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TC ESPE's curator insight,
May 4, 2019 2:18 PM
A travers cet article paru en Janvier 2015 et basé sur les travaux de Marshall Rosenberg, l’on va expliciter les moyens pour mettre en place une communication non violente.
Par ailleurs, il est important de préciser que celle-ci permet un cadre de travail sain dans un établissement scolaire avec une relation apaisée avec les collègues ainsi qu'un climat de classe propice à l’épanouissement de chacun (l’enseignant compris). Marshall Rosenberg décline la communication non violente en 4 axes importants : l’observation, le sentiment, le besoin, la demande. L’observation réside dans la collecte visuelle ou auditive d’une information apportée par autrui. Marshall Rosenberg préconise une observation passive sans jugement et généralisation. En d’autres termes, l’on va faire un constat de la situation « tu es en retard » tout en y accompagnant son Sentiment « j’aurais aimé être averti, je me sens délaissé et non respecté. » L’on pourrait très bien envisager de faire construire aux élèves un vocabulaire des émotions poussé pour rendre possible cette étape. Derrière cette situation intervient un besoin satisfait ou insatisfait. Il est nécessaire de les identifier afin de s’inscrire dans une action réparatrice structurée par la demande : le fait d’exprimer son besoin. En somme, pour Marshall Rosenberg, la communication non violente n’est pas innée et elle doit s’enseigner à l’école, la maison ou être mise en place dans les entreprises (voire les associations sportives). TS |