La CNULCD reconnaît que les sécheresses sont les catastrophes naturelles les plus graves, causant des pertes économiques et écologiques à court et à long terme. Pour réduire la vulnérabilité sociétale aux sécheresses, il est nécessaire de surmonter les structures dominantes des approches réactives de gestion post-aléa et de passer à des approches proactives et de gestion des risques qui renforcent la résilience à la sécheresse aux niveaux local, national et régional. En outre, dans ce contexte, la Convention souligne l’importance d’assurer la participation pleine et égale des hommes et des femmes à tous les niveaux aux programmes et politiques de lutte contre la désertification et d’atténuation des effets de la sécheresse.