Digital #MediaArt(s) Numérique(s)

Comme vous le savez peut être le Petit Fablab de Paris accueille des projets qui seront réalisés collaborativement pendant les après-midi du week-end.

L’accès aux machines pour des projets personnels se fait de préférence le soir de 17h à 19h.

L’après-midi est réservé aux projets collaboratifs qui ont besoin de votre contribution.

Le FabLab a un peu de matière première mais nous vous demandons, dans la mesure du possible, de venir avec votre propre matériel.

We wanted to design a 3D printing device that could be used within minutes, without needing any technical knowledge, software or computers. We also wanted it to be affordable as well as fun, so that anyone could 3Doodle!

The Artlab is a space for research, development and prototyping that hosts artists and technicians with a creative and collaborative approach.

End of the year 2011, Digitalarti opened its Artlab in Paris. The Artlab is a center for research, development and prototyping, open to digital artists. It aims at gathering artists and technicians in a creative and collaborative way. Digitalarti's Artlab is a place with a multidisciplinary activity, where technology meets artistic creation.

The Artlab welcomes artists and technicians as artists in residency, free-lance technicians, visitors, or volunteers (learning by helping)… The projects are picked up based on several criteria: artistic and creative quality, technical knowledge, potential impact on the artist/technician career, input of the project to the Artlab development, ability of the project and its creator to match the life of the Artlab.

Quand la technologie de pointe rencontre le monde de la mode, ça donne des pièces surprenantes. Ainsi en est-il de la technique d’impression 3D utilisée par la designer Iris Van Herpen lors de son défilé “Voltage” durant la fashion week parisienne.

Onze pièces, conçues et réalisées grâce à un programme de CAO, puis envoyées vers une imprimante 3D dernier cri, qui construit le vêtement couche par couche. La nouveauté, c’est qu’au lieu d’utiliser des matériaux de base rigides tels que le plastique ou le métal, on peut maintenant travailler du caoutchouc ou du polyuréthane. Le champ des possibles est alors infini, et Iris Van Herpen l’a bien compris.

Thanks to a powerful yet precise laser, the lasercutter cuts and engraves quickly materials like wood, plexiglas, cardboard, … The lasercutter only works in 2D and can either follow vector paths (as you can draw in Illustrator, etc) or engrave black&white bitmap pictures.

This workshop is an introduction to the software driving the machine, the different file formats and conversions, and will explore softwares allowing to creating 3D objects by assembling cut parts.

Workshop leaded by François Chasseur.

Access Space is the UK's longest running and most sustainable free, open digital arts lab.

At Access Space, people interested in art, design, computers, recycling, music, electronics, photography and more meet like minded people, share and develop skills and work on creative, enterprising and technical projects.

We operate at a very low cost with a minimal carbon footprint, because we recycle donated computers and use free, open source software. We run drop-in activities and workshops, exhibitions and arts events and have opportunities for volunteering. We also run the Refab Space fabrication facility and an ethical web design service.

The Recyclism Hacklab is an autonomous and self-funded space, hosted by CTVR (the telecommunications research centre) headquartered in Trinity College Dublin (TCD).

The idea is to offer to members a shared physical space with basic electronic tools (Prototyping tools, soldering stations, hand tools, breadboards, wiring supplies etc…) and storage for ongoing projects.

In addition to the use of the workshop, mentoring sessions are available several days a week for electronic (Arduino), programming (Pure Data, Max/Msp, Processing), web, conceptual support, etc… with private mentoring sessions available. Occasional guest speakers and presenters will also be announced. The Hacklab research interests include (but are not limited to): Video, Sound, Programming and algorithmic processes, Interactive and media installation, Physical computing and interface, Art games, Performance.

An American college student named Tyler McNaney is developing a machine that recycles plastic household waste into the raw materials for use in 3D printing.

The Filabot performs the 21st century equivalent of alchemy, melting down unwanted material and turning it into plastic filament - the goop that 3D printers melt down and layer out to form objects.

Normally, plastic filament costs in the region of £50 per kilogram, making 3D printing a pricy hobby - especially if you make a few mistakes. But generating your own - either using your mistakes or anything made from a variety of widely-used plastics - makes it a lot more affordable. ...

A three-week old robot at the MIT Media Lab is weaving a cocoon-like structure with a little programming help from humans. Eventually it will be autonomous.

The MIT Media Lab is of course known for its work in 3-D printing and the like, and this project aims to explore the way robots can perceive and alter their surroundings. The robot is currently pre-programmed to know where all the pegs and hooks in its wireframe enclosure are and how to weave a pre-determined pattern around itself. But eventually ‘bot will be made autonomous, with the ability to sense its surroundings, determine the potential to alter it, and then execute its own cocoon design without any interference or assistance from humans.

In other words, the robot would make its own decisions about what’s around it and how it could improve those surroundings, and then set to work altering its environment. Combined with other technologies--perhaps some of that aforementioned 3-D, additive printing technology--it could make for quite a robust robotic platform in which a machine assesses and then optimizes its own space.

