Bioéthique & Procréation

Entre 500 et 600 patients meurent chaque année faute d'avoir pu bénéficier d'une greffe, selon l'association France Transplant.

Il y a eu 324 greffes de moins en France en 2018, majoritairement à cause des progrès de la médecine contre les AVC.

Lorsqu’elle était âgée de 30 ans, cette femme a reçu le coeur d’un patient de 68 ans décédé d’une hémorragie cérébrale.

A l'occasion de la Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe, qui aura lieu le 22 juin, l'Agence de la biomédecine lance une campagne d'information pour rappeler les conditions du don et l'importance de faire connaître son choix.

Le cas du petit Teddy est une première au Royaume-Uni. Il illustre le fait que les organes d'un nouveau-né peuvent être greffés chez des enfants et des adultes.

Cœur, rein, poumon, foie....lorsque l'un de ces organes a perdu sa fonction, la greffe devient souvent la seule issue thérapeutique.

L'activité de prélèvements et de greffes accuse une baisse en 2018, informe l'Agence de la biomédecine dans son bilan annuel préliminaire de l'année diffusé ce 11 janvier. Une tendance sur laquelle elle avait déjà alerté à l'automne dernier (lire notre article) et qui a été limitée à -5% grâce à un regain d'activité en fin d'année, rassure tout de même le Pr Olivier Bastien, directeur prélèvement greffe organes-tissus au sein de l'organisation.

Geste de générosité, le don d’organes soulève de lourdes questions éthiques. Voici lesquelles.  À quelles conditions doit-on pouvoir donner un rein, son cœur ou ses poumons ? 

ENTRETIEN - A l’origine d’un amendement polémique sur le don d’organes, le député et transplanteur Jean-Louis Touraine se félicite du décret récemment paru.

Cette quinzième journée nationale de réflexion sur le don d’organe et la greffe et de reconnaissance aux donneurs (soit l’un des plus longs intitulés pour une telle manifestation !) fait l’objet d’une très grande mobilisation jusqu’au plus haut sommet de l’état. Le Président de la République a ainsi diffusé un message rappelant l’importance « d’exprimer clairement notre volonté vis-à-vis du don de nos organes que l’on soit pour ou que l’on soit contre ce don ». 

It sounds like the plot from a science fiction film: A scientist takes a kidney from a human fetus, implants it in a rat and allows the organ to grow...