Accusées de « trafic d’êtres humains », plusieurs femmes, arrêtées en novembre à Phnom Penh, ont été relâchées en échange notamment de la promesse de ne pas vendre l’enfant qu’elles portaient, ont indiqué mercredi 15 mai les autorités. Malgré l’interdiction depuis 2016 du recours à la Gestation pour autrui (GPA) dans le royaume, la pratique des mères porteuses continue d’y prospérer via d’opaques réseaux clandestins.