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Aéronautique : Scalian recrute 400 personnes pour son nouveau siège à Toulouse

Aéronautique : Scalian recrute 400 personnes pour son nouveau siège à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Scalian est porté par la forte reprise de l'activité aéronautique.

 

Porté par la forte reprise du secteur aéronautique et la bonne santé du spatial, Scalian annonce 400 recrutements en 2023 à Toulouse. La société d'ingénierie, qui a réuni depuis quelques mois ses trois sites historiques dans un nouveau siège, bénéficie aussi d'une dynamique soutenue autour des enjeux environnementaux pour ses clients historiques mais également à destination de nouveaux secteurs dans le ferroviaire ou l'énergie.

 

"Le Sud-ouest avait été très touché par le Covid parce que c'était une région qui était dépendante de l'aéronautique mais l'activité est repartie très, très fort ces derniers mois pour l'ensemble des acteurs du monde aéronautique.
Nous avons doublé les effectifs en un an et demi et cela nous conduit à avoir un plan de recrutement hyper ambitieux pour 2023", lance Sylvain Bouchaud, directeur régional de la division performance des opérations de Scalian dans le Sud-Ouest.

 

Montée en cadence dans l'aéro et industrialisation du spatial

La société d'ingénierie toulousaine, qui emploie aujourd'hui 5.200 collaborateurs dans neuf pays, a vu son chiffre d'affaires quasiment doubler sur un an, passant de 260 à 500 millions d'euros entre 2021 et 2022.
Scalian emploie dans la Ville rose aujourd'hui près de 900 salariés entre le siège social et les activités de ses divisions.

 

Le groupe compte recruter 300 personnes supplémentaires à Toulouse en 2023.


Avec les montées en cadences spectaculaires annoncées par Airbus, la société d'ingénierie recherche notamment des profils pour accompagner la chaîne des fournisseurs à passer ce cap.

 

"Cela va être des postes autour de la qualité et du pilotage de la supply chain, des domaines où Scalian est très présent à Toulouse chez ses clients historiques", précise Sylvain Bouchaud.

 

Même si l'aéronautique représente encore près de 70% de l'activité de Scalian à Toulouse, la société décline depuis plusieurs années ses compétences historiques vers d'autres secteurs.

 

"Nous essayons d'appliquer intelligemment les méthodes de l'aéronautique dans d'autres domaines.
Dans le spatial par exemple, l'arrivée des constellations de satellites amène le secteur à produire en quantité avec une notion de répétitivité, de reproductibilité ou encore de maîtrise des délais de livraison qui n'étaient pas aussi prégnants auparavant où l'on était presque sur de l'artisanat", ajoute-t-il.

 

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De forts besoins d'ingénieurs en développement durable

 

Scalian s'est aussi développé vers le domaine de l'énergie avec du contrôle de gestion pour Total et du management de projet pour EDF.
Les chefs de projet représentent d'ailleurs une part importante du contingent des postes ouverts cette année.
"C'est très vaste puisque nous avons des projets très industriels et au contraire des sujets liés au service client d'Airbus ou qui consistent à imaginer l'expérience client d'un avion dans les 20 ans à venir", développe le responsable.

 

Un autre axe important de recrutement de l'entreprise est lié au développement durable avec beaucoup de postes d'ingénieurs HSE (hygiène sécurité environnement), développement durable et RSE.


"Nous accompagnons par exemple Airbus Commercial dans la déclinaison de ses objectifs environnementaux vers ses fournisseurs.
Nous sommes aussi très présents sur les lignes d'assemblage d'Airbus pour faire respecter la sécurité auprès des équipes de production.
Nous essayons de plus en plus aussi de proposer des solutions dans le domaine des achats responsables, nous avons aussi des prestations ponctuelles sur de l'analyse de cycle de vie, des bilans carbone...", détaille Sylvain Bouchaud.

 

Depuis le mois de septembre, Scalian a réuni ses trois sites toulousains historiques (Labège, Colomiers et Francazal) dans un nouveau siège social de 4.000 m2 dans la zone d'activité de Basso Cambo à Toulouse.

 

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10 Févr 2023

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La Haute-Garonne veut développer les zones d'activités à la campagne

La Haute-Garonne veut développer les zones d'activités à la campagne | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Le volume d'emplois chute dans le sud du département (Source : Insee).

 

Georges Méric veut éviter un département coupé en deux en termes d'emplois.

 

Le Conseil départemental de Haute-Garonne va créer une société publique locale pour aider les 13 communautés de communes du département à dynamiser les zones d'activités dans les territoires ruraux. Objectif : enrayer les pertes d'emplois dans le Sud du département.

D'ici trois semaines, la société publique locale (SPL) Haute-Garonne Développement verra officiellement le jour. Via cette structure, le Conseil départemental veut soutenir les bassins de vie périurbains, ruraux et de montagne dans leur accès au foncier économique et assurer pour leur compte la création et la commercialisation de zones d'activités. En effet, si le Département n'a pas le droit de subventionner directement les entreprises, il peut participer à leur développement économique grâce à sa compétence d'aménagement du territoire.

La première mission de la société sera justement de sonder les chefs d'entreprise.

"Dans les trois prochains mois, nous allons interroger un échantillon d'entreprises pour connaître ce dont elles ont besoin pour s'installer dans une zone d'activités. Par exemple, toutes les sociétés n'ont pas besoin du haut débit", explique Georges Méric, le président du Conseil départemental de Haute-Garonne.

Créer "cinq à sept zones d'activités par an"

Les résultats de cette enquête seront dévoilés en janvier prochain et permettront d'affiner la stratégie des élus. Les communautés de communes pourront ensuite engager la phase opérationnelle pour développer les zones d'activités au sein de leur syndicat mixte.

"L'objectif serait de créer cinq à sept zones d'activités par an. En deux ans, les 13 communautés de communes pourraient réussir à développer une zone d'activités sur leur territoire", poursuit Georges Méric.

On recense déjà 250 zones d'activités en Haute-Garonne mais le président du Conseil départemental relève qu'un grand nombre d'entre elles sont vieillissantes ou mal adaptées aux besoins économiques. "Il ne suffit pas de créer un bâtiment pour attirer des entrepreneurs. Il faut pouvoir leur fournir un ensemble de services de proximité", note-t-il.

La SPL sera détenue à hauteur de 83,7 % par le CD 31, qui va investir 200 000 euros dans l'opération. Le reste du capital sera réparti entre les 13 EPCI (communautés de communes) actionnaires, qui devront y investir 3 000 euros chacune. Haute-Garonne Développement disposera donc d'un capital de 239 000 euros, entièrement public.

