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Attali et Minc sur la crise, en 1984 déjà...

(LLP) "4 à 5 décennies de mensonges et de tromperies, ils sont toujours là, accès illimité aux médias de toutes sortes : papier, radio, télé, livres… Ces incompétents notoires sont LA preuve du complot ! Ces gens sont des parasites, des vampires qui vivent sur le dos des peuples !"

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"Attali et Minc, nos deux phares de la pensée intellectuelle française, étaient déjà là en 1984, en plein tournant de la rigueur, pour expliquer la crise aux Français. La crise, opportunité pour faire les efforts nécessaires et libéraliser, un discours qui a traversé les années et s’est amplifié jusqu’à aujourd’hui."

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Nouvel Ordre Mondial: Attentats et opérations sous faux-drapeau modernes sont des créations sionistes… (Veterans Today)

Nouvel Ordre Mondial: Attentats et opérations sous faux-drapeau modernes sont des créations sionistes… (Veterans Today) | EXPLORATION | Scoop.it

"Alexis parle ici des opérations faux-drapeaux modernes de toute évidence, même s’il aurait dû le préciser dans la mesure où à la lecture de son article, on pourrait penser qu’il croit qu’il n’y avait pas d’opérations faux-drapeaux avant l’époque moderne. De fait, l’histoire de l’humanité en est truffée, comme l’incendie de Rome par Néron par exemple, surtout celles de l’empire américain, qui rappelons-le a été en guerre plus de 300 ans sur ses 341 ans d’existence, on ne compte plus les faux-drapeaux générés par les Yanks.

~ Résistance 71 ~

Les opérations faux-drapeaux sont des créations sionistes

Jonas Alexis
5 juin 2017
url de l’article original:
http://www.veteranstoday.com/2017/06/05/false-flag-operations-are-zionist-creations-2/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~"

"Les opérations faux-drapeau par leur nature même, sont toujours bonnes pour les nouveaux cons(ervateurs), le régime israélien, les va t’en guerre et les puissances usuelles. Si vous n’en êtes pas sûr, demandez donc à B. Netanyahou et il va vous en persuader. Vous rappelez-vous ce qu’il a dit après les attaques du 11 septembre ?

Le fou de Tel Aviv expliqua sans équivoque à une audience de l’université Bar Ilan: “Nous bénéficions d’une chose et c’est de l’attaque sur les tours jumelles et le Pentagone ainsi que de la lutte des Américains en Irak.”[1] Toutes ces guerres et attaques terroristes “ont fait chavirer l’opinion publique américaine en notre faveur”, a t’il ajouté.[2]

Le président iranien d’alors Mahmoud Ahmadinejad a vu la même chose à savoir que les opérations faux-drapeau renversaient toujours “l’opinion publique américaine” en faveur d’Israël. Ahmadinejad a alors dit:

“Il y a 4 ou 5 ans, un évènement suspicieux s’est passé à New York. Des bâtiments se sont effondrés et ils ont dit que 3000 personnes y avaient été tuées sans jamais publier leurs noms. Sous ce prétexte, les Etats-Unis ont attaqué l’Afghanistan, puis l’Irak et depuis, un million de personnes ont été tuées en Irak.”[3]

Ce que nous voyons ici encore et toujours est ce que l’ayatollah Khomeini avait dit bien en avance sur son temps, lorsqu’il lança l’expression de “Grand Satan” pour décrire les activités sionistes aux Etats-Unis et au Moyen-Orient ; Par le “sionisme international”, il dit en 1979:

“Au moyen des ses agents fourbes et cachés (comme par exemple les néoconservateurs et les va t’en guerre de tout poil), il suce le sang des peuples sans défense comme si lui seul, avec ses satellites, avaient le droit de vivre en ce monde. L’Iran a essayé de couper ses relations avec ce Grand Satan et c’est pour cette raison même que maintenant des guerres lui sont imposées.”[4]

Khomeini ne faisait que s’échauffer: “Il n’ y a pas de crime que l’Amérique ne commettrait pas afin de maintenir sa domination économique, politique, culturelle et militaire sur ces parties du monde où elle prédomine.”

Ceci est toujours vrai aujourd’hui. La mafia sioniste et ses marionnettes utilisent des opérations faux-drapeau pour matraquer à la fois le Moyen-Orient et l’occident à mort. Par exemple, juste après les récentes attaques de Londres, Theresa May a déclaré que le gouvernement se devait de prendre le contrôle de l’internet. “Nous ne pouvons pas permettre à cette idéologie un espace de sécurité pour se reproduire, et pourtant c’est exactement ce que l’internet et les grosses entreprises qui en fournissent l’accès font,” a t’elle dit.[5]

May ne pense pas une seconde que la guerre perpétuelle créée au Moyen-Orient pourrait bien être une raison des attaques contre l’occident. Elle pense juste que l’internet est une grande partie du problème ! Elle a dit:

“Nous devons travailler avec les gouvernements démocratiques alliés pour atteindre un accord international afin de réguler le cyber-espace et empêcher la propagation de l’extrémisme et de la planification terroriste.”[6]

Les attaques terroristes de Londres, a t’elle ajouté “étaient liées entre elles par une seule idéologie malfaisante, celle de l’extrémisme islamique.”[7] Qu’en est-il de l’extrémisme nouveau con ? et de la Syrie en ce moment ? Qui soutient vraiment l’EIIL dans la région ? Cette femme veut-elle nous faire croire qu’elle ne sait pas , qu’elle ne sait rien ? Pourquoi ne s’assied-elle pas 5 minutes avec Poutine pour lui demander ?…

May fait l’idiote avec les faits parce qu’elle est au lit avec un paquet de va t’en guerre et de satanistes. En fait, May n’a pas hésité à dire l’an dernier qu’elle était prête à larguer des bombes sur des gens innocents, hommes, femmes et enfants, afin de protéger son idéologie politique.

