L’extension du domaine de la recherche, c’est utiliser les réseaux sociaux pour favoriser les fertilisations croisées à l’intérieur et à l’extérieur du laboratoire.

Les réseaux sociaux de chercheurs font beaucoup parler d’eux, et à raison. Le succès remporté par l’atelier que nous avons proposé à ce sujet lors du THATCamp 2012, animé par Nicolas de Lavergne et Olivier Le Deuff[1], le prouve. Les ResearchGate, Academia.edu, Mendeley et autres MyScienceWork sont dans l’air du temps d’une science ultra-connectée, rapide, et mettant en œuvre tous les moyens à sa disposition pour améliorer sa visibilité et sa diffusion. Il faudrait également citer Facebook, dont les chercheurs font un usage professionnel et qui constitue pour certaines universités un moyen quasi-exclusif de mise en relation, à l’instar de l’université Lumière Lyon 2 (comme raconté ici).


Via Fondation MSH, oAnth - "offene Ablage: nothing to hide"