 

Éviter un département "coupé en deux"

Alors que la Métropole capte l'essentiel du dynamisme économique, pour Georges Méric, cette structure doit permettre d' "assurer un équilibre entre les territoires" et de "favoriser la création d'emplois in situ, là où sont les bassins de vie". Selon l'Insee, le volume d'emplois va connaître une stagnation voire une chute dans le Sud du département. C'est le cas par exemple en zone de montagne dans le Comminges ou les Pyrénées Haute-Garonnaises. A contrario, la communauté de communes du Lauragais (au sud-est de l'agglomération toulousaine) a connu plus de 13% de hausse de son volume d'emplois entre 2008 et 2013.

 

 

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Occitanie : Arterris recrute et entend bien le faire savoir !

Occitanie : Arterris recrute et entend bien le faire savoir ! | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Yasmina Bousraou, la directrice des ressources humaines du groupe Arterris.

 

La coopérative Arterris recrutera de nouveau massivement en Occitanie en 2017. Pourtant, par manque de visibilité, elle peine à trouver des profils appropriés.

 

Arterris, le poids lourd du monde agricole dans le grand sud-ouest, poursuit ses recrutements dans la région Occitanie, sur un rythme semblable à celui de 2016. Soit un millier de contrats programmé cette année. Malgré ce volume très important, le groupe souffre encore d’un déficit d’image et peine à trouver des talents. « Nous manquons encore de visibilité. Nous avons donc lancé une campagne de communication pour nous faire connaître, « La grande aventure », et nous travaillons en interne comme en externe sur notre marque employeur », indique Yasmina Bousraou, la directrice des ressources humaines.

Ce sont ainsi une centaine de recrutements en CDI, une centaine de postes en CDD et une dizaine de contrats en alternance qui seront réalisés au cours de l’année par la coopérative. Laquelle recherche prioritairement des technico-commerciaux en grande culture et en vignes, dans l’ex-région Midi-Pyrénées, l’Aude, l’Hérault et le secteur de Perpignan. « Il peut s’agir aussi bien de profils expérimentés que d’alternants, puisque nous mettons l’accent depuis quelques années sur la formation », poursuit Yasmina Bousraou. Afin d’exercer ces fonctions, il faut avant tout avoir des connaissances dans les domaines de l’agriculture, afin d’apporter des conseils. Un BTS Agricole ou Viticulture-oenologie est ainsi indispensable. « Nous nous chargerons ensuite de les former sur l’aspect plus commercial. »

 

800 saisonniers pour l’été et l’automne

La coopérative recherche également des vendeurs conseils en jardinerie pour le réseau Gamm Vert. « Nous allons embaucher des vendeurs formés sur le végétal avec des BTS ou des Bacs pro liés à l’aménagement paysager par exemple, que nous formerons par la suite pour développer leurs compétences en vente. L’offre de nos magasin va s’étoffer avec des produits alimentaires, ce qui va nous amener à nous intéresser aussi aux personnes disposant d’une expérience de responsables produits frais, dans la grande distribution par exemple », indique Yasmina Bousraou. En plus de ces postes, Arterris recherche 800 saisonniers, 400 pour l’été et autant pour l’automne. Ils exerceront des fonctions de manutentionnaire, chauffeur, cariste ou d’ouvrier agricole. Pour ceux qui peuvent assurer durant les deux périodes, ce sont quatre ou cinq mois d’emploi garantis.
Pour mener à bien ces recrutements, Arterris vient de se doter d’une plateforme dédiée, et a mis en place un système de tutorat pour favoriser la bonne intégration des nouveaux venus.


Agnès Frémiot

 

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« A travers la bataille pour l'emploi, c'est l'avenir de tous nos territoires qui est en jeu »

« A travers la bataille pour l'emploi, c'est l'avenir de tous nos territoires qui est en jeu » | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Carole Delga, présidente du Conseil Régional Occitanie.
 
La nouvelle présidente du Conseil régional en a fait sa « première priorité ». Carole Delga nous explique de quelles façons elle compte mener « la bataille de l’emploi ». Rencontre lors de la sortie de notre dernier hors-série "Qui recrute dans votre région ?", en avril dernier.
 
 

Vous avez annoncé, dès le lendemain de votre élection, que l’emploi serait votre « première priorité ». Pour quelle raison ?
Parce qu’à travers la bataille pour l’emploi, c’est le développement et l’avenir de tous nos territoires qui est en jeu. Je l’ai dit pendant ma campagne, et je le réaffirme aujourd’hui en tant que présidente de Région : il ne peut y avoir de citoyens et de territoires de second rang.
Cette priorité, c’est aussi un message pour la jeunesse. C’est notre rôle de responsables politiques, de tout mettre en œuvre pour que nos jeunes s’engagent avec confiance dans la préparation d’un diplôme et le choix d’un métier. Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées est riche de potentiels d’emplois de proximité, avec ses artisans, ses TPE et PME, et ses filières d’excellence. A nous de faire émerger, soutenir et mobiliser les politiques publiques pour transformer ces potentiels en réussites.

 

Vous souhaitez que les Régions, qui pilotent déjà les politiques de formation et d’orientation professionnelles, deviennent aussi coordinatrices du service public de l’emploi. Pourquoi ?
C’est en effet ce que j’ai proposé au Premier ministre en janvier dernier, dans un souci de cohérence avec les compétences dont disposent déjà les Régions, mais aussi dans une logique de simplification pour nos concitoyens.
Nous avons une forte présence sur les territoires, avec les Maisons de la Région que je souhaite développer, les Maisons Communes Emploi Formation (MCEF), ou encore les bureaux territoriaux. La Région est donc en capacité de relayer la politique de l’emploi, d’en évaluer les effets et de produire les adaptations nécessaires, en fonction des besoins des demandeurs d’emploi et des entreprises dans les différents bassins de vie.
Bien sûr, la Région n’agira pas seule : animer le Service public de l’emploi c’est d’abord et surtout organiser la mise en œuvre des dispositifs, en assurant la complémentarité et la coordination des différents acteurs que sont l’État, Pôle emploi, les Missions locales, mais aussi l’Éducation nationale.

 

Vous avez plaidé auprès de Manuel Valls pour la mise en place de politiques expérimentales, afin d’être justement au plus près des besoins, et de contribuer au développement de l’apprentissage. A quels types d’expérimentations pensez-vous ?

L’apprentissage est véritablement une voie d’excellence qui permet d’obtenir un emploi rapidement. On ne le sait pas encore assez, mais le taux d’insertion des apprenti(e)s sur le marché du travail est très bon, de l’ordre de 70 à 80% en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. La Région soutient l’apprentissage depuis de nombreuses années déjà, mais je souhaite en effet que nous allions plus loin. Je suis par exemple favorable à l’augmentation de l’âge maximal pour intégrer une formation par apprentissage, qui pourrait passer de 25 à 28 ans. Il me semble également intéressant d’expérimenter l’apprentissage sur d’autres types de diplômes, et de l’ouvrir notamment aux titres du ministère de l’Emploi, qui me paraissent particulièrement adaptés. Cela permettrait aux entreprises de signer des contrats d’apprentissage tout au long de l’année, et de sortir du cycle « septembre à juin » qui correspond plus au cycle de l’Éducation nationale.
Je souhaite également une mobilisation particulière sur la création de parcours d’excellence dans les lycées professionnels. Je compte aussi développer l’apprentissage avec les lycées labellisés « campus des métiers » car, par nature, les campus associent les acteurs économiques, et c’est donc un moyen intéressant de développer des filières de formations innovantes. Je suis en outre tout à fait ouverte à la discussion avec les branches professionnelles, pour les impliquer dans le développement de l’apprentissage et la gestion des CFA.
Toutes les pistes sont à explorer pour développement cette voie de formation.