Le second point est que May et d’autres va t’en guerre sont préoccupés au sujet des récentes attaques de Londres, mais les mêmes personnes ne sont pas vraiment inquiètes quand il s’agit de bombarder en Irak, en Afghanistan, en Libye et en Syrie. Juste samedi dernier, au moins 245 civils ont été tués rien qu’à Mossoul (NdT: par des raids anglo-americano-sionistes…)

Le mois dernier, au moins 3050 personnes ont perdu leurs précieuses vies. Qui se préoccupent de ces gens ? Aucun politicien en occident en tout cas. Ils sont bien plus motivés à faire bloquer l’internet que d’adresser les vrais problèmes au Moyen-Orient. Censurer ce que disent les gens sur internet est un vieux projet israélien depuis le départ.[8]

[1] “Report: Netanyahu Says 9/11 Terror Attacks Good for Israel,” Haaretz, April 16, 2008.

[2] Ibid.

[3] Ibid.

[4] Quoted in E. Michael Jones, “The Great Satan and Me: Reflections on Iran and Postmodernism’s Faustian Pact,” Culture Wars, July/August, 2015.

[5] Jon Stone, “Theresa May says the internet must now be regulated following London Bridge terror attack,” Independent, June 4, 2017.

[6] Ibid.

[7] Ibid.

[8] See for example David Shamah, “Israel eyes world coalition to force social media platforms to block incitement,” Times of Israel, January 19, 2016; for similar stories, see also “Likud Minister: It’s Clear Netanyahu Wants to Block Critical Reports About Him,” Haaretz, March 4, 2017."
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Connexe : (vidéo) "Les pères du terrorisme moderne"

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1976 : le Shah d’Iran évoque la puissance du lobby sioniste

1976 : le Shah d’Iran évoque à la télévision la puissance du lobby sioniste

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« Ouvrons les archives sur le meurtre de Thomas Sankara »

« Ouvrons les archives sur le meurtre de Thomas Sankara » | EXPLORATION | Scoop.it

"Le chercheur au King’s College, Vincent Hiribarren, raconte son casse-tête pour accéder aux archives françaises sur l’assassinat de l’ex-chef d’Etat burkinabé.

Le président du Burkina Faso, Thomas Sankara, et son homologue français, Francois Mitterrand, à l’aéroport de Ouagadougou, le 17 novembre 1986.
Thomas Sankara a été assassiné le 15 octobre 1987. Presque trente ans plus tard, l’identité de son meurtrier est toujours inconnue. En tuant Sankara, le ou les coupables ont cherché à étouffer les idées d’un homme devenu une figure emblématique de la révolution en Afrique. Les suspects ne manquent pas : Blaise Compaoré, des mercenaires du Liberia, des Libyens, des Ivoiriens ou encore des Français. Au Burkina Faso, une enquête a déjà été ouverte et des personnes inculpées. Par ailleurs, François Yaméogo, un juge d’instruction burkinabé, a lancé une commission rogatoire pour demander la levée du « secret défense » en France.
Un secret bien gardé par la France

La France pourrait bien avoir sa part de responsabilité dans cet assassinat. Après tout, les relations entre François Mitterrand et Thomas Sankara étaient tendues depuis le voyage présidentiel français au Burkina Faso en novembre 1986. La question de la dette semblait en particulier se trouver au centre des divergences entre les deux dirigeants. Le discours de Sankara à Addis-Abeba trois mois avant sa mort révélait au grand jour les divergences entre l’ancien colonisateur et le Burkina Faso sur ce point précis. Cependant, les pistes parfois contradictoires se heurtent à la difficulté d’obtenir des sources crédibles sur cet assassinat qui a transformé le Che Guevara africain en un martyr de la lutte anticoloniale." (...)
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Connexe : Thomas Sankara, le résistant

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La « révolution » syrienne qui n’existait pas…

La « révolution » syrienne qui n’existait pas… | EXPLORATION | Scoop.it

"Nous reproduisons le document honnête et fascinant du journaliste Stephen Gowans. Il synthétise ce que nous avons exposé dès 2011 par d’innombrables témoignages et articles. Et contredit les fake news répandues sur la guerre en Syrie, durant 6 ans, par l’ensemble des médias traditionnels et autres charlatans de la « révolution syrienne« . [Silvia Cattori]

Apparemment, la Gauche américaine doit encore comprendre que Washington n’essaie pas de renverser les néolibéraux. Si le président syrien Bachar al-Assad était un dévot du Consensus de Washington – comme Eric Draitser, de CounterPunch, semble le croire – le gouvernement des États-Unis n’aurait pas appelé depuis 2003 Assad à la démission. Il ne superviserait pas non plus la guerre de guérilla islamiste contre son gouvernement ; il le protégerait.

Il y a un shibboleth [en hébreu, un signe de reconnaissance verbal, selon Wikipedia, NdT]] dans certains cercles, voulant, comme Eric Draitser l’a écrit dans un article récent de CounterPunch, que le soulèvement en Syrie « a commencé en réponse à la politique néolibérale et à la brutalité du gouvernement » et que « le contenu révolutionnaire du camp révolutionnaire en Syrie a été marginalisé par un méli-mélo de djihadistes financés par les Saoudiens et les Qataris ». Cette théorie semble, pour autant que je le sache, être basée sur un argument par assertion, pas sur une preuve.

