Your new post is loading...
Your new post is loading...
La réalité virtuelle est souvent associée au jeu vidéo. Pourtant, de nombreux artistes produisent des « expériences » immersives, souvent courtes, dans lequel l’utilisateur n’agit pas, ou très peu. Mardi 1er mars, une trentaine étaient présentées à la Gaîté Lyrique, à Paris, dans le cadre de Kaléidoscope. Cet événement, entièrement consacré à ce type de production, faisait une halte dans la capitale française avant de poursuivre sa tournée internationale à Tel Aviv, Stockholm, Tokyo ou encore Melbourne.
Du dessin animé à la prise de vue réelle, de la poésie à l’horreur, de l’information au clip musical : tous les possibles de la réalité virtuelle étaient présentés, offrant un aperçu alléchant des potentiels de cette technologie. Sélection.
Le Mirage Festival est un cocktail magique qui se sirote pendant quatre jours et quatre nuits. Subtil équilibre d’expositions, de conférences et de soirées électro, la recette 2017, intitulée "(Im)atérialités", promet des effets surprenants : donner accès à des choses habituellement invisibles, perturber les limites de la perception, envoûter les sens, titiller la réalité… Ses ingrédients principaux sont des couleurs, du son et du mouvement… Konbini vous présente des pépites repérées dans la programmation de cette 5e édition, qui se déroule jusqu'au 12 mars à Lyon. Rendre visible l’immatériel, c’est le jeu auquel se prêtent les artistes présentés dans le parcours d’exposition (accessible à tous, gratuitement) qui s’installe aux Subsistances, à la Taverne Gutenberg, au Musée des Beaux-Arts et à l’École des Beaux-Arts de Lyon. "Le numérique est hyper présent dans notre quotidien, l’idée cette année était d’explorer sa présence, de dévoiler l'intangible", nous explique Jean-Manu Rosnet, cofondateur du festival...
Où sont les femmes dans le numérique ? La question revient régulièrement dans certaines discussions-débats récents ouverts à des manifestations « tech » comme à Web2day ou récemment à Viva Technology dont les organisateurs avouaient rencontrer des difficultés à mobiliser des femmes. La Journée de la Femme Digitale souhaite quant à elle encourager plus de mixité dans des secteurs encore trop peu paritaires. En effet, dans le numérique le chemin à parcourir est encore long : la part des femmes dans les métiers du numérique n’est que de 28% en France (voir l’article [Débat] Les femmes prennent-elles enfin leur revanche dans le numérique?). Qu’en est-il dans l’art numérique ? Compositrices, artistes sonore, chorégraphes, plasticiennes, chercheuses, enseignantes en robotique en encore commissaires d’exposition ou directrices de festival, la gent féminine, bien qu'encore minoritaire, n'en est pas moins investie et se fait peu à peu sa place dans les festivals et expositions. Faute de pouvoir donner des statistiques précises, Digitalarti Media revient sur la création numérique en 8 artistes féminines s'appropriant les nouveaux enjeux des domaines de l'art & des technologies.
To mark the opening of the first edition of digital arts festival Les Garages Numériques – a ten-day affair of exhibitions, conferences and label nights – in Brussels this week, we ask Juliette Bibasse (1984) – curator of the festival alongside graphic designer and producer Fabien Leclerq (1991), also known as Le Motel, Cosmic Pop Records co-founder Arthur Tixhon (1992) and Under My Garage founder Dorian Meeus (1991) – to select ten Belgian-based digital artists that caught her eye. ...
Récit d’une expérience marquante, qui questionne profondément notre rapport de sujétion à la technologie. La porte de la pièce est ouverte. C’est une cellule plus qu’une pièce d’ailleurs : des murs blancs, un éclairage au néon, un sol gris sur lequel est posé un moniteur télé. Je suis avec une amie à l’exposition « Perceptions », au Mac de Créteil. Un jeune homme s’avance vers nous et explique : « Quand vous entrez dans cette pièce, la porte se referme automatiquement sur vous. Vous devez trouver seule la solution pour que la porte s’ouvre. Nous avons pour consigne de ne pas vous ouvrir, quoi qu’il arrive. » ...
De jeunes hommes bénévoles, futurs VR designers, nous accueillent à la Gaîté lyrique le mardi 1er mars 2016 à Paris, équipe médiatrice pour le compte d’un World Tour VR, la soirée KALEIDOSCOPE. Quelques rares jeunes femmes, nos bracelets VIP et les casques. A gauche, les Gear VR de chez Oculus rachetés par Facebook négociés made in Samsung, à droite les HTC Vive et plus loin les DK2. O monde cruel. D’une marque à l’autre. Cela fait plus de trente années que l’on se tape la technologie avant la poésie. Rebelote. Le très joli programme de papier distingue les 32 réalisations immersives par marque de casque. ...
Big Bang Data is a major travelling exhibition currently set within London’s Somerset House. That a large institution is presenting a journey via data capture through ‘selfies, surveillance and infographics’ is in itself an interesting patchwork of intent and realisation. The aim of the exhibition is to ‘demystify data’. This is a grand, summative and in actuality slightly awkward claim which, in my view, encapsulates the character of an interesting, textured exhibition in an unintentionally astute way.
As Big Bang Data is dedicated to revealing data comprehensively through its various architectures and iterations, it makes sense for the underrepresented materiality of information to have prominence early on. This materiality, perhaps inevitably, was compromised in the gallery space. Entering the first room brings you face to face with Timo Arnall’s Internet Machine, which takes the form of multiscreen video documentation of not just the machines, but also the architecture, which supports mobile telephony. ...
exhibition : 03 December 2015 - 20 March 2016 website : http://bigbangdata.somersethouse.org.uk
|
Using 40 Raspberry Pis attached to 40 Adafruit e-ink displays, New York conceptual artist Zach Gage turned Google Search’s autocomplete function into poetry. Each “Glacier” is a unique poem generated… The installation’s screens refresh daily as the Pis check Google for changes and update accordingly. For some search phrases, however, it’s likely that they will not be altered for years or even décades. ...
