Depuis que le Web 2.0 donne la parole à tous — ce qui constitue une avancée de liberté d’expression remarquable — il semble qu’après le long muselage des consommateurs, avec pour seul exutoire à leurs difficultés les associations de consommateurs, ceux-ci se soient collectivement rattrapés dans une liberté qui devient de la licence, au sens premier du terme : un abus de liberté, source d’e-réputation négative (encore nommée web-réputation, cyber-réputation ou réputation numérique).