Une revue des articles de presse dans les semaines précédant et suivant immédiatement le déclenchement des émeutes à Daraa à la mi-mars 2011 – généralement considérées comme le début de l’insurrection – n’indique pas que la Syrie était prise d’une fièvre révolutionnaire, ni anti-libérale ou autre. Au contraire, les journalistes du magazine Time et du New York Times parlaient d’un gouvernement jouissant d’un large soutien, de critiques concédant qu’Assad était populaire et de Syriens manifestant peu d’intérêt à protester. En même temps, ils décrivaient les troubles comme une série d’émeutes impliquant des centaines, et non des milliers ou des dizaines de milliers de personnes, guidées par un agenda largement islamiste et présentant un caractère violent." (...)

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Bernard-Henri Levy : ce fidèle ami du mufti des égorgeurs d’enfants en Algérie

Bernard-Henri Levy : ce fidèle ami du mufti des égorgeurs d’enfants en Algérie | EXPLORATION | Scoop.it

"Une photo rare montrant le héraut du sionisme international, Bernard-Henri Levy, posant avec un maître à penser du terrorisme islamiste, l’Egyptien Abou Hamza Al-Misry, en Afghanistan, circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Nous connaissions les équipées de BHL à travers le monde musulman, depuis sa première rencontre avec le shah Massoud, qui s’était allié avec les «moudjahidine» afghans pour combattre l’armée russe, avant d’être assassiné, mais nous ne savions pas qu’il entretenait des liens aussi étroits avec les chefs terroristes qui constituaient alors l’ossature même d’Al-Qaïda en Afghanistan et dont faisait partie Abou Hamza Al-Misry.

Ce dernier, de son vrai nom Mustafa Kamel Mustafa, s’était longtemps réfugié en Grande-Bretagne en y officiant légalement comme imam, avant d’être extradé en 2014 aux Etats-Unis où il a été incarcéré pour incitation à la violence et constitution d’une organisation terroriste. Il était notamment réputé pour ses fatwas autorisant les actes terroristes commis par les GIA en Algérie et qu’il disait recevoir des monarchies du Golfe. Il constituait avec Abou Qatada, récemment expulsé d’Angleterre vers son pays, la Jordanie, l’idéologie du djihadisme en Occident.

Le plus frappant dans cette conjonction révélée aujourd’hui est que, à cette époque, Bernard-Henri Levy se faisait en Algérie le chantre de la lutte contre l’obscurantisme islamiste. On se souvient de sa visite à Alger en 1997 en compagnie d’un autre philosophe qui, lui aussi, a tourné casaque depuis : André Glucksmann, où il louait ouvertement et courageusement le combat des démocrates et de l’armée algérienne contre le terrorisme, au point où ils se sont attirés les foudres des cercles anti-algériens et notamment de l’Internationale socialiste qui les montrait comme des adeptes d’un «régime militaire» affublé de tous les qualificatifs et accusé d’avoir «confisqué la volonté populaire». C’était le début de la pernicieuse campagne du «qui tue qui ?» qui a longtemps permis aux groupes armés de bénéficier de la couverture politique de certaines capitales occidentales.

Avec du recul, et en voyant tout ce qu’il a entrepris depuis le déclenchement des insurrections armées dans le monde arabe en 2011, on comprend mieux le double jeu de ce pyromane et sa grossière manipulation qui lui permet non seulement de cacher son jeu, mais surtout d’être présent sur le front au bon moment comme pour s’assurer du bon déroulement du processus de destruction. On l’a vu en Afghanistan, puis en ex-Yougoslavie, en Libye, aujourd’hui au Kurdistan et à Mossoul."

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Révélation explosive: le compromis entre Sarkozy et le CRIF pour laisser faire la LDJ en France

(vidéo originale ici) "Bernard Ravenel révèle qu'il y a eu un compromis entre Nicolas Sarkozy à l'époque ministre de l'Intérieur et le CRIF pour tolérer la LDJ. Il révèle également que la police "est fatiguée de la LDJ".

 

Président d'honneur de l'Association France Palestine Solidarité, historien et militant politique, spécialisé dans les questions méditerranéennes, Bernard Ravenel a participé en 1960 à la fondation du Parti socialiste unifié (PSU)."

 

Au début de la vidéo, Houria Bouteldja raconte les circonstances de son agression par la Ligue de défense juive (LDJ)

 

Connexe : http://www.scoop.it/t/actu-geo-politique/?tag=ldj

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Les usines à faux drapeaux de George Soros

Les usines à faux drapeaux de George Soros | EXPLORATION | Scoop.it

"Le magnat nomadisé des fonds spéculatifs et perturbateur politique professionnel, George Soros, mène une guerre contre les États à l’aide de symboles, une guerre où les armes utilisées sont des drapeaux et des banderoles qui ont été soit ressuscités du passé, soit sortis du chapeau par une myriade de groupuscules associatifs, dans le but d’attiser les tensions religieuses, raciales ou ethniques dans le monde entier.

Que ce soit celui du mouvement serbe OTPOR!, avec son poing levé, adopté par divers groupes de manifestants dans le monde, ou le sinistre drapeau noir et blanc de l’État islamique, qui est d’abord apparu au cours des printemps arabes soutenus par George Soros, force est de constater que les usines à faux drapeaux de Soros tournent à plein régime.