 

Quelles seront les actions que la Région va engager dès cette année en faveur de l’emploi ?
Comme je m’y étais engagée, j’ai lancé en mars dernier un Plan Marshall pour l’emploi à destination des entreprises du BTP. Ce plan comprend deux volets : dès 2016, plus de 800 millions d’euros d’investissement seront inscrits au budget, pour financer de nouveaux projets de travaux dans tous les secteurs, éducation, transports, culture, logement… J’ai également décidé d’accélérer la passation de marchés publics, à hauteur de 550 millions d’euros. Cette enveloppe sera mobilisée immédiatement et bénéficiera directement aux entreprises du secteur. Cela permettra ainsi de sécuriser et booster l’emploi local. Toujours dans le cadre du Plan Marshall, nous sommes également en train de mettre en place des dispositifs adaptés pour que les TPE et PME puissent accéder plus facilement à la commande publique régionale.

 

Le plan 500.000 formations pour les demandeurs d’emploi est également un levier, où en êtes-vous de sa mise en œuvre ?
Nous nous sommes mobilisés dès l’annonce faite par le président de la République en janvier dernier, en travaillant aux côtés de l’État, de Pôle emploi et des partenaires sociaux. Il s’agira dans un premier temps de remplir les formations existantes puis, très rapidement, de lancer de nouveaux bons de commande pour des formations supplémentaires sur lesquelles il faut être réactif.
Je me félicite de l’engagement pris par François Hollande de soutenir financièrement les efforts supplémentaires que devra faire la Région.
En Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, il s’agira de plus de 30.000 formations à destination des demandeurs d’emploi, qui s’ajouteront aux 60.000 déjà prévues pour l’année 2016, soit une augmentation de 50%. Mais je souhaite insister sur un point : ces formations seront en grande partie qualifiantes ou très qualifiantes, comprises entre 7 et 9 mois, pour permettre un retour durable dans l’emploi. Grâce à nos relais, nous avons la possibilité de définir très finement les besoins de chaque bassin d’emploi.

 

Quels sont les atouts économiques, et par là même, générateurs d’emplois, sur lesquels LRMP doit capitaliser ?
L’économie régionale repose sur trois piliers, en termes d’emplois et de chiffres d’affaires : l’agriculture et l’agroalimentaire, le tourisme, et l’aéronautique et le spatial.
Dans ces trois secteurs nous avons des atouts considérables à valoriser, notamment à l’international. La Région continuera bien sûr d’apporter son soutien aux acteurs de ces filières, qui sont des moteurs essentiels de notre économie. Mais nous ne devons pas nous reposer sur ces acquis. Nous ne pouvons pas nous le permettre, tant la révolution numérique a bouleversé les modes de production et de consommation, qui ont un impact direct sur l’emploi. L’exigence aujourd’hui est, plus que jamais, celle de l’innovation. Or notre région compte 15 pôles de compétitivité, près de 30.000 chercheurs, 230.000 étudiants et 35 grandes écoles.
Pour aller plus loin encore, je souhaite créer une cité des start-up à Montpellier, et une autre à Toulouse, en m’appuyant sur le label existant « French Tech ». Je compte également m’appuyer sur l’appel à projets « Fab Région », qui a pour objectif de soutenir la création ou l’extension de FabLabs - laboratoires de fabrication - sur le territoire, pour renforcer la diffusion de la culture numérique et industrielle.

 

Notre édition 2016 du "Qui recrute dans votre région ?" propose un focus sur la filière viticole. « Le 1er vignoble du monde » a-t-il un potentiel de croissance ?
Notre nouvelle région dispose en effet du plus grand vignoble au monde en vin d’appellation, avec 236.500 ha, soit 30% du vignoble français. C’est un atout extraordinaire dans l’économie désormais mondialisée du vin.
L’ouverture de nouvelles formations montre bien la vitalité du secteur. Je pense notamment à la création, en janvier dernier, d’un Master spécialisé à la Maison des Vins de Lattes, ou encore au nouveau Master Management et commercialisation du vin, proposé par la Toulouse Business School.
Les possibilités de développement sont donc bien sûr importantes, avec notamment la montée en puissance du marché de l’œnotourisme, qui est certes de plus en plus concurrentiel, mais offre de belles perspectives. Les professionnels doivent profiter de la période de stabilité que connaît actuellement le secteur pour conforter les acquis des dernières années, et effectuer les évolutions nécessaires pour poursuivre leur développement. La nouvelle Région sera à leurs côtés pour les accompagner dans ces mutations importantes.

 

Vous avez émis le souhait d’organiser une conférence pour l’emploi à la rentrée 2016, quelle forme prendra-t-elle et quelle en sera l’ambition ?
Sur la forme, nous sommes encore en train d’en définir les contours. En revanche, l’ambition est claire : il s’agira de présenter notre stratégie régionale pour l’emploi et la croissance, qui découlera d’une large concertation au plus près des territoires, avec l’ensemble des acteurs économiques et plus largement l’État, les partenaires sociaux, les consulaires…
Vous le savez, j’ai également souhaité positionner la Région pour animer le Service public de l’emploi. Je l’ai abordé avec le Premier ministre, et nous en définirons les modalités dans le cadre de la concertation autour de la stratégie régionale de l’emploi et de la croissance. Cela ne consiste pas à tout faire et à tout décider seuls. Nous allons travailler avec tous nos partenaires pour définir des axes prioritaires en matière d’emploi, de formation et d’orientation, qui pourront être validés dans le cadre de cette conférence, que je souhaiterais tenir à l’automne. Cette réflexion sera bien sûr menée en cohérence avec les schémas régionaux de développement économique de la formation professionnelle et de l’enseignement supérieur, que nous sommes en train d’élaborer.

 

Propos recueillis par Ingrid Lemelle

 

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Inside Group recrute 50 personnes en 2015

Inside Group recrute  50 personnes en 2015 | La lettre de Toulouse | Scoop.it


Denis Lavelle et Jérôme Falgayrat, les deux cofondateurs d'Inside Group./photo DDM David Bécus


Pour faire face à la croissance, la PME toulousaine de services informatiques lance le recrutement de 50 personnes. De nouvelles implantations à Lyon et sur la côte azuréenne sont à l'étude.