In a little over a week, the 6th edition of TADAEX festival (Tehran Annual Digital Art Exhibition) takes place at Mohsen Gallery in Tehran, Iran. It’s a strong manifestation of the digital scene in Tehran and the people who make it possible, it features Iranian digital artists as well as far reaching international network of collaborators thanks to an ongoing residency program with NODE Forum for Digital Arts. The initiative enables joint projects of one Iranian and one German artist who work together at both festivals; this year it will be Lilian Nejatpour and Simon Weckert. Similarly, the exchange with Ars Electronica Festival and the Austrian Cultural Forum brings Austrian Artists to Tehran and provides a platform for TADAEX and its ideas: Ali Panahi, the festival’s director gave a talk on current developments and this year’s edition edition at Ars Electronica Festival 2016. In addition, TADAEX programme also includes exchange artists from Brazil, France, Japan, Kuwait and the Netherlands.
Les collaborations entre les filières de l’art et de la culture, de l’enseignement supérieur et de la recherche sont, à l’heure où les processus d’exploration et d’expérimentation se décloisonnent, de plus en plus courantes. Création artistique et recherche technologique, domaines qui entretenaient auparavant des interactions quasi-inexistantes, se sont aujourd’hui nettement rapprochés : certains artistes travaillent directement dans des laboratoires pour interroger les nouveaux enjeux scientifiques et, à l’inverse, des chercheurs vont à la rencontre de créateurs et collaborent afin d’imaginer avec eux de nouvelles façons de présenter leurs travaux. Ces créations communes nées de l’alliance art-science interrogent la culture scientifique d’un œil nouveau et rendent les connaissances plus accessibles en inventant, si telle est l'intention souhaitée, de nouvelles manières de faire de la médiation scientifique sur des supports et outils venant redéfinir l'œuvre d'art.Retour dans cette compilation spéciale Art-Sciences sur quelques événements, artistes et projets que nous avons évoqué sur Digitalarti Media...
A selection of unique documentations of media installations and performances made between 1990 and 2012, elaborated and brought as part of the Digitising Contemporaty Art project.
http://www.dca-project.eu The selection includes materials taken during the early editions of the Wizualne Realizacje Okołomuzyczne (“sound basis visual art”) WRO festival, WRO Media Art Biennale (since 1993), as well as other events significant for the formation of institutional structures of media art in the 1990s, including: Multimediale 4 and Multimediale 5 exhibitions at the Center for Art and Media ZKM in Karlsruhe or Ostranenie Festival at the Bauhaus Dessau. Documentations made after 2000, additionally introduce works and events produced or coproduced by WRO, demonstrating next to the developments in Polish and international media art – means of expression, tools, and forms of presentation – WRO’s institutional evolution as a space for media art production, presentation, education and promotion.
Cet hiver, Arcady et le CentQuatre proposent au Cent Quatre Paris, en point d’orgue de la Biennale Des Arts Numériques d'Arcady Némo 2015, une grande exposition spectacle d’art(s) et de technologie(s) nommée Prosopopées Et, quand les objets prennent vie, s'étonne t'on encore ? L’exposition, que dis-je, le spectacle Prosopopée dont le sous titre propose un vrai programme paranormal où la magie est annoncée, pose en filigrane une grande question : Peut-on encore être étonné avec de l’art contemporain ? Pour sa préfiguration, le Fresnoy (Studio national des arts contemporains) proposait déjà les Arts étonnants une exposition de groupe qui explorait les nouvelles forme d’immersion artistiques avec une prépondérance aux concepts de l’étonnement artistique. Or au Cent Quatre, 20 ans après, était-ce nécessaire de nous imposer les technologies et le numérique comme seuls vecteurs d’étonnement artistique. Le coefficient de numéricité cher à Norbert Hilaire et Edmond Couchot serait-il conjugable avec un coefficient d’étonnement ?
On October 13, 1966, 10 artists and more than 30 engineers from Bell Laboratories convened in New York for 9 Evenings: Theatre and Engineering. The festival ran for nine nights, and featured 10 performances in which an artist, dancer, or musician was paired with a Bell engineer who had the technical expertise to bring the performer’s vision to life. This meant building tools like a proportional control system, an electronic pen and surface interface to control lights and audio during a performance, and televisions and projectors capable of producing kinetic images in response to sound. This partnership was good for the artists, and fantastic for Bell’s engineers: it provided a stage upon which they could prototype the future of the tech sector. ...
The relationship between art, science, and technology has a long and complex tradition in Poland, going back to the experiments of the first avant-garde.
Interest in new technologies on the part of artists has always been an important element of the development of art, but it was only in the 1960s that the creative practices known today as the main reference point for technological art were established. Such new initiatives appeared in the Poland of the 60s, during the Thaw period, when the attitudes towards activities at the interface of art, design, and technological development were much more accepting. This includes, among others, works created at the Polish Radio Experimental Studio, as well as the artistic practices stemming from Mieczysław Porębski's seminars, devoted to the relationship between art, science, and technology (participants included Ryszard Winiarski, Feliks Falk, and Grzegorz Kowalski).1 Other artistic phenomena involving art and technology include some works created at the Workshop of the Film Form, and the later solo works by such Polish artists as Krzysztof Wodiczko or Zbigniew Rybczyński...
|