Soros et ses sbires ont appris leur leçon sur l’importance du symbolisme dans les ouvrages de Gene Sharp, fondateur de l’Institution Albert Einstein de Boston, dans le Massachusetts. Si certains chercheurs en sciences politiques établissent un parallèle entre le catéchisme politique de Sharp sur la manière de mener des rébellions non violentes, avec les thèses défendues par Gandhi et Martin Luther King, il apparait surtout que ses enseignements sur la façon de bouleverser l’équilibre politique d’une nation relève plus de techniques empruntées à Mao, Marx et Hitler.

Dans la boîte à outils du petit révolutionnaire fournie par Sharp, on trouve les «drapeaux et couleurs symboliques», les «slogans, caricatures et symboles» ainsi que les «banderoles, posters et autres éléments de communication visuelle». Les «couleurs symboliques» ont été largement utilisées par les ONG de Soros et la CIA dans leur soutien aux «révolutions colorées» en Ukraine (l’orange), au Kyrgyzstan (le rose), et les révolutions avortées en Iran (le vert), au Koweit (le bleu) et en Birmanie (le safran)." (...)

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Les fondations Rockefeller et Ford derrière le Forum social mondial : quand le militantisme social est financé par des fondations privées

Les fondations Rockefeller et Ford derrière le Forum social mondial : quand le militantisme social est financé par des fondations privées | EXPLORATION | Scoop.it

"Cette année, le Forum social mondial se tient à Montréal. Le FSM réunit des militants sociaux engagés, des collectifs contre la guerre et des intellectuels de renom.

La plupart des participants ignorent que le FSM est financé par des fondations privées dont Ford, Rockefeller, Tides et consorts. Ce financement est en grande partie versé aux organisateurs du FSM sous la gouverne de son Conseil international.

Cette question a été soulevée à maintes reprises par des organisations progressistes et des militants du FSM : on ne peut lutter contre les élites du néolibéralisme et du nouvel ordre mondial et s’attendre en même temps à ce qu’elles financent nos activités!

Le Forum social mondial, dont le thème est « Un autre monde est nécessaire, ensemble il devient possible! », a vu le jour en 2001 lors de la tenue du tout premier forum à Porto Alegre, au Brésil.

Depuis sa création en 2001, le FSM est considéré comme un groupe de coordination internationale représentant des organismes populaires de la base déterminés à lutter contre la mondialisation. Son but déclaré est de remettre en cause le capitalisme d’entreprise et le modèle économique néolibéral dominant.

Lors de sa réunion inaugurale, le Forum social mondial s’est défini comme une contre‑offensive au Forum économique mondial (FEM), qui réunit annuellement des dirigeants d’entreprise et des politiciens à Davos, en Suisse. Le FSM de 2001 à Porto Alegre s’est tenu en même temps que le FEM à Davos.

Le FSM a certes de nombreuses réalisations importantes à son actif, attribuables en grande partie à la détermination des militants de terrain, sauf que la direction centrale du FSM, au lieu de s’opposer efficacement aux élites du nouvel ordre mondial, sert plutôt leurs intérêts corporatifs (souvent involontairement). C’est que le financement corporatif est devenu un moyen de coopter le FSM.

Le FSM a accompli deux grandes réalisations : sa participation en février 2003 à la protestation mondiale contre la guerre menée par les USA en Irak, et son soutien aux mouvements et aux gouvernements progressistes, notamment en Amérique latine.

Par contre, lors du FSM de 2013 à Tunis, la déclaration finale était en principe favorable à « l’opposition syrienne » soutenue par les USA. De même, le Groupe islamique des combattants libyens (LIFG), qui aurait prétendument dirigé le « printemps arabe » contre le gouvernement de Mouammar Kadhafi, a été tacitement confirmé comme une force révolutionnaire. Plusieurs ateliers sur la Libye louangeaient l’intervention militaire occidentale. Un atelier intitulé « transition de la Libye vers la démocratie » portait sur la question à savoir si la Libye s’en tirait mieux sans Kadhafi.

Financer la dissidence

Dès ses tout débuts en 2001, le Forum social mondial a été financé par des gouvernements et des fondations privées, dont la Ford Foundation, qui a des liens avec les services secrets étasuniens.

Le mouvement altermondialiste s’oppose à Wall Street et aux géants du pétrole du Texas contrôlés par Rockefeller et consorts. Pourtant, les fondations et les organismes de bienfaisance de Ford, Rockefeller et consorts accordent de généreuses contributions aux réseaux anticapitalistes progressistes et aux environnementalistes (opposés à Wall Street et aux géants du pétrole), dans l’espoir de finir par pouvoir les encadrer et coordonner leurs diverses activités.

Les mécanismes de la « fabrication de la dissidence » opèrent dans un environnement manipulable, par la coercition et la cooptation subtile d’un petit nombre de personnes qui comptent au sein des « organisations progressistes » comme les coalitions contre la guerre, les groupes environnementalistes et le mouvement altermondialiste. Bien des dirigeants de ces organisations ont dans un certain sens trahi leur base populaire.

Les corporations financent la dissidence pour mieux la contrôler.

La Ford Foundation (qui a des liens avec la CIA) a fourni des fonds au FSM pendant ses trois premières années d’existence dans le cadre de son programme axé sur le « renforcement de la société civile mondiale ».

Lorsque le FSM s’est tenu à Mumbai en 2004, le comité organisateur indien a décliné l’offre de soutien de la Ford Foundation. Mais cela n’a pas en soi modifié les liens du FSM avec les donateurs. Lorsque la Ford Foundation s’est retirée officiellement, d’autres fondations se sont positionnées.