L'aventure des deux associés d'Inside Group prend une nouvelle dimension. Denis Lavelle et Jérôme Falgayrat qui ont fondé leur propre société de services informatiques voilà tout juste deux ans et demi lancent un vaste plan de recrutements de cinquante postes pour l'année 2015. «Nous devons faire face à une croissance de 40 % attendue cette année» anticipent les deux entrepreneurs. Créée en novembre 2012, Inside Group a affiché trois ans de croissance ininterrompue pour atteindre 6 M€ de chiffre d'affaires l'an dernier pour un résultat de 260 000 € et anticipe 8,50 M€ en 2015 puis 10 M€ l'an prochain et 12 M€ en 2017. Le tout «dans un esprit start-up» lance fièrement Denis Lavelle. Baby foot à l'entrée de l'entreprise, responsabilisation des collaborateurs, place à l'initiative… le credo est loin des grands du secteur de l'informatique qu'ont justement quitté les deux entrepreneurs. «Nous ne nous retrouvions plus dans ces très grandes entreprises dans lesquelles on finit par plus savoir qui est son chef !» raconte Jérôme Falgayrat. D'où l'idée de créer leur structure sans chercher la croissance à tout prix même s'il faut «grandir pour assurer la pérennité» glisse Denis Lavelle. D'ici cinq ans, les effectifs devraient atteindre 500 personnes contre 120 aujourd'hui.

Avec vingt ans d'expérience dans le secteur à eux deux, Inside Group multiplie rapidement les références clients. Airbus, Orange, Norbert Dentressangle, Météo France, Caisse d'épargne Midi-Pyrénées… dans des domaines comme les infrastructures informatiques ou les applications collaboratives (portail, gestion de documents, internet…).

 

Ouverture d'une agence à Lyon cette année

Avec un portefeuille aussi diversifié (30 % dans le spatial, 20 % dans l'aéronautique, 20 % dans la banque…), la PME ne traverse pas la crise que connaissent certains de ses concurrents, très engagés dans l'aéronautique qui voit la fin du développement des grands programmes avions chez Airbus. L'objectif est de devenir une société «de référence dans les cinq ans». Déjà présent à Paris et Bordeaux, la PME toulousaine prépare une implantation à Lyon cette année pour pouvoir couvrir la région Rhône Alpes. Devrait suivre la région Paca avec des réflexions à Aix, Nice ou Marseille.

Afin d'intégrer au mieux les nouveaux arrivants dans l'entreprise un événement est organisé tous les trimestres avec en septembre prochain un voyage pour tous les salariés pour fêter le cap du centième embauché. Un jeu de piste sur internet afin de découvrir la destination est en cours, toujours dans l'esprit start-up !

 

Gil Bousquet

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A Toulouse une association pour avoir un parrain et trouver un emploi

A Toulouse une association pour avoir un parrain et trouver un emploi | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Claude Alain président de Trajectoire pour l'emploi à Toulouse invité de France Bleu Toulouse matin

 

Pour la première fois depuis le mois d'août, le chômage a baissé en janvier : un peu plus de 19 000 demandeurs d'emploi en moins en France, en Haute-Garonne sur un quasi sur-place avec une baisse de 0,1%.

A Toulouse une association aide de manière personnalisée les chômeurs : Claude Alain le président de Trajectoire vers l'emploi invité en direct de France Bleu Toulouse matin

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Pourquoi participer au forum Jobs'TIC le 6 novembre ?

Pourquoi participer au forum Jobs'TIC le 6 novembre ? | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Pierre Scampini, co-animateur de la commission emploi formation éducation de la Mélée, organisateur de Jobs’TIC, à la Cantine Toulouse.

 


Janick Deny et Pierre Scampini, co-animateurs de la commission emploi formation éducation de la Mélée, nous présente le programme du forum Jobs'TIC organisé le 6 novembre prochain à la Cantine. 

Pourriez-vous nous présenter le forum Jobs’TIC ?
Janick Deny  : Jobs’TIC se dédie traditionnellement à la présentation des métiers et de l’emploi dans les TIC, et à leur évolution. La cible ce sont les entreprises qui souhaitent se mettre à jour, les chercheurs d’emploi, les personnes en reconversion professionnelle et les étudiants. Globalement, tous les gens qui s’intéressent aux métiers du numérique. Il est organisé en partenariat avec l’ENSEEIHT, qui en accueille une partie dans ses locaux.
Pierre Scampini  : Cette année, l’événement se déroulera sur une journée. Nous avons fait évoluer la formule, comme nous proposons désormais des rendez-vous réguliers sur l’emploi et la formation, les « Jobsfair » .

Quels seront les temps forts de cette édition de Jobs’TIC ?
Janick Deny : Nous organisons trois tables rondes. La première, « Le numérique pour tous, tous pour le numérique », a pour objectif de démontrer que ces métiers ne sont pas réservés aux ingénieurs, mais sont ouverts à tous les âges, toutes les fonctions, et tous les sexes. Guy Mamou-Mani, le président du Syntec numérique, y interviendra, tout comme une jeune chef d’entreprise, actuellement accompagnée dans son développement par l’incubateur de TBS, TBSeeds. La deuxième amènera une réflexion sur les métiers du numérique en se demandant s’ils créent de nouvelles compétences ou de nouveaux métiers dans l’entreprise.
Pierre Scampini  : Enfin, la dernière table ronde s’interrogera sur la façon dont le numérique révolutionne le recrutement. Nous reviendrons sur les nouveaux outils pour détecter les talents, la disparition potentielle du CV, les candidats qui cherchent des bons projets plutôt que les bonnes entreprises, et puis sur l’apparition d’agents qui pourraient à l’avenir coacher la carrière des meilleurs éléments.

Outre ces tables rondes, quels seront les autres rendez-vous de Jobs’TIC ?
Pierre Scampini  : Nous allons organiser des « Quick learning », rendez-vous d’une heure tout compris qui offrent un concentré d’informations sur des sujets plus grand public. Il y aura quatre rendez-vous de ce type, dont un sur la e-réputation par exemple. Nous proposerons également des « Jobview », des focus sur des nouveaux métiers, comme ceux du Big Data, sur la VAE, ou la réforme de la formation professionnelle. Quelques pitchs de startupeurs viendront émailler la journée.
Janick Deny : Nous proposerons également des offres d’emploi et des rencontres avec les entreprises présentes sur les tables rondes pour les demandeurs d’emploi.

 
Propos recueillis par Agnès Frémiot

 

Pour plus de renseignements : www.jobstic.com

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CCI de Toulouse : Alain Di Crescenzo fait confiance à "la génération E" pour 2013

CCI de Toulouse : Alain Di Crescenzo fait confiance à "la génération E" pour 2013 | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Alain Di Crescenzo, président de la Chambre de commerce et d'industrie de Toulouse (CCI)

"E comme Entreprendre". Après l’ "économie positive" en 2012, Alain Di Crescenzo lance 2013 avec une nouvelle expression de son cru : "la génération E". Malgré des perspectives économiques moroses, le président de la CCI de Toulouse se veut confiant pour l’année à venir, et mise sur les jeunes entrepreneurs.

