Les propriétés dynamiques du cerveau, ou sa flexibilité caractérisée par la capacité des réseaux neuronaux à évoluer serait la clé ou plus précisément le « moteur » de l'intelligence humaine. Cet article d’opinion, présenté dans la revue Trends in Cognitive sciences, soutient ainsi la théorie que l’évolution du réseau en réponse à des demandes intellectuelles changeantes est le meilleur prédicteur de l'intelligence humaine, une théorie qui tendrait donc à définir l’intelligence comme une super capacité d’adaptation cérébrale.