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EODE-TV/ LUC MICHEL : DESTABILISATION AFRICAINE 2. LE ‘PRINTEMPS AFRICAIN’ MADE IN USA /SUR RADIO SPUTNIK (GROS PLAN SUR L’AFRIQUE) Les experts…
Les États-Unis ont exprimé un mécontentement concernant le programme nucléaire algérien et ce, depuis 1991. 'Washington a délégué Paris pour faire pression sur Alger par le biais de la Chine et a demandé à la Suisse de ne pas vendre à l’Algérie des équipements qui rentrent dans le cadre de la...
L’Agence américaine de renseignement militaire, DIA, relevant du Pentagone, réoriente son action vers les pays nord-africains, dont le Maroc notamment...
WASHINGTON - Le président américain Barack Obama a affirmé vendredi qu’il avait envoyé, mercredi dernier, 40 autres militaires américains au Niger, ce qui porte à 100 le total des effectifs militaires américains déployés dans ce pays du Sahel.
Fait inquiétant, mais peu surprenant, l’AfricaCom de l’armée américaine veut augmenter sa présence en Afrique du nord-ouest. Ce qui avait commencé comme une aide discrète à l’offensive française pour arracher le contrôle du nord du Mali (une ancienne colonie) à des djihadistes indésirables pourrait finir par se transformer en une intervention plus importante.
Lors d'un colloque devant des universitaires africains des personnalités du monde diplomatique des experts à Stuttgart le 19 Décembre dernier le Gl Carter Kam a présenté les objectifs d'AFRICOM intégrés à la nouvelle stratégie militaire US "...
Quarante-quatrième président des États-Unis et premier Noir à la tête de la première puissance mondiale, Barack Obama a été réélu 6 novembre 2012 par 332 grands électeurs, contre 207 pour Mitt Romney. De nouveau locataire de la Maison-Blanche, Barack Obama est résolument optimiste pour l'avenir de son pays alors qu'en Afrique des voix s'élèvent pour demander plus d'engagement au président américain. L'écrivain congolais Alain Mabanckou, qui vit à cheval entre les États-Unis et la France, décrypte la réélection du candidat démocrate à la maison blanche.
Ces derniers temps, je suis particulièrement remontée contre les Etats-Unis. Bien-sûr, il ne s'agit pas d'un anti-américanisme chauvin (et hypocrite) à la De Gaulle mais d'un mépris totalement rationnel envers un pays qui incarne, à outrance, tout ce qui ne va pas dans notre monde malade. Mon dégoût pour la première puissance mondiale résulte d'une réflexion cohérente avec mes positionnements idéologiques et ma vision du monde.
C’est la guerre secrète de Barack Obama. Premier président «noir» de la première puissance mondiale. Seul président américain dont le père était Africain. Que retenir du mandat d’Obama sur le continent noir? La chute de Kadhafi, ce n’est pas lui, c’est Nicolas Sarkozy. La chute de Gbagbo, encore Sarkozy (décidément). Alors que retenir? Obama n’a pas «changé l’Histoire» sur le continent de son père.
DAKAR, 23 août (Xinhua) -- Débutée le 1er août à Dakar, la troisième tournée du secrétaire d'Etat américain Hillary Clinton dans onze pays africains n'a pas eu le succès escompté, au vu de plusieurs questions sans réponses suscitées après son passage sur le continent, estiment des spécialistes.
Un récent rapport des Nations-Unies montre que les vols de drones militaires américains au-dessus de la Somalie sont désormais suffisamment fréquents pour mettre en danger le trafic aérien local.
Selon cet article de "lemonde.fr", Washington a tissé un réseau de bases aériennes secrètes en Afrique. L'une d'elle se trouverait au Burkina Faso.
Alors que la communauté internationale et les membres voisins de la Communauté économique des États d'Afrique occidentale (CEDEAO) condamnent le coup d'État militaire au Mali, mené par des protagonistes inexpérimentés, des milliers de personnes ont pris les rues de la capitale malienne de Bamako en appui à la nouvelle junte. Les citoyens brandissaient des pancartes et des banderoles affichant: « À bas la communauté internationale » et « À bas Sarkozy », en chantant des slogans à la gloire du chef de la junte, le capitaine Amadou Sanogo.