En introduction de sa cérémonie des vœux ce jeudi 17 janvier, Alain Di Crescenzo a rappelé l’engagement de la CCI de Toulouse auprès des entreprises "alors que 2012 a été la 5e année consécutive de crise".  2013 sera "à peine meilleure" selon lui. Pourtant, le président de la CCI se veut optimiste. "Au niveau européen, la décroissance va se changer en croissance au premier semestre 2013", promet-il, exprimant cependant deux conditions : que les États-Unis parviennent à un accord permettant d’éviter le gel automatique des crédits, et que les pays émergents importent des produits européens. Au niveau national, Alain Di Crescenzo évoque une enquête ViaVoice selon laquelle 68 % des dirigeants sont confiants dans le devenir de leur entreprise.

"Chez nous, l’industrie embauche"


Malgré une situation "alarmante" dans les travaux publics, Alain Di Crescenzo tient à souligner en ce début d’année la relative bonne santé économique de Midi-Pyrénées, largement portée par la Haute-Garonne et la grande couronne toulousaine. "Grâce à un secteur d’excellence, l’aéronautique, qui draine tout le secteur du service aux entreprises, chez nous, l’industrie embauche." L’emploi salarié dans l’industrie a augmenté de 4 % en 2012. Point de vigilance particulier selon lui, "les PME / PMI qui sont les moins agiles et donc les plus fragiles".

 

Génération E


"2013, comme 2012, sera une année consacrée aux actions de terrain", annonce Alain Di Crescenzo qui prédit une année délicate, "mais en croissance". Après avoir accompagné 4 000 porteurs de projets en 2012, la CCI se donne deux objectifs : lutter contre le chômage des jeunes, "qui les éloigne de l’emploi et prive les entreprises de leur créativité et de leur modernité", et combler un manque "d’esprit d’entreprendre".

Le président de la CCI affirme miser sur la "génération E", celle des jeunes qui ont envie d'Étudier et d’Entreprendre, mais aussi E comme "Économie, Emploi, Envie et Export". "Selon l’Insee en 2009, 26 % des 95 000 entreprises de Midi-Pyrénées sont dirigées par des plus de 55 ans. Il va nous falloir des jeunes pour reprendre ces sociétés", affirme Alain Di Crescenzo, qui souhaite être un acteur de la formation des jeunes et des liens entre entreprises et éducation.

"Notre territoire est fort en ce qui concerne la compétitivité hors prix, l’innovation, affirme-t-il, mais la R&D doit servir à mettre sur le marché des produits et services commercialisables." Alain Di Cresenzo a conclu son discours de vœux en évoquant un nouveau concept qui lui est cher, la compétitivité par l’envie : "l’ambition", explique-t-il.

Avant cette cérémonie des vœux à la presse, Alain Di Crescenzo avait visité trois entreprises dirigées par de jeunes toulousains : Delair-Tech, W2P et Cocagne&Compagnie. Le président de la CCIT leur a confié : "Nous sommes très fiers de nos success stories."


Sophie Arutunian

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Toulouse. Scopelec construit un nouveau site et lève 25 millions d’euros

Toulouse. Scopelec construit un nouveau site et lève 25 millions d’euros | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Pose de la première pierre avec Dominique Faure, maire de Saint-Orens de Gameville et Pierre-Yves Fargeas, membre du directoire.de Scopelec et Jean-Louis Chauzy, président du Ceser.
 
>  Le spécialiste des réseaux télécom se dote d’un nouveau site en région toulousaine, embauche et vient de réaliser une importante levée de fonds pour accompagner une croissance record.
 

En forte progression, notamment grâce au déploiement de la fibre optique, le groupe Scopelec vient de poser il y a quelques semaines la première pierre de son nouveau site dont la construction a démarré à Saint-Orens dans la banlieue de Toulouse. Acteur majeur des infrastructures et services de télécommunications, l’entreprise coopérative née à Revel déploie son savoir-faire dans la France entière. Scopelec investit 6 millions d’euros dans un nouveau bâtiment de 4500 m², construit par le promoteur Pacfa, sur un terrain cédé par la municipalité.

Il abritera 200 salariés, aujourd’hui répartis sur trois sites à Ramonville et à Labège. « Au vu de notre développement, nous avons décidé de repenser notre implantation sur la région toulousaine en constituant un pôle qui regroupe nos métiers et compétences et permettra de renforcer la visibilité de l’entreprise dans la métropole », assure Pierre-Yves Fargeas, membre du directoire. « En Occitanie, région très dynamique, nous avons créé 100 emplois en 2017, ce qui porte nos effectifs à 700 personnes. »

 

Branché sur l’avenir

Lancée en 1973, la petite société coopérative, dont le siège est toujours basé à Revel, est devenue la première Scop de France en nombre de salariés, puisqu’elle emploie 3500 personnes sur quatre-vingt sites en France. Elle affiche un chiffre d’affaires de 400 millions d’euros et a créé 500 emplois en 2017. Pour accompagner sa croissance et diversifier ses activités, Scopelec vient de lever 25 millions d’euros auprès des fonds d’investissement Zencap AM et Schelcher Prince.

« Le groupe a pris une nouvelle dimension en 2017 et a connu une forte évolution liée à l’aménagement numérique du territoire », explique Pierre-Yves Fargeas. « Pour préparer l’avenir, nous misons sur les services à forte valeur ajoutée associés à cette transition technologique, avec des solutions globales et sur-mesure pour tous types de PME. Nous devons donc élargir nos compétences en interne et développer de nouveaux partenariats en externe avec d’autres entreprises complémentaires. »

Aux côtés des jeunes pousses

 

Acteur clé de l’économie sociale et solidaire, Scopelec s’appuie sur les valeurs coopératives, en plaçant l’homme au centre de sa stratégie : 68% des parts sont détenues par les salariés. Sur le nouveau site qui sera mis en service en octobre 2018, le groupe veut favoriser les liens avec des entreprises partenaires et jeunes scop de la Région dans le secteur d’activités réseaux et télécom. « En partenariat avec la commune de Saint-Orens et l’Union Régionale des Scop, un incubateur pourrait voir le jour, permettant d’accueillir et d’accompagner des jeunes pousses innovantes », se félicite Pierre-Yves Fargeas.


Marc Pouiol

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Continental Automotive implante son centre de recherche de la voiture connectée à Toulouse

Continental Automotive implante son centre de recherche de la voiture connectée à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Le site toulousain de Continental va mener des recherches sur la connectivité des voitures.

 

 

Continental Automotive France vient d’officialiser l’installation à Toulouse de sa filiale spécialisée dans les systèmes pour voitures connectées. Un projet qui prévoit un investissement de plusieurs centaines de millions d’euros et la création d’au moins 150 emplois.