Lieu ouvert à tous au sein de l’Université de Cergy-Pontoise, sur le site de Gennevilliers, le FacLab met à votre disposition les machines, l’infrastructure, le soutien nécessaire à la réalisation de votre projet, que ce soit l’accès au « Do It Yourself », s’approprier les nouvelles technologies, ou bien s’inscrire dans une démarche d’apprentissage et de partage.

On y trouve des outils simples (scies, perceuses, …), des établis, mais aussi des machines à coudre, des imprimantes 3D, des ordinateurs, des fers à souder et des multimètres, une découpeuse Laser, des kits Arduino, des composants électroniques… Ce parc s’étoffe au fil du temps.

Ultra-lab n'est pas seulement un magasin en ligne: nous développons de nombreuses collaborations pour diffuser les technologies open source et la fabrication numérique.

On l'a déjà annoncé discrètement. Cela ne vient pas de rien. Marseille, ce n'est pas un hasard. Et là ça y est, c'est enfin public, on s'installe à Marseille.
De Madrid à Marseille. C'est notre trajectoire, c'est là que nous mènent nos passions, de Madrid à Marseille et vice-versa.

On commence pas à pas, Marseille n'est pas Madrid et même si on l'aime, et même si on brûle d'enthousiasme, il nous faudra un peu de temps. Mais on est là.

Fab' lab', imprimantes 3D... "Le consumérisme a vécu", assène le philosophe pour qui, motivés par nos seuls centres d'intérêt, nous allons changer de mode de travail.

Les bureaux de Bernard Stiegler font face au Centre Pompidou, sous les toits de Paris. C’est pour son célèbre voisin que le philosophe a fondé l’Institut de recherche et d’innovation (IRI), afin d’« anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques ».

Mais dans l’esprit de l’enseignant-auteur-chef d’entreprise, tout est lié : culture, consommation, technique, travail, politique. Pour lui, le modèle consumériste se meurt, comme celui du progrès permanent. Tout s’automatise. ....

L’Imaginarium scelle la rencontre des images et de l’imaginaire. Les 8000 m2 du bâtiment de la Plaine Images, à Tourcoing, sont entièrement dédiés aux industries créatives. Pour la première fois en France, un lieu propose une alliance nouvelle entre arts, recherche et industrie. Tout à la fois centre de recherche, hôtel d’entreprises, incubateur et espace de diffusion culturel, l’Imaginarium n’organise pas de hiérarchie entre ces différentes fonctions, mais parie au contraire sur leur rencontre, favorisant le mélange des genres et l’échange fructueux entre compétences, désirs et initiatives.

Ce projet ambitieux, tout à la fois artistique, culturel, social, économique, urbain et politique, veut contribuer à réinventer l’histoire industrielle locale, en s’inspirant de prestigieux précurseurs (du Bauhaus de Gropius à la Factory de Warhol) et d’initiatives contemporaines, tels l’arcade Babycastles à New York ou le Medialab du MIT à Boston, afin d’adapter les productions actuelles aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Au cœur des industries créatives se développent le jeu vidéo, les nouveaux cinémas (cinéma de poche, cinéma interactif…), la réalité augmentée, l’animation, les images de synthèse et la 3D, les interactions tactiles et gestuelles, le serious game, la 3G et le temps réel… Tous ces formats ont profondément changé nos modes de vie. Ils exigent que soient imaginés de nouveaux lieux comme de nouveaux outils pour les rêver, les concevoir, les diffuser, les produire. C’est ce défi qu’entend relever l’Imaginarium.

Ljudmila Art and Science Laboratory was established in 2010. It strives to connect research practices, technologies, science, art and civil society. It engages in the development and popularisation of open culture, free licences and software, and in new ways of distribution. It detects how the communication transformations affect the society and encourages innovative art practices.

Since 2011 it also develops and publishes the Culture.si portal for international cooperation, funded by the Slovene Ministry of Education, Science, Culture and Sport. From 2011 Ljudmila acts also as a public lead of Creative Commons Slovenia.

Makers est un livre agaçant et passionnant. Malgré ses 310 pages, on ne s’y ennuie jamais. Le style journalistique est sans surprise marqué par la culture californienne, insouciante et terriblement pragmatique. L’auteur brille par ses capacités à mettre en récit à peu près n’importe quoi, mélangeant éléments autobiographiques et anecdotes professionnelles. L’association de fictions et de données économiques nous fait entrer dans l’univers bouillonnant du DIY numérique comme si on suivait à la trace la vie d’un investisseur curieux. Makers est le fil rouge des activités de Chris Anderson, qui quitta en novembre la tête du magazine Wired après douze années d’activités. Il se consacre désormais à temps plein à sa nouvelle start-up 3D-Robotics, qui commercialise des kits pour drones DIY. Le livre sonne donc autant comme un bilan de compétences que comme une justification de son départ inattendu.

...