Le FSM dispose de plusieurs sources de financement, dont celui d’un consortium de fondations privées sous la tutelle consultative du réseau Engaged Donors for Global Equity (EDGE).

Ce réseau, auparavant connu sous le nom de The Funders Network on Trade and Globalization (FTNG), joue un rôle de premier plan dans le financement des FSM successifs. Depuis le tout premier Forum en 2001, il a le statut d’observateur au Conseil international du FSM." (...)

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Le malaise français: « sécurité nationale », mais pour quelle nation?

Le malaise français: « sécurité nationale », mais pour quelle nation? | EXPLORATION | Scoop.it

"Depuis les attentats du 22 mars dernier en Belgique, il a été beaucoup question de la nécessité pour l’Europe d’augmenter sa sécurité et de moderniser les méthodes de surveillance massive et de contrôle dans tous les transports publics, en particulier dans les aéroports et les réseaux ferrés souterrains. Il y a un pays dans le monde qui a reçu une quantité considérable de publicité dans ce domaine: Israël. Cet État est désormais présenté dans les médias français comme un « modèle de sécurité » qui devrait être émulé par l’Union Européenne.

Du coup, il s’agit d’employer les méthodes de sécurité israéliennes dans nos aéroports. Les passagers qui garent leur voiture devront répondre à des questions posées par des policiers et du personnel des services secrets; ils seront interrogés sur leur destination et davantage de questions s’ensuivront, si jamais ils semblent tergiverser ou montrer des signes d’anxiété ou de stress. Le profilage des passagers doit devenir la norme plutôt que l’exception. L’historique des voyages effectués par les passagers sera pris en compte, pour évaluer s’ils représentent ou non une « menace ». Ceci implique, en définitive, que tous les citoyens seront traités comme des terroristes.

Les médias français n’ont pas été gênés de suggérer que les méthodes israéliennes de sécurité soient introduites en Europe, en dépit du fait qu’Israël soit une entité raciste et criminelle qui garde cruellement plus d’un million de personnes emprisonnées dans un camp de concentration à ciel ouvert, soumettant constamment la population autochtone des territoires occupés à la terreur étatique et à la torture. En France, la propagande pro-israélienne est agressivement mise en avant dans les journaux nationaux comme dans les journaux régionaux.

Un article a été publié dans Ouest France le 27 mars avec pour titre: « L’aéroport de Tel-Aviv, modèle de sécurité« .

Le texte décrit les méthodes d’interrogatoire mentionnées plus haut qui sont la routine quotidienne de l’aéroport Ben Gourion, à Tel-Aviv. Nous y apprenons également que des experts en sécurité israéliens de la compagnie aérienne El-Al ont visité l’aéroport de Zaventem à Bruxelles, peu de temps après les attentats terroristes afin d’évaluer la qualité de la sécurité dans l’aéroport; il paraît qu’ils ont été « outrés » par le laxisme sécuritaire dans le complexe. Mais il n’est pas dit au lecteur qui était responsable de la surveillance, à l’aéroport de Zaventem. La sécurité dans cet aéroport est assurée par ICTS, une entreprise israélienne qui a été fondée par d’anciens éléments du Shin Bet, la police secrète israélienne. Ainsi donc, des experts israéliens étaient « outrés » par le manque de sécurité fournie par les renseignements israéliens?

Selon le site Sott.net:

ICTS utilise le système de sécurité employé en Israël, où les passagers sont profilés afin d’évaluer le degré de menace potentielle qu’ils peuvent représenter selon une série d’indicateurs tels que l’âge, le nom, l’origine et le comportement face à des questions.

ICTS s’occupait de la sécurité à l’aéroport Logan à Boston en 2001 quand les notoires « 19 pirates de l’air » y auraient embarqué pour New York, en route vers le World Trade Center. Quelques mois plus tard en décembre 2001 Richard Reid, qui avait auparavant passé du temps en Israël, a pris un avion à l’aéroport parisien de Roissy à destination de Miami. Il transportait des explosifs qu’il a essayé sans succès de faire détoner dans l’avion. ICTS, qui était responsable de la sécurité à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, avait encore échoué." (...)

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La France est juive depuis 1791

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Présidentielles 2017 : l'emprise d'israël

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Les dessous de la guerre en Libye menée par Sarkozy contre Mouammar Kadhafi

& Dossier complet : Les Dessous de la guerre en Libye


Dans l'actualité début 2016 : Une nouvelle monnaie unique africaine serait la véritable cause de l’intervention française en Libye " D’après les éléments trouvés dans les lettres de Hillary Clinton déclassifiées le 31 décembre, la vraie raison de l’intervention en Libye était l’or qui aurait pu empêcher les plans de Nicolas Sarkozy de répandre son influence dans la région. "

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Cela fait trois ans que l'entité sioniste soutient ses mercenaires d’al-Qaeda

Cela fait trois ans que l'entité sioniste soutient ses mercenaires d’al-Qaeda | EXPLORATION | Scoop.it

"Al-Qaïda a attaqué un poste de l’armée arabe syrienne (AAS) à Madinat al-Baath (carte) près du plateau du Golan occupé par Israël. Al-Qaïda a demandé un soutien militaire israélien en lançant des mortiers vers des espaces vides du territoire occupé par Israël. La Force de défense israélienne a répondu à leur demande en détruisant deux tanks de l’armée arabe syrienne. Deux soldats syriens ont été tués. L’armée syrienne a résisté et l’attaque d’Al-Qaeda sur sa position a échoué.

