administrateur du Canard, André Escaro,