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Dès le départ, les problèmes concurrentiels posés par cette opération de consolidation dans l’audiovisuel étaient connus. Pourtant, les deux groupes ont cru jusqu’au bout qu’ils ne seraient pas rédhibitoires.
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Entendu par la commission d’enquête sénatoriale sur la concentration des médias, le PDG du groupe audiovisuel privé s’est voulu rassurant sur le projet de fusion avec M6.
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Les groupes télé TF1 et M6 doivent céder trois des dix chaînes qu'ils possèdent à eux deux pour pouvoir mener à bien leur projet de fusion. La loi française impose en effet à un groupe télé un maximum de sept chaînes. Et ces ventes probables attisent l'intérêt de nombreux acteurs, notamment Mediawan et Unique Heritage Media pour Gulli, selon les informations du journal "Les Échos (abonnés)". Voir aussi
Daniel Kretinsky, milliardaire tchèque qui a fait sa fortune dans l’énergie et qui investit dans les médias français, actionnaire indirect du Monde, entre au capital de TF1. Il a franchi le seuil de 5% et pourrait augmenter sa participation.
M. Kretinsky, qui avait également déposé une offre de rachat du groupe M6-RTL, est désormais favorable à la fusion TF1-M6. Voir aussi
Le projet de fusion entre TF1 et M6 a été annoncé le 17 mai. Ce rapprochement des deux concurrents de toujours interroge, notamment sur la concentration des médias. Analyse des enjeux de cette opération avec Nathalie Sonnac, spécialiste de l’économie des médias, professeure à l’université Paris II et membre du CSA de 2015 à 2021. Voir aussi
Les groupes Orange et TF1 annoncent la signature, ce 14 décembre 2020, de deux nouveaux accords qui renforcent leur partenariat historique.
Le premier accord ouvre dès janvier 2021 la publicité segmentée sur les chaînes du groupe TF1 grâce à la TV d’Orange. Le second, renouvelle à partir de septembre 2021, la distribution des services audiovisuels de TF1 sur la TV d’Orange. Voir aussi
Publicis, M6, TF1, Canal + ou NRJ… Les dirigeants historiques de ces groupes de médias ne veulent pas lâcher la main. Plusieurs dauphins potentiels ont déjà jeté l'éponge. Exemple: Robin Leproux, numéro 3 du groupe M6, à la tête de la régie, et qui se destinait à prendre la place de Nicolas de Tavernost, âgé de 64 ans, a rendu son tablier le 12 septembre. En effet, au mois de mai dernier, le mandat de Tavernost a été prolongé de mars 2015 à mars 2018.
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Auditionnés par la commission d’enquête sénatoriale sur la concentration des médias, les deux milliardaires avaient sorti les fleurets pour évoquer la fusion TF1-M6. Un «danger pour la démocratie» selon le fondateur de Free; une nécessité pour le président du groupe Bouygues.
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Fusion TF1-M6, rapprochement Vivendi-Lagardère… La bataille d'influence fait rage sous l'œil vigilant du Parlement. Revue des troupes. Voir aussi
A six mois de la présidentielle et alors qu'est examiné par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) et l'Autorité de la concurrence le projet de fusion entre TF1 et M6, le gouvernement a lancé une mission sur les règles anti-concentration dans les médias, et en particulier sur le respect du pluralisme, qui interroge les professionnels du secteur. Voir aussi
En choisissant TF1 pour lui vendre M6, le groupe allemand Bertelsmann fait le pari d’un renversement complet dans l’approche des marchés par l’Autorité de la concurrence. Le bouleversement annoncé du PAF, s’il concernera directement les annonceurs et les producteurs en France, risque de ne pas modifier le rapport de forces avec les nouveaux venus que sont les plateformes numériques et les services de streaming vidéo. Voir aussi
RTL Group et M6 ont annoncé lundi soir l'ouverture de négociations exclusives avec Bouygues-TF1 en vue bien d'une fusion de groupe TF1 et groupe M6. Objectif: peser face aux géants américain Netflix, Disney+ et consorts qui bouleversent l'industrie audiovisuelle.
Bouygues sera l'actionnaire de contrôle du nouvel ensemble, avec 30% du capital, contre environ 16% pour Bertelsmann-RTL Group. Nicolas de Tavernost sera nommé PDG du nouvel ensemble et Gilles Pélisson directeur général adjoint en charge des médias et du développement. Voir aussi
Aux assemblées générales des groupes de médias TF1, M6, Lagardère ou Vivendi, les petits actionnaires demandent des comptes aux patrons sur leurs dividendes, mais ne se privent pas en tant que téléspectateurs de critiquer vivement les programmes: des exigences souvent contradictoires.
Détenteurs d'une petite fraction du capital, constituant un public souvent âgé, les actionnaires se sentent propriétaires de ces groupes dont ils consomment les programmes depuis leur canapé. Lire aussi "TF1 se concentre sur ses grands rendez-vous" dans Challenges du 9 mai 2017
Le ministre des finances, Michel Sapin, a estimé mardi que le débat était «ouvert» afin d’améliorer les finances du groupe public, et comme le demande sa nouvelle présidente Delphine Ernotte.
TF1 imprime sa marque en dehors du petit écran. En cette fin d'année, ses filiales de diversifications enchaînent les succès grâce aux vidéos, spectacles et jeux de société.
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«L’objectif de cette union était purement financier. TF1 et M6 ambitionnaient de réaliser entre 250 et 350 millions d’économies d’échelle, c’est tout.»