Actualités Afrique

Le nouvel an berbère sera célébré conjointement par les associations Tifin Art, Zari, Amazighe France-Amazighie, le samedi 31 janvier à la Maison du Maroc à Marseille. 

Des photos de 90 photographes de Tunisie, Algérie, Maroc, Libye, Egypte, Arabie Saoudite, Irak, Palestine, Yémen, Sultanat d'Oman et de la Croatie s'exposent à la huitième édition du Salon international de la photographie qui se déroule au centre culturel de Monastir jusqu'au 28 décembre 2014.

Des acteurs associatifs et intervenants dans le domaine culturel ont appelé, samedi à Tanger, à la préservation de l’architecture, la musique, le cinéma et la photographie marocains du 20ème siècle.
Les participants à la journée de l’Observatoire du patrimoine moderne (MOHO), qui a eu lieu à la Cinémathèque de Tanger, ont souligné l’importance des différentes formes de création modernes en tant que vecteurs de la mémoire partagée et une composante de l’identité culturelle nationale.
Cette rencontre a été marquée par la présentation d’initiatives et projets allant dans le sens de la préservation et de la valorisation de ce patrimoine. Dans ce sillage, Karim Rouissi, vice-président de l’association Casamémoire, a donné un aperçu sur les actions menées par cette ONG pour la préservation du patrimoine architectural de Casablanca.

 

Du fauteuil Mobutu, d’Iviart Izamba, en forme de brouette doublée de fourrure léopard au lit en tôle, de Kossi Assou, les designers africains rivalisent d’inventivité. Leurs créations contemporaines n’en revendiquent pas moins une filiation avec les artefacts de leurs ancêtres. Intitulée, «Design en Afrique : s’asseoir, se coucher et rêver», l’exposition au musée Dapper, jusqu'au 14 juillet à Paris, réunit une centaine d’œuvres, majoritairement des objets supportant le corps : tabourets, chaises, fauteuils, lits, bancs, appuis-tête ou «supports de rêves», tous marqués par les façons de vivre des utilisateurs et par leur statut. «Formes et fonctions dialoguent pour le confort des uns et le prestige des autres», souligne Christiane Falgayrettes-Leveau, commissaire de l’exposition.

 

Organisée au Dorothy’s gallery American Center for the Arts, dans le 11ème arrondissement de Paris, l’exposition « Dessine-moi l’Afrique » a été ce vendredi le lieu de rencontre de nombreux amoureux du continent noir. Une Exposition qui a permis de mettre à nu les réelles capacités artistiques de l’enfant africain, à travers des dessins innocents, mais très riches en contenu.

 

L’ouvrage « Les héritiers du foyer ardent »  de Papa Assane Guèye, nous replonge dans la chaleur du vécu des étudiants des colonies d’Afrique en France dans les années 1960. L’auteur y raconte les différentes péripéties de leur combat culturel contre l’acculturation.

 

Couronné par le prix Grand Atlas 2012, le premier roman de Mohamed El Ouardi est, loin de la jolie balade bucolique, une immersion réaliste et lucide dans la vie paysanne, souvent sordide.

Il faut préserver et valoriser le patrimoine culturel national, ne serait-ce que pour maintenir la cohésion sociale dans un pays comme le nôtre, voilà ce que pense Carlou D. Le chanteur et musicien sénégalais s’exprimait ainsi, lui qui faisait face à la presse hier mercredi 7 janvier à Dakar. Une rencontre à quelques jours de son spectacle «Sénégal Sur Scène» du 10 janvier prochain au Grand Théâtre National.

e Consortium des bibliothèques de l’enseignement supérieur du Sénégal (Cobess) a organisé hier une journée de réflexion sur le thème «droit d’auteur et bibliothèque : les enjeux». Le postulat de base du Cobess est que la mission de la bibliothèque est de permettre aux usagers d’avoir un accès libre au savoir, surtout dans un monde où tout développement repose sur la recherche.

 

Nawal, en tournée dans l’Océan indien du 1 er au 15 février, s’est produite à l’Alliance franco-comorienne de Moroni, samedi dernier, en compagnie de la troupe de danse “Les femmes de la lune“ de Mayotte. Après ses prestations à Mayotte, au Centre Universitaire de Dembeni, et au Chapiteau du Cirque de Paris à Mamudzu, elle a présenté son spectacle, déjà bien rôdé, à l’Afc de Moroni, avant dernière étape de la présentation qui se tiendra au Festival Sawuti za Busara à Zanzibar en Tanzanie.

Posté 12 Février, 2013 par Veille Africaine dans Culture.

“Il n’ya pas que les hommes d’affaires ou les investisseurs qui boudent désormais la Tunisie, même le cinéma international nous claque la porte. En effet, on vient de savoir que le réalisateur Ridley Scott a renoncé au tournage de son nouveau film en Tunisie pour rejoindre finalement le Maroc.”