EXPLORATION

"Le nouveau phénomène du moment (2010) : la drogue auditive. On a testé pour vous, et ça marche ! Découvrez vite notre dossier complet.

Materiel requis:

- Un ordinateur avec le logiciel I-Doser (expliqué dans l'article)

- Des "doses" (expliqué dans l'article aussi)

- Des écouteurs sous forme de casque de VRAIMENT bonne qualité (casque, oui vous lisez bien, casque, donc pas d'écouteurs banals, pas in-ear (ou intra-auriculaire, c'est la meme chose, sauf s'ils sont de très bonne qualité), évitez les écouteurs plats qu'on "accroche" a l'oreille avec un arceau de l'écouteur)

- Un lieu calme (c'est impératif, pas de bruit ou de gène autour de vous, sinon ça rate) et un siège ou un lit confortable (car vous allez y rester en moyenne une heure)
Attention. Cet article a pour unique but d'expliquer le principe de la drogue auditive. Principe qui n'est pas clair à l'heure qu'il est : ses éventuels effets secondaires et dangers ne sont pas encore connus. Par principe de précaution, nous vous recommandons de ne pas utiliser ces techniques et de considérer cet article uniquement comme un article informatif.

De plus, si vous êtes en possession d'informations complémentaires sur les risques liés à l'utilisation de la "drogue auditive", n'hésitez pas à nous les transmettre.

Muahaha, bienvenue dans l'underground.

"Oh mon dieu, mais c'est quoi, l'underground?"

L'underground c'est (pour vous, parce que vous êtes jeunes, naïfs, innocents, et parce que j'avais envie d'inventer un mot), pour faire simple, une partie plus ou moins paumée d'internet. En clair, là bas, en dehors des hackers, des sites pornos, et des jeux d'argent, vous y trouvez une foule de logiciels tordus.

Tordus parce que je suis sur que la majorité d'entre vous ne sait pas ce qu'est i-doser.

MAIS QU'EST CE QU'I-DOSER ?

C'est un logiciel qui fait office de lecteur audio, pour un format qu'il est seul a pouvoir lire,

le format audio .drg . Ouais, avouez qu'une extension pareil, c'est pas banal, et puis c'est un peu louche comme nom.

Je vais vous expliquer le principe, i-doser est un logiciel qui nous vient des US, suite a des expériences sur le battement binaural,

Wikipedia - Le battement binaural ou son binaural est un artéfact de traitement auditif, c'est-à-dire des sons apparents, dont la perception apparaît dans le cerveau indépendamment de stimulus physiques. Cet effet a été découvert en 1839 par Heinrich Wilhelm Dove.

En fait, vous allez disposer de sons (les .drg), et d'un lecteur audio spécial pour ces sons (le logiciel i-doser). Chaque son, chaque "dose" que vous avez téléchargé sera lu par le logiciel, qui retransmettra à votre casque des ondes, pas vraiment agréable a entendre, qui provoqueront chez vous des hallucinations. Oui monsieur (ou madame, on peut toujours rever), des hallucinations.

Les ondes feront croire a votre cerveau qu'il perçoit, que ce soit par la vue, l'ouïe, ou le toucher (c'est généralement les seuls sens touchés par les doses)

Pour commencer, vous aurez les yeux fermés, et serez allongé ou confortablement assis, dans le noir de préférence, et lancerez le logiciel. A priori, il ne vous arrive rien.

A partir de l'interface très simple du logiciel (hé oui, c'est ça le underground, c'est simple, et moche, mais efficace), il vous suffit de cliquer sur "Open Dose", et devinez ce que ça fait?!" (...)

Qu’est-ce qui rendait les premières fêtes si uniques ? À quoi ressemblait cette fameuse utopie de la « house nation » ? Pour le savoir, nous avons interrogé les acteurs de la période dorée des années 1989-1994. Bienvenue dans la matrice…

"La rock star britannique Bowie, à la une des journaux actuellement pour son excellent album come-back, The Next Day (Columbia / ISO) – premier nouvel enregistrement en une décennie, largement et à juste titre salué comme son meilleur travail depuis 1980 Scary Monsters –avait déjà battu de 20 ans Madonna sur la Kabbale, chantant sur les sefirot, les vaisseaux mystiques de l’énergie divine, dans la chanson-titre de son album de 1976, Station to Station.

