L'ex-président de Banco Popolare di Milano (BPM), devenu depuis le numéro un de l'entreprise de BTP Impreglio, a été assigné à résidence pour association de malfaiteurs et corruption. Annoncée par les médias italiens, cette information a fait chuter le titre de la banque de 11,64% et sa cotation a été momentanément
Le nouveau "bankster" est un Italien de 61 ans. Massimo Ponzellini, ex-président de Banco popolare di Milano (BPM) de 2007 à 2009, a été assigné à résidence pour association de malfaiteurs et corruption, ont annoncé mardi les médias italiens.
Alors qu'il était encore à la tête de l'établissement transalpin, celui qui dirige depuis l'entreprise de BTP Impreglio aurait reçu des pots-de-vin d'un montant total de 5,7 millions d'euros afin qu'il accélère, "grâce à la falsification des procédures d'évaluations de la banque", le déblocage de financements par la BPM. Telles sont les conclusions d'une enquête du parquet de Milan sur des financements suspects d'un montant de 148 millions d'euros à la société de jeux Atlantis-BPplus.
Un ancien ministre de Silvio Berlusconi impliqué
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