 

Berceau des systèmes embarqués, Toulouse a franchi un palier supplémentaire jeudi avec l’annonce de Continental : l’entreprise qui emploie 220.000 personnes dans cinquante-six pays, et qui possède un site au sud de Toulouse, a annoncé jeudi 16 mars en présence de Christophe Sirugue, secrétaire d’État à l’innovation et au numérique la création d’une nouvelle filiale, Continental digital services France.

Selon Antoine Jouin, le PDG de Continental Automotive France, la nouvelle entité sera chargée de développer notamment le projet « eHorizon-Continental », dont l’objectif est de connecter les véhicules entre eux afin de les rendre plus autonomes. « Désormais le véhicule connecté et autonome aura la capacité de voir au-delà de la portée de ses capteurs, c’est-à-dire au-delà de 300 mètres, en agrégeant les données provenant des véhicules », indique l’équipementier. Le progrès et l’évolution sont considérables selon Antoine Jouin : « Hier, nous développions et assemblions des composants intégrés dans le véhicule (capteur, calculateur électronique, etc.) ; aujourd’hui, ce système est complété par des services à valeur ajoutée grâce à la connexion du véhicule avec le monde extérieur ».

 

 

Soutien financier de la Région et de la Métropole

Le montant de l’investissement pour la nouvelle filière est estimé entre 200 et 300 millions d’euros dans les cinq ans à venir. En terme d’emplois, Continental digital services France va également être active : 150 personnes seront embauchées d’ici la fin 2017, essentiellement des experts en cybersécurité et en data, et plusieurs centaines d’emplois pourraient être créées à terme. Cette annonce a été saluée par les collectivités.

« Le projet de Continental, aux côtés d’autres projets ambitieux, comme celui d’Hyperloop par exemple, nous permet de renforcer encore notre positionnement de leader en termes d’innovation et de mobilité de demain », a déclaré Nadia Pellefigue, vice-présidente de la région Occitanie, qui a annoncé soutenir Continental à hauteur de 5 millions d’euros. Même son de cloche de Jean-Luc Moudenc, président de Toulouse Métropole, qui a annoncé débloquer une enveloppe de 4 millions d’euros d’aides à l’installation et une avance remboursable de 1 million d’euros qui sera proposée au vote du prochain conseil de Métropole. 


Philippe Font

 

 article diffusé le 19 mars 2017

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Toulouse : Scalian va recruter 180 personnes en 2017

Toulouse : Scalian va recruter 180 personnes en 2017 | La lettre de Toulouse | Scoop.it

François Schnoebelen, DRH du groupe Scalian.

 

Scalian, ex Eurogiciel, envisage de recruter plus de 800 personnes en 2017, dont 180 uniquement à Toulouse. Pour accompagner sa croissance, le groupe recherche des Bac +5 « agiles et créatifs ». Le point avec le DRH, François Schnoebelen.

 

Eurogiciel, qui vient de changer d’identité pour devenir Scalian, prévoit de recruter 820 personnes cette année. Dont 180 en Occitanie, où le groupe compte quatre implantations à, et autour de Toulouse. « Dans le cadre de la forte progression de nos activités, nous avons des besoins très importants et nous allons intégrer des salariés pour nos deux pôles : systèmes numériques et performance des opérations. Nous sommes à la recherche des futurs pépites de demain, des candidats agiles, adaptables, et créatifs », indique François Schnoebelen, le DRH de Scalian.

Le groupe va embaucher, tout au long de l’année 2017, des ingénieurs architectes Java JEE, télécoms, systèmes embarqués, IVV, traitement d’images et du signal pour son pôle systèmes numériques. Des ingénieurs en gestion de projet, des consultants fonctionnels et des ingénieurs en management de la performance (qualité, supply Chain, assurance qualité produit/process) seront, eux aussi, recrutés pour son entité spécialisée dans la performance des opérations. Un Bac +5 minimum est requis pour postuler, tout comme une première expérience réussie dans le secteur, alternance longue ou premier emploi, avec une mise en pratique du diplôme. « Du point de vue de la personnalité, nous voulons des candidats en mesure de s’adapter constamment aux besoins de nos clients, qui évoluent perpétuellement. Nous ne misons pas uniquement sur une compétence technique, nous recherchons de personnes capables de sortir de leur périmètre de sécurité et en mesure de créer », précise François Schnoebelen.

 

Des annonces régulièrement mises en ligne

Afin d’attirer les candidats dans un secteur très concurrentiel, Scalian met en avant la qualité de son environnement de travail, mais aussi celle de ses effectifs. « Les futurs salariés ne vont pas être noyés parmi des généralistes, mais ils vont rejoindre une communauté d’experts. Les missions et les clients vont leur permettre de s’épanouir dans leur créativité et leurs capacités technique », argue François Schnoebelen. De plus, une fois intégrés dans l’entreprise, les collaborateurs sont suivis régulièrement par leurs managers, lors d’entretiens de détermination des objectifs organisés tous les six mois, et peuvent participer à des formations en présentiel ou en e-learning proposées au sein de l’Academy développée par la société.

Pour rejoindre Scalian, des annonces sont publiées quotidiennement sur le site du groupe. Un chargé de recrutement qualifie chaque candidature. Les profils sélectionnés passent ensuite par un système de sélections, qui comprend un test technique, un entretien plus généraliste, et une rencontre avec un manager. « Nous sommes exigeants dans notre processus de recrutement. Mais, pour le moment, nous n’avons pas eu de difficultés à atteindre nos objectifs et à recruter les bons profils », se félicite François Schnoebelen.


Agnès Frémiot

 

Les candidatures peuvent être adressées à : recrutement@scalian.com

 

 

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Quels sont les profils recherchés par Mediameeting en 2016 ?

Quels sont les profils recherchés par Mediameeting en 2016 ? | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Anne-Marie de Couvreur, président et cofondateur de Mediameeting.

 

Mediameeting ambitionne de devenir d’ici cinq ans le leader européen de la radio d’entreprise. Pour cela, la startup va recruter une trentaine de personnes cette année. Anne-Marie de Couvreur, président cofondateur de la société, précise les profils recherchés

 

Anne-Marie de Couvreur, pourriez-vous nous présenter Mediameeting ?
Mediameeting est une startup créée en 2004, qui se spécialise dans la radio d’entreprise. Nous sommes partis de zéro, avec deux salariés, et aujourd’hui nous réalisons un chiffre d’affaires de 8 millions d’euros et nous sommes 135. Nous diffusons nos programmes dans 105 pays, pour 12 millions d’auditeurs chaque jour. Nous évoluons dans le secteur du service pour les entreprises, nos charges de personnel comptent donc pour 80% de notre budget. Les ressources humaines sont par conséquent un enjeu majeur pour nous, et chaque recrutement compte.

 

A quels enjeux faites-vous face actuellement ?
Aujourd’hui, nous arrivons à une nouvelle étape dans notre croissance, puisque nous entendons, grâce à notre levée de fonds, atteindre 25 millions de chiffres d’affaires en cinq ans, et passer d’une position de leader français à celle de leader européen. Dans cette optique, les ressources humaines sont notre priorité pour conserver notre forte croissance. Nous avons donc mis en place des techniques pour les améliorer.

 

Quelles sont ces techniques ?
Nous sommes passés à un mode de management agile. Nous avons ainsi organisé l’entreprise en business unit avec des intra-entrepreneurs qui travaillent en autonomie. Nous avons créé des PME dans la PME. Nous avons également modifié notre système de recrutement. Aujourd’hui, ce sont avant tout les valeurs et le savoir-être qui pèsent à 70% dans nos choix. Nous recherchons des salariés qui ont envie de s’engager sur nos valeurs, la performance et la bienveillance, et qui souhaitent participer à une réussite collective. Ils doivent également désirer travailler dans une PME, avoir le goût de l’apprentissage et une grande autonomie.

 

Comment s’effectuent aujourd’hui vos recrutements ?
Nous avons organisé en décembre notre premier forum de recrutement pour nous permettre d’agir vite. Nous misons également sur l’auto-recrutement. Nous venons d’embaucher notre premier salarié par ce biais à Paris. C’est un de nos collaborateurs qui a rédigé l’annonce pour recruter son futur collègue, fait passer les entretiens, et choisit ce salarié. Le « board » a approuvé le recrutement sans même l’avoir rencontré. Nous sommes également de plus en plus intéressés par le recrutement en « jobcast ». Le chef de service passe une annonce audio et les candidats peuvent nous répondre par le même biais. Nous sentons ainsi l’énergie de la personne sans préjuger du reste.

 

Combien de salariés comptez-vous recruter cette année ?
Notre objectif est d’être au moins une centaine de personnes d’ici cinq ans. Nous comptons donc recruter entre 25 et 30 salariés en 2016, dont les deux tiers seront issus de la région toulousaine. Nous recherchons à 50% des gens issus de l’univers de la radio (journalistes, animateurs, ingénieurs du son et techniciens), à 25% de profils R&D, et notre priorité actuelle est de recruter un DSI, des ingénieurs informatiques, et un architecte réseau. Mais les offres sont ouvertes en permanence. Nous intégrons également des stagiaires de fin d’étude dans l’objectif de les recruter.
Propos recueillis par Agnès Frémiot

Jacques Le Bris's insight:


Pour poser sa candidature, il suffit d’envoyer un mail à contact@mediameeting.fr

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Toulouse : « C'est plus qu'un coup de pouce, c'est un coup de coeur ! »

Toulouse : « C'est plus qu'un coup de pouce, c'est un coup de coeur ! » | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Au premier plan (de gauche à droite), Sonia, Lahouria et Rabia, aux cotés du préfet Pascal Mailhos et des bénévoles impliqués dans l’opération « Coup de pouce à l’emploi ».

 

Lancée à l'initiative du préfet Pascal Mailhos, l'opération « Coup de pouce à l'emploi » détecte et accompagne des personnes « méritantes » dans leur recherche d'emploi. Un dispositif expérimenté dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville à Toulouse.

 

« Je suis fière de mes origines, mais elles ont été, comme mon quartier, un handicap. Aujourd’hui, je sens que j’ai les mêmes chances que tout le monde. » Sonia Abdellah, 23 ans, fait partie des premiers bénéficiaires de l’opération « Coup de pouce à l’emploi ». Un dispositif initié par Pascal Mailhos, préfet de Haute-Garonne et de la région Midi-Pyrénées, qui se dit convaincu que « l’élément majeur qui manque à notre société, c’est la fraternité ». Il y a quelques mois, il confie donc à la sous-préfète, Florence Vilmus, le soin de constituer une équipe de volontaires. Un réseau « serré » qui identifie une première cohorte de douze personnes qui seront régulièrement suivies et aidées dans leurs démarches.

« Je reçois chaque personne lors d’un premier entretien au cours duquel je leur demande quel est leur projet et les raisons pour lesquelles elles ne parviennent pas à le concrétiser, puis une personne de la cellule prend le relai pour un suivi individuel régulier. Nous nous rencontrons également une fois par mois pour échanger et faire le point », explique Florence Vilmus, entourée dans cette démarche de bénévoles de la préfecture, de la Dirrecte, de Pôle emploi, des Missions locales… « Nous mettons notre expérience, notre réseau et notre carnet d’adresses au service des personnes que nous accompagnons », ajoute Annie Blaquié, directrice territoriale de Pôle emploi Haute-Garonne. « Mais l’intérêt du dispositif réside aussi dans nos échanges, dans le fait que nous nous appuyons sur les différents partenaires pour mettre en oeuvre des actions. »

« J’ai rencontré des personnes qui ont des valeurs »

Depuis son lancement, il y a quelques mois, vingt-quatre personnes ont ainsi intégré le dispositif et, sept d’entre elles ont trouvé un emploi ou débuté une formation. En stage au Métronome, Sonia s’apprête à faire une remise à niveau avant d’évoluer peut-être vers une formation d’ingénieur du son. Son rêve. Rabia Batouche, elle, peut enfin concilier ses contraintes personnelles (elle est mère de trois enfants) avec son envie de travailler. Elle a décroché un CDD de deux ans à la restauration de l’hôpital Purpan. Quant à Lahouria Kuczma, elle travaille désormais au rectorat de St-Agne. « Cette opération, c’est plus qu’un coup de pouce, c’est un coup de coeur ! », déclare la jeune femme. « On est au fond du puits et c’est une corde tendue pour en sortir. J’ai rencontré des personnes qui ont des valeurs, qui s’engagent vraiment. Je ne pensais pas que cela existait… »

« Nous ne pouvons pas laisser penser aux habitants des quartiers qu’ils ne peuvent pas trouver du travail ! », repend Pascal Mailhos. « Avec cette action très volontariste, je souhaite que chacun prenne conscience qu’il peut venir en aide à une personne en difficulté. Dans les quartiers, mais pas seulement bien sûr. J’aimerais notamment que cela puisse se développer dans les territoires ruraux. » En attendant, le préfet lancera prochainement une autre opération « fraternelle ». Elle viendra également en aide à des demandeurs d’emploi…

 
Ingrid Lemelle

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Quartiers prioritaires : Carrefour favorise l'emploi à Toulouse

Quartiers prioritaires : Carrefour favorise l'emploi à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, Pascal Mailhos, préfet de région Midi-Pyrénées, préfet de Haute-Garonne, et Thierry Roger, directeur de l’espace emploi France Carrefour.

 

Le groupe Carrefour est la première entreprise de Midi-Pyrénées à avoir signé la convention « entreprises et quartiers » avec l'État pour favoriser l'emploi et la formation des jeunes des quartiers prioritaires toulousains. 