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(Agence Ecofin) - L’Afrique n’a pas été épargnée par le programme secret de surveillance des Etats-Unis, baptisé Prism. Ce dernier est destiné à collecter les données en ligne des gouvernements, des entreprises et des particuliers du monde entier – hormis ceux des Etats-Unis – et est associé au logiciel Boundless Informant qui permet d’analyser de manière précise et détaillée ces données. Ces programmes ont été dévoilés par l’ancien consultant de la NSA (National Security Agency), l’agence nationale de sécurité américaine chargée du renseignement, Edward Snowden, qui s’est confié au Guardian et Washington Post en juin dernier. Ils montrent aux yeux du monde comment les Etats-Unis espionnent l’Internet et certains réseaux de téléphonie. Depuis 2007, le programme Prism collecte les mails, les fichiers, les photos, les communications audio ou vidéo, toutes les informations transitant via le web. Les entreprises espionnées étant Microsoft, Google, Facebook, Skype, Yahoo !, YouTube, Paltalk, Aol et Apple
Niamey - Le Niger a confirmé mardi la présence de drones américains sur son sol, en invoquant la nécessité de "sécuriser les frontières" contre des infiltrations de groupes jihadistes venant du nord du Mali voisin. "Nous ne sommes pas loin du théâtre des opérations du Mali. Sans ces drones et sans la présence de ces avions de reconnaissance, avouons-le, nous sommes aveugles", a déclaré Marou Amadou, ministre de la Justice et porte-parole du gouvernement nigérien, sur la télévision publique.
Flintlock 2013 commence ce mercredi en Mauritanie. Cet exercice annuel est organisé par l'état-major des opérations spéciales de l'AFRICOM, le commandement américain pour l'Afrique. Les manœuvres, qui dureront trois semaines, auront lieu dans l'est de la Mauritanie et regrouperont une vingtaine de pays, dont des pays arabes (voisins de la Mauritanie notamment), ainsi que des pays d’Europe (France, Espagne), d’Amérique (Canada, USA) et des pays d’Afrique (Burkina, Sénégal, Nigéria).
L’Afrique subsaharienne est longtemps restée absente ou bonne dernière des priorités stratégiques américaines. Il faut attendre les attentats de 1998 contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, puis surtout les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, pour voir l’Afrique figurer parmi les intérêts américains en devenant un front de la « guerre globale contre la terreur ». Cette évolution est entérinée en 2007 avec la création d’un commandement militaire pour l’Afrique, pour la première fois dans l’histoire américaine, AFRICOM.
Les illusions entretenues sur la politique étrangère d’Obama, nouveau mandat, nouvelle version, seront-elles contredites par les exigences de la real politik, en Afrique ou au Moyen-Orient ?
Voici des mois que règne la terreur au nord du pays du grand Modibo Keïta et que saigne son peuple. Tout a été ingénieusement préparé pour faire voir et croire à beaucoup d’Africains qu’il s’agit ici d’un conflit banal et sans pilote lointain. Pourtant, le recoupement des événements nous fait voir autrement ; nous fait voir que le conflit malien a ses commanditaires, ennemis habituels de l’Afrique.
Lors de sa visite hier, au Musée national Cirta, Son Excellence l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique en Algérie, Henry Ensher, a fait don d’un chèque de 76 750 dollars devant servir à la restauration des pièces de monnaie antiques, au nombre de 29 000, que recèle ce haut lieu de témoignages des innombrables civilisations ayant traversé la Numidie ou l’antique Cirta.
Il faut qu’une réalité soit très claire dans l’esprit des "experts" qui interviennent partout dans les médias en tentant d’imposer des réalités de terrain superficielles, malgré le trouble social et le sang qui coule, au détriment de l’essentiel qui s’y passe
Elle a visité neuf pays africains –Sénégal, Ouganda, Soudan du Sud, Kenya, Malawi, Afrique du Sud, Nigeria, Ghana, Bénin- en bénissant les parterres de ses « God bless you », et en jurant que Washington n’a comme unique objectif en Afrique que «...
Une expérience pilote visant à faire une rotation de commandement entre les différentes armés continentales du globe va débuter bientôt... C'est ce que le Général Major, David R. Hogg, chef de l'AFRICOM ( U.S. Army Africa), appelle le concept de force régionale alignée. Au Burundi, les Forces de Défenses Nationales -FDN - sont prêts à fournir 3000 soldats dans le cadre d'une force régionale dès 2013.
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