C’était très facile à prévoir. Israël soutient Al-Qaïda dans la région depuis au moins 2014. La combine de demande de soutien militaire par mortier d’al-Qaïda interposé est en place depuis au moins trois ans. En octobre 2014, la Force des Nations Unies pour l’observation du dégagement (FNUOD), qui couvrait encore la zone, a écrit ceci au Conseil de sécurité de l’ONU:

Le 23 juin [2014], Israël a ciblé neuf postes de l’armée syrienne avec des tanks et des avions après qu’un tir de mortier provenant du côté syrien a tué un civil israélien, la veille. Selon Israël, la plupart de ces incidents sont dus à des tirs égarés résultant des combats en Syrie. Israël a déclaré que les groupes d’opposition armés en étaient probablement les auteurs, mais que ses forces avaient tiré sur les positions militaires syriennes pour souligner que la Syrie était responsable de la sécurité de son côté de la ligne de cessez-le-feu.

Les observateurs de l’ONU ont mentionné les « drapeaux noirs » que les « rebelles » utilisaient. Les « rebelles » dans cette région sont les forces d’al-Qaïda. Ce stratagème de « demande de soutien militaire par mortier interposé » s’est répété encore et encore. L’argument israélien est une insulte à la logique: « Il revient à l’armée syrienne de maintenir al-Qaïda hors de la région par conséquent nous répondons aux tirs « égarés » d’al-Qaeda en détruisant l’armée syrienne ».

Mais les médias « occidentaux » et israéliens n’ont jamais mentionné ni analysé ce schéma pourtant évident. Et cela, alors même que cette performance théâtrale se répète encore et encore. Ils mentent et se contentent de colporter l’histoire fallacieuse du « tir égaré » alors même qu’il est clair qu’il s’agit d’un soutien militaire coordonné avec et pour Al-Qaïda. Depuis des années, ils cachent au public le soutien israélien à Al-Qaïda et sa participation active à la guerre syrienne. La preuve, Haaretz pour la première fois aujourd’hui (!) titre : Analyse – La lente et sinueuse ingérence d’Israël dans la guerre civile en Syrie. Cette « lente ingérence », que Haaretz décrit et analyse comme un phénomène nouveau, a commencé il y a au moins trois ans et elle a été tout sauf lente et sinueuse. Il s’agit d’un soutien total des terroristes et cela depuis le début.

Le Wall Street Journal, avec lui aussi trois ans de retard, a rapporté la semaine dernière qu’Israël avait mis en place une unité spéciale de l’armée pour conseiller, former, soutenir et contrôler Al-Qaïda dans la région du Golan: Israël apporte une aide secrète aux rebelles syriens

Israël paie même les salaires d’al-Qaïda:

La personne qui est au courant de l’aide d’Israël a confirmé que de l’argent passait à travers la frontière, mais elle a dit qu’il était versé dans un but humanitaire. Cependant, les rebelles interrogés ont déclaré qu’ils utilisaient l’argent pour payer les salaires des combattants et pour acheter des armes et des munitions – l’armée israélienne a refusé de commenter leurs assertions." (...)

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Asselineau: On peut faire élire une brêle complète si on arrive à le propulser dans les médias constamment

(2013) "Il existe une corrélation parfaite, entre le temps de parole accordé par les médias aux candidats hommes et femmes politiques, et le résultat produit dans les urnes. François Asselineau explique qu'il n'y a pas deux tours aux présidentielles, mais au moins quatre tours si l'on y inclus la présélection médiatique des candidats."

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Enquête sur Georges Soros et son néocolonialisme en Afrique, par Kemi Seba

"Qui est Georges Soros, un des principaux acteurs dans la géopolitique mondiale actuelle? Kemi Seba nous en fait un portrait et met en garde contre son action déstabilisatrice en Afrique."

 

  • Aller encore plus loin sur #soros
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Voici comment la CIA a planifié le chaos syrien dès 1983

Voici comment la CIA a planifié le chaos syrien dès 1983 | EXPLORATION | Scoop.it

"Les think tanks américains prennent très au sérieux l’idée de faire tomber Bachar Al-assad par tous les moyens possibles. Rappelons que beaucoup d’entre eux s’inspirent désormais d’une stratégie mise en place par la CIA en 1983, en pleine guerre entre l’Iran et l’Irak, pour faire tomber Hafez al-Assad, le père de Bachar Al-assad

Si vous pensez que la guerre en Syrie date d’il y a seulement six ans, alors vous vous trompez certainement. La révolution a en effet commencé en 2011, mais le plan de guerre avait été élaboré il y a plus de deux décennies par la CIA, service de renseignement américain. Et un document de la CIA rédigé en 1983 le confirme.

Dans un document rédigé le 14 septembre 1983, l’ex agent de la CIA, Graham Fuller, avait insisté sur l’importance de la Syrie pour les intérêts américains au Proche et au Moyen-Orient. Dans ce document, l’agent de la CIA avait déjà élaboré un plan bien déterminé pour abattre le régime syrien, à l’époque dirigée par Hafez Assad, père de Bachar al-Assad.

Graham Fuller écrivait : « les Etats-Unis devraient sérieusement faire monter la pression sur Assad en menant secrètement des attaques militaires simultanées contre la Syrie à partir de trois pays hostiles à la Syrie : l’Irak, Israël et la Turquie ». Dans son plan, l’ex agent de la CIA avait justifié le choix de chacun des trois pays cités.