 

« Il y a un vrai problème pour trouver un emploi lié au CV, au code postal et au nom de famille », témoigne Moufida Sediri. Cette habitante de Bellefontaine, avec son Bac en poche et ses deux années universitaires, a enchainé des « petits boulots », comme elle dit. Puis il y a quelques mois, se souvient la jeune maman de 30 ans, « on m’a donné une chance ». Cette chance, dont elle parle, est le forum pour l’emploi organisé par l’enseigne Carrefour dans son quartier, en septembre 2013, avec une dizaine d’emplois à la clé. Moufida Sediri candidate, obtient un entretien et est embauchée en contrat professionnel comme hôtesse d’accueil, avant la signature en juin 2014 du CDI tant attendu.

« Il faut agir »

Voila une expérience heureuse que souhaite renouveler l’enseigne de la grande distribution. En effet, elle est à la seule entreprise en Midi-Pyrénées avoir signé avec la préfecture une convention « Entreprises et quartiers ». Le groupe s’engage ainsi à « favoriser le développement économique et social des quartiers prioritaires », précise Thierry Roger, directeur de l’espace emploi France Carrefour. Comment ? Par le biais de recrutements, de visites d’entrepôts, de découvertes des métiers de la grande distribution pour les collégiens et les lycéens, ou encore en développant l’alternance. D’autant que pour « couvrir des besoins importants », Carrefour prévoit le recrutement de 800 à 1000 personnes pour ses magasins toulousains en 2015.

Les quartiers prioritaires sont particulièrement touchés par le chômage et la précarité. Le taux de chômage des 15/24 ans est de 45 % avec un taux récurrent de 60 à 65 % Cette situation est préoccupante pour ceux qui la subissent », ajoute Pascal Mailhos, le préfet de région Midi-Pyrénées, préfet de Haute-Garonne, qui souligne que la signature de cette première convention devrait être suivie par d’autres initiatives régionales. Veolia Propreté, Auchan ou encore Capgemini « ont manifesté leur intérêt », précise le préfet.
Audrey Sommazi

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O2 veut signer 200 CDI d'ici 2015 à Toulouse

O2 veut signer 200 CDI d'ici 2015 à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Sophie Durif, directrice des deux agences « home services » de Toulouse.


O2, spécialisé dans les services à domicile, et Pôle emploi Midi-Pyrénées se sont associés pour signer une convention régionale dans le but de recruter 200 CDI à Toulouse dans les métiers de garde d'enfant, d'aide-ménagère et d'auxiliaire de vie.


« Les besoins sont pressants car la demande est croissante à Toulouse et dans les villes de l’agglomération. Et pourtant il y a une pénurie de candidats », s’étonne Sophie Durif, directrice de deux agences O2 Home Services à Toulouse, spécialisées dans les métiers d’aide-ménagère et auxiliaire de vie. L’agence toulousaine Kids, dédiée à la garde d’enfant, établit un constat identique. Car, selon la directrice, ces trois métiers souffrent d’un déficit d’image. Mais pas seulement. « Les candidats, qui par ailleurs ne pensent pas pouvoir faire carrière dans ces professions, ne savent pas que nous embauchons. Nous devons les draguer. Or, O2 est le septième recruteur en France », ajoute-t-elle.

Les profils spécifiques

Pour rétablir ce tort et faire connaitre ses besoins, le spécialiste des services à la personne a signé avec Pôle emploi Midi-Pyrénées une convention régionale pour remplir un objectif : recruter 200 personnes en CDI dans les deux ans. Ainsi, les annonces d’emploi sont diffusées dans les agences Pôle emploi, y compris sur le web. Et les candidats potentiels soumettent leur CV et lettre de motivation par courrier et en ligne. Puis, O2 assure le recrutement qui se déroule en quatre étapes : une « pré-qualification » téléphonique, qui prend la forme d’un entretien pour cerner l’envie des candidats, une présentation collective dans les locaux d’O2 des différents métiers, un test écrit sur les techniques de l’activité visée et enfin un test pratique. « Les salariés sont payés au smic horaire, disposent d’une prime de transport au prorata des heures effectuées, une prime selon la qualification, ainsi qu’un téléphone portable gratuit », assure Sophie Durif.

Pour mettre toutes les chances de son côté, il est important de noter les spécificités demandées, par métier. Pour assurer la garde d’enfant, tous les candidats doivent être véhiculés. Pour les enfants de moins de 3 ans, un diplôme CAP petite enfance ou BEP sanitaire et social est requis. Au-delà de cet âge, l’expérience fera la différence pour obtenir un CDI à temps partiel (de minimum 10 heures) choisi tandis que la motivation et le savoir faire sont de rigueur pour décrocher un contrat de 20 à 35 heures en tant qu’aide-ménagère. Concernant, le métier d’auxiliaire de vie, un diplôme d’État auxiliaire de vie sociale est demandé ou trois ans d’expérience justifiable.
Audrey Sommazi

Jacques Le Bris's insight:

Pour envoyer une candidature aux agences toulousaines O2 : emploi.toulouse@O2.fr

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Enquête annuelle de l'APEC, des embauches en 2012 mais pas dans tous les secteurs

Enquête annuelle de l'APEC, des embauches en 2012 mais pas dans tous les secteurs | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Jean-Sébastien Fiorenzo, responsable de la filière entreprises de Midi-Pyrénées à l’APEC

 

 

Jean-Sébastien Fiorenzo, responsable de la filière entreprises de la région Midi-Pyrénées à l’APEC, a dévoilé hier les prévisions de recrutement des cadres en 2012. Les entreprises interrogées par l’APEC prévoient de recruter entre 6530 et 8700 cadres. Des prévisions prudentes après une année 2011 positive avec 7 250 recrutements.

En 2012, le marché de l'emploi cadre sera un marché à deux vitesses selon l'APEC: d'un côté les entreprises des secteurs à forte valeur ajoutée devraient continuer à être dynamiques en matière d'embauches de cadres. De l'autre les entreprises des secteurs plus fortement exposés à la conjoncture et à ses aléas accuseraient un fort ralentissement de leurs recrutements.

Au niveau régional les chiffres révélés par l’APEC confirment ceux donnés par la Banque de France et Oséo : 2011 a été une bonne année pour les entreprises midi-pyrénéennes grâce au secteur de l’aéronautique et du spatial. D’ailleurs dans la région, ce sont les entrepreneurs de Haute-Garonne qui sont les plus optimistes pour 2012 puisque 16% d’entre eux prévoient d’augmenter leurs effectifs cadres alors que 4% envisagent de le réduire. Au niveau régional, on reste cependant au dessus de la moyenne nationale avec 15% d’entreprises qui prévoient d’embaucher ( 9% en France) et 4% qui prévoient de réduire le nombre de cadres ( 5% au niveau national). « Des prévisions optimistes puisque le moral des entreprises est presque revenu à celui d’avant crise, mais prudentes » selon Jean-Sébastien Fiorenzo.

Quels secteurs, quels profils ?

(...)

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