A époque différente, conception différente. C’est la position défendue par Vinci, le concessionnaire du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes, après les révélations du Canard Enchaîné mercredi. L’hebdomadaire satirique a en effet pu consulter le permis de construire de la structure. Et il apparaît que de nombreuses surfaces sont revues à la baisse : halls des départs et des arrivées, comptoirs d'enregistrement, postes de contrôle, ou encore aires de stationnement des avions.