Effectivement, Bowie chante : «Voici que nous, un mouvement magique de Kether à Malhouth » dans Station to Station, peut-être le seul usage de la terminologie kabbalistique en hébreu jamais chanté par une grande chanteuse pop internationale. Les paroles se réfèrent à des émanations divines de l’infini : Kether, (la couronne), la volonté divine ou de la lumière pure, et Malhouth, ou la royauté, le réceptacle nourri de cette lumière. Bowie est photographié sur le dos de l’album, où est dessiné un diagramme des 10 Sefirot, symbolisant la Kabbale, une activité dans laquelle, il s’est prétendument engagé dans une certaine fréquence pendant l’enregistrement de l’album à Los Angeles – un temps pendant lequel, il aurait transcendé son esprit à la cocaïne.

L’immersion de Bowie dans la Kabbale faisait partie d’une quête spirituelle globale qu’il a trouvée du bouddhisme tibétain (il a presque rejoint un monastère à la fin des années 1960, jusqu’à ce que son professeur lui ait dit qu’il ferait un meilleur musicien que moine) à la mystique chrétienne, occulte culte et un flirt avec l’imagerie néo-nazie qui a presque fait dérailler sa carrière. Il avait été découvert qu’il avait rassemblé des souvenirs nazis et qu’il avait fait, apparemment, un Heil Hitler pour saluer, à son arrivée, en 1976, dans une décapotable Mercedes décapotable, une foule rassemblée à la gare Victoria de Londres.

Aujourd’hui, ces blâmes sur les questions de drogue de Bowie font partie du passé. Il a mis ce malheureux incident derrière lui, il y a longtemps, très longtemps, et sa vie et sa carrière antérieure et postérieure, suggèrent qu’il est tout, sauf un sympathisant nazi."

Connexe : L'univers occulte de David Bowie et la signification de "Blackstar"

"En juin 1990, le collectif DiY, originaire de Nottingham, a pris la direction du festival alternatif de Glastonbury – qui se déroulait en parallèle du « vrai » festival – avec une table de mixage, quelques disques et aucune idée de la façon dont allaient se dérouler ces trois jours de musique ininterrompue. Les vieux habitués – qui tournaient au speed, à l’acide et à Hawkind – ont contemplé avec étonnement ces petits jeunes qui prenaient pilule sur pilule tout en écoutant de la house." (...)

"NOUS SOMMES UNE AUTHENTIQUE ALTERNATIVE MUSICALE ET CULTURELLE.

Nous faisons le boulot que les maisons de disques et les boîtes de production ont cessé de faire depuis longtemps, pour se consacrer uniquement à leurs profits et non à leur mission d'offre culturelle de qualité.

Notre économie est basée sur des principes justes et sur la volonté de créer un modèle honnête et respectueux.

Nous n'avons que les moyens de notre bonne volonté.

En gros, on espère incarner, d'une certaine manière, une nouvelle version du service public!

En achetant des albums sur cette plateforme vous faites un bras d'honneur au système qui nous fait ingurgiter de la merde au quotidien, et vous soutenez des artistes qui le méritent.

MERCI A VOUS. NOUS N'EXISTONS QUE DANS L'ECHANGE AVEC VOUS !"

"Le week-end dernier, des milliers de festivaliers offraient leurs corps au dancefloor de l’Ozora Festival, lors d’un opening cérémonieux de plus de 24 heures mené par Goa Gil. Dans la musique électronique, cet artiste est une légende, et son histoire reste méconnue. De San Francisco aux plages indiennes, le nomade a roulé sa bosse le long d’un chemin tumultueux chargé d’enseignements. Celui qu’on surnomme le « music baba » est le père fondateur d'une philosophie de la rave qui n'a jamais cessé de s'étendre." (...)

Selon une étude américaine, les chansons qui ont connu un grand succès dans les bacs depuis 2005 ont un niveau lexical de CE2. Le degré de recherche dans les paroles varie selon les styles. Ainsi la Country propose les textes les plus avancés, le R&B et le hip-hop ferment la marche.

Pour leur recherche, des scientifiques mélomanes ont étudié les paroles de 225 chansons ayant occupé la première place du classement des meilleures ventes aux Etats-Unis depuis 2005 et utilisé des tests standards pour en déterminer le niveau lexical. Le résultat a montré que ces hits ont un niveau de lecture moyen de CE2, soit celui correspondant à un enfant de 8 ans. L’étude révèle également que le niveau a baissé depuis 10 ans.

Si la musique country offre les paroles les plus avancées, le R&B et le hip-hop sont loin derrière, en raison notamment d’un plus grand nombre d’interjections comme « yeah » et « oh », explique Andrew Powell-Morse, le principal auteur de cette étude.

"La chanteuse néerlandaise Deva reprend un de ses succès pour expliquer la réalité de la communication, dans les domaines de la politique et du pouvoir... Par la terrible Mérée Drante & son équipe..."

ConnexeCet instrument de musique est l'un des plus extraordinaires

La Puissance de la Fink.

"Il était dans l'intérêt du gouvernement et des forces de police d'écarter quelqu'un comme Tupac ; il était instruit, c'était un activiste comme sa mère (Membre des Black Panthers), il était ambitieux et avait une grande écoute ; il ne rentrait pas dans le moule, et en plus, il était noir.
Ça ne vous rappelle pas Martin Luther King ou Malcom X... toujours la même issue fatale....

Le programme secret "Counter Intelligence Programs" mis en place par le Directeur du FBI, John Edgard Hoover, visait à éliminer toute organisation qui pourrait destabiliser le système politique des États Unis, en particulier, des organisations de droits civiques des noirs.
La stratégie est de mettre en opposition deux groupes afin qu'ils finissent par se détruire mutuellement. La technique consiste en l'infiltration, comme pour les assassinats de Martin Luther King ou de Malcom X, trahis par des proches.

Las Vegas - 13 septembre 1996 : Tupac Shakur est tué de 14 balles lors d’un « drive by shooting ». Quelques mois plus tard, son ex ami, Christopher Wallace alias Notorious B.I.G, autre star du rap aux Etats-Unis, est assassiné à Los Angeles.

Près de 15 ans ont passé et on ne sait toujours pas qui a tué les 2 plus grandes stars du Hip Hop ni pourquoi, ni si les 2 assassinats sont liés ? La thèse officielle parle de guerre entre les deux grands rappeurs, entre les deux labels « Death Row Records » et « Bad Boy Records », entre la côte Ouest et la côte Est.
Mais vous verrez en visionnant le documentaire qu'il en ressort tout autre chose.

Ce documentaire inédit exceptionnel, proposé par Karl Zéro raconte la descente aux enfers de ce jeune rappeur activiste à qui l’on a inculqué dès son plus jeune âge des valeurs politiques fortes. En effet, sa mère est l’une des figures du légendaire mouvement de contestation noire créé en 1966, « les Black Panthers », dont l’ambition est de combattre l’injustice et l’oppression du peuple noir. La lutte sociale et les problèmes du ghetto, Tupac en a fait sa raison de vivre. Son succès sera planétaire – il vendra plus de 100 millions d’albums dans sa courte carrière. Il est classé comme l'icône absolue du Rap, la nouvelle star made in ghetto.

Et puis tout dérape très vite… les problèmes avec la justice s’enchaînent…Tupac est dans le collimateur des institutions et des autorités policières…

Grâce à de nombreux témoignages exclusifs, Quincy Jones Jr (son ancien producteur), Michael Warren (avocat), John Potash (auteur de « La guerre du FBI à Tupac Shakur »), ou encore Puff Daddy (rappeur producteur et ami de Biggie Smalls), Karl Zéro rouvre un dossier qui fait toujours polémique, un pur thriller East-West dont l’issue reste encore inconnue."

"Été 1994. Une des dernières raves de l’année sur la côte de Carnac pour Maud Geffray et ses potes. Le « Summer of Love » prend fin. L’innocence et la fraîcheur des premières raves à l’ancienne aussi. Été 1994, charnière pour toute une génération en marge qui vit alors les premiers balbutiements de la révolution techno en France. Loin des clubs où dance criarde et hits du Top 50 font fureur, des jeunes de tout bord vivent leurs derniers instants de flottement, au milieu de nulle part, entre les dunes un peu floues, bunkers gris en ligne de mire, il est 8 h du mat’, plus rien alors ne s’ancre dans le temps." (...)

"La RAZIA est un groupe de rap qui développent l'analyse que le RAP originel était intrinsèquement politique et que la culture développé à partir des années 70 serait une version dévoyée et ludique destinée à retirer tout substance de réflexion et d'insoumission sociale Cette différence implique donc deux disciplines le RAP et le MCing. Une approche originale qui remet le RAP sur les rails d'une contestation sociale et d'un projet politique"