Graham Fuller estimait en effet que l’Irak pourrait mener des frappes aériennes contre la Syrie avec l’unique but d’ouvrir le gazoduc. Israël pourrait, pendant ce temps, faire monter la pression au niveau de la frontière avec le Liban sans pour autant chercher à déclencher une guerre. La Turquie, quant à elle, pourrait mener des frappes aériennes contre des camps terroristes dans le nord de la Syrie.

Dans le document, l’ex agent de la CIA ajoute : « face à trois fronts agressifs, Assad pourrait probablement être obligé d’abandonner sa politique qui consiste à fermer le gazoduc. Une telle concession pourrait soulager la pression économique qui pèse sur l’Irak et ainsi pousser l’Iran à mettre fin à la guerre »." (...)

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Coup de théâtre à la CPI - Fatou Bensouda avoue le complot contre Gbagbo

Coup de théâtre à la CPI - Fatou Bensouda avoue le complot contre Gbagbo | EXPLORATION | Scoop.it

"Coup de théatre CPI – Fatou Bensouda avoue le complot contre Gbagbo et accuse la France: »Il n’y a rien de sérieux contre Gbagbo ». »Je subis les pressions de la France ». »Je ne peux rien y faire ». Révélations d’un journal sud-africain et de la journaliste Shannon Ebrahim.
http://www.iol.co.za/capetimes/gbagbo-why-iccs-impartiality-is-questione

‪Les Confidences de Bensouda: « IL N’Y A RIEN DE SÉRIEUX CONTRE GBAGBO, C’EST JUSTE UNE PRESSION POLITIQUE VENANT DE LA FRANCE ET JE NE PEUX RIEN FAIRE »

La CPI s’est discréditée lorsque les pays comme la France, craignant la perte de leur emprise sur les économies de l’Afrique de l’Ouest, la manipulent.
Je me suis récemment retrouvée assise dans un café en plein air à Kigali, dans la capitale du Rwanda, sirotant du vin sud-africain en ressassant les problèmes du continent. Mon compagnon de déjeuner est un haut fonctionnaire de la MONUSCO, la force de l’ONU pour le maintien de la paix dans l’Est de la RDC. Il a passé la plus grande partie de sa carrière en mission de maintien de la paix en Afrique centrale. Après avoir combattu le viol quotidien des femmes dans le Kivu pendant des années et ayant réalisé l’incapacité de l’ONU à mettre fin à ce fléau, mon collègue de l’ONU s’est donné la mission de faire en sorte que les auteurs de violations des droits de l’Homme sur le continent répondent de leurs crimes.
Mais nous savions tous les deux que dans quelques jours le Sommet de l’UA rallierait ses États membres à prendre des mesures concrètes pour se retirer de la Cour Pénale Internationale (CPI). C’est ce qui s’est exactement passé le 30 Janvier par la voix du président kényan Uhuru Kenyatta, lui-même visé par la CPI, qui engagea la bataille. Bien que mon collègue de l’ONU et moi déplorons le contournement de la justice par la CPI, nous restons convaincus du fait que cette institution ayant ainsi perdu sa crédibilité, les Africains n’ont plus foi en sa capacité de rendre justice de façon impartiale.

Il ne s’agit pas seulement de ce que seuls les Africains sont ciblés par cette institution, mais aussi du fait que les grandes puissances, la France en particulier, ont sérieusement réussi à manipuler la CPI et à l’utiliser pour leurs propres intérêts stratégiques sur le continent.
L’ouverture à la Haye du procès de l’ancien président Ivoirien, Laurent Gbagbo, le mois dernier, après cinq ans d’incarcération, a mis à nu cette manipulation de la CPI par la France. Mon collègue de l’ONU et moi avons discuté de toute la manigance que la France avait mise en place dans le but de neutraliser Gbagbo qui est pourtant venu au pouvoir par des élections démocratiques en 2000, mais qui a cherché à réduire le contrôle de la France sur son ancienne colonie. Gbagbo est ainsi devenu la plus grande menace pour la domination de la France, non seulement sur la Côte-d’Ivoire, mais sur toute la région, étant donné que sa lutte pour le délitement de l’emprise des sociétés françaises sur l’économie de son pays pourrait faire tâche d’huile dans toute la sous région ouest africaine.

La France aurait planifié cinq coups contre Gbagbo qui ont tous échoué. Elle a finalement procédé par le bombardement de sa résidence présidentielle en utilisant les forces spéciales françaises qui ont par la suite capturé le président, sa femme et son fils pour les remettre à «leur homme», Alassane Ouattara; soutenu par les rebelles qui sont formés et armés par la France. L’ancien président français Nicolas Sarkozy aurait fait pression pour que Gbagbo soit transféré à La Haye en 2011. Pendant cinq ans, les procureurs de la CPI enquêtent sur les accusations portées contre lui. Certains éléments de preuve retenus contre lui par l’accusation dans les audiences préliminaires ont été prouvés fabriqués donc irrecevables. Une des vidéos diffusées et tenues comme preuves des massacres perpétrés par ses partisans serait en réalité une scène filmée d’un homme brulé vif au Kenya. Mon compagnon de déjeuner m’a informée qu’il n’est de secret pour personne que George Soros, un important bailleur de fonds de la CPI, est un ami proche de Ouattara et que la France a financé en grande partie les enquêtes de la CPI contre Gbagbo.

