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Il s’agit, pour l’heure, d’un plan de départs volontaires concernant tous les services de l’entreprise, avec vingt-cinq postes de journalistes menacés, selon le Syndicat national des journalistes, qui fustige un «quatrième plan social en onze ans». Voir aussi
Le journal Sud Ouest n'est pas dans les kiosques en Charente-Maritime ce mercredi 21 juin. Ce mouvement social intervient "en réaction aux mesures d'économies présentées par le directeur général du groupe SAPESO (Presse et édition du Sud Ouest) Nicolas Sterckx.
Arrivé à la tête du Groupe Sud Ouest en avril dernier, Nicolas Sterckx entend insuffler ses nouvelles ambitions. "Côté print, nous possédons les quotidiens Sud-Ouest, Charente Libre, Dordogne Libre, La République des Pyrénées ou encore L’Eclair. Nous détenons également quelques hebdomadaires locaux comme La Lettre du Bassin d’Arcachon et Le Résistant du Libournais, ainsi qu’un trimestriel dédié au rugby: Raffut. Nous avons également développé une activité d’agence de communication et de stratégies de marques, Eliette, et sommes propriétaire des TV locales TV7 à Bordeaux et TVpi à Bayonne. Et nous avons également une agence de presse télévisuelle, Digivision, qui est active dans la production de documentaires pour la télévision et de reportages de news locales pour des chaines nationales (TF1, M6 et Euronews…)." Voir aussi
Nouveaux formats, financements, disparition, ou pas, du papier… À quoi, demain, ressemblera la presse? À l’occasion de Demain! Les Rencontres du progrès, Louis Dreyfus, président du directoire du groupe Le Monde et Patrick Venries, directeur général du groupe Sud Ouest, échangent leurs points de vue.
L’institut de journalisme Bordeaux Aquitaine (Ijba) et le groupe Sud Ouest ouvrent à la rentrée une nouvelle formation dédiée à l’innovation dans les médias «Nous ressentons de réels besoins au sein des rédactions. Les journalistes souhaitent monter en puissance sur les outils numériques. L’innovation requiert aussi de nouvelles capacités de management », expose Arnaud Schwartz, directeur de l’Ijba. Le diplôme universitaire intitulé «Journalisme numérique & Entrepreneuriat éditorial» accueillera sa première promotion à partir d’octobre 2021. D’une durée de neuf mois, il sera dispensé dans les locaux du groupe Sud Ouest, à Bordeaux Bastide.
Patrick Venries, le président du directