"Le numérique m'a tuer" pourrait écrire l'industrie du disque. Après le cinéma, les médias et la télévision, l'édition de livres, voir les arts plastiques tremblent de peur de se faire ubériser à leur tour.
Le spectre du piratage et de la désintermédiation plane.
Pourtant, avec la déferlante numérique, la nouvelle ressource que sont les données personnelles (l