Un candidat à la présidence de la République centrafricaine, Pascal Bida Koyagbele, m’a dit qu’il avait rencontré le procureur en chef de la CPI, Fatou Bensouda en octobre de l’année dernière lors d’un dîner de remise de prix aux Pays-Bas, cérémonie au cours de laquelle Pascal Bida lui-même recevait le prix de leadership africain. A cette occasion donc, M. Koyagbele a demandé à Fatou Bensouda son avis sur le cas Gbagbo. Selon Koyagblele toujours, elle a donné la réponse suivante :
«Koyagbele soutient que Bensouda avait sollicité le soutien de la France pour sa nomination comme procureur en chef de la CPI.»

La raison de la nécessité pour la France de neutraliser la force politique qu’est Gbagbo est qu’il était déterminé à défaire l’emprise de la France sur la banque, l’assurance, le transport, le commerce de cacao et sur la politique de l’énergie en Côte-d’Ivoire. Durant le court laps de temps de son régime, il avait invité des entreprises d’autres pays à participer aux appels d’offres pour les projets du gouvernement. Gbagbo était dépassé par les coûts très élevés des projets exécutés par les entreprises françaises. Par exemple, pour la construction d’un pont, les français demandaient 200 milliards de francs Cfa. Gbagbo s’est donc détourné des Français au profit des chinois qui ne demandaient que 60 milliards de francs Cfa et ceci en 2002.

Plus important encore, jusqu’à ce jour, la France maintient son pacte colonial avec ses anciennes colonies. Selon les termes de ce pacte, le Trésor français a le contrôle de leur monnaie, des réserves de capitaux et des politiques commerciales et d’investissement. Selon l’accord entre la France et ses anciennes colonies sur la création du franc CFA, les banques centrales de ses anciennes colonies sont obligées de garder 80 pour cent de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenue au trésor français. Cela a rendu impossible pour ces pays africains la mise en place de leurs propres politiques monétaires.

Le défi que Gbagbo a opposé à cette situation d’esclavage a été en fait le plus grand défi qu’a connu la domination française dans cette région depuis la période post coloniale. Son incarcération à La Haye est donc une solution de dernier recours, quand tous les autres moyens pour le neutraliser ont échoué.

Telle est la mission assignée à la CPI dans la dispensation de la justice en ce qui concerne le cas Gbagbo."
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Connexe : Les Dessous d’une (France) Afrique toujours colonisée

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Qui est George Soros ?

"OpenSociety, Manifestations Anti-Trump, Révolutions colorées, Black Lives matter, Femen, Ingérence, Spéculation"

 

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Hervé Ryssen : Français, on se fout de votre gueule !

Prix littéraires, "meilleurs films", "personnalités préférées des Français", etc. : la petite caste intello-politico-médiatique se moque de nous. Pour info : Suite à ma drnière vidéo, "Trump et les petits Blancs", ma page facebouc est bloquée jusqu'à la mi-décembre. Tant mieux !
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L'EMPIRE SOROS - Conférence de Maurice Gendre et Thibault Philippe

"Le 19 mars 2016, l'équipe d'ER Lille accueillait Maurice Gendre et Thibault Philippe pour une conférence intitulée SOROS WARS, l'empire Soros.

Cette conférence dénonce la face cachée des ONG, les intérêts des spéculateurs à financer des actions dites "citoyennes", et comment la soit-disant "société civile" composant ces organisations est en réalité souvent très liée à des réseaux de pouvoir et d'influence. Thibault Philippe propose également, afin de se défendre contre ces manipulations de l'opinion publique, une méthodologie visant à démasquer les entreprises faussement désintéressées et spontanées."

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Udo Ulfkotte, journaliste repenti, expose la corruption médiatique occidentale généralisée

Udo Ulfkotte, journaliste repenti, expose la corruption médiatique occidentale généralisée | EXPLORATION | Scoop.it
Résumé : Udo Ulfkotte, un ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung (qui est l’un des plus grands journaux Allemand), a décidé de rendre publique sa participation dans la corruption des «nouvelles» des médias occidentaux, estimant que celles-ci entraînent l’Europe vers une guerre nucléaire contre la Russie, provoquée par l’aristocratie américaine via la CIA. (Plus d’information sous la vidéo) [durée : 13min20]
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Le terrorisme : instrument du Choc des civilisations au service du sionisme (Youssef Hindi)

Conférence donnée samedi 19 mars 2016 au colloque de CIVITAS: "Guerre, Immigration et Terrorisme en Europe", par Youssef Hindi, écrivain.
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Natacha Polony : Police de la pensée, journalistes en laisse ?

"Trahison, chien de garde, luttes des classes, cercle de pouvoir, Bilderberg, Trilatérale, Comité Orwell, mouvement violent, propagande, Etat d'urgence, Patriot act, Police de la pensée, Politique étrangère, Terrorisme, mouvements migratoires, Guerre d'Irak, Libye, éclatement des nations, radicalisation, Snowden, ACRIMED, presse écrite, préconisations."

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L'utilisation des ONGs Occidentales pour le pillage des ressources de l'Afrique - Extrait conf' TEDx

Un extrait de la présentation TEDX de Mallence Bart Williams, en 2015 à Berlin, à propos du pillage de l'Afrique par l'Occident et de l'utilisation, pour cela, des ONG.

Pour aller plus loin, un article essentiel: http://partage-le.com/2016/01/pourquo...
& https://www.youtube.com/watch?v=2N9dw...
Sonia.N's curator insight, January 29, 2016 7:15 AM

Aviez- vous regardé la dernière conférence Tedx ? Un extrait 2015 de BART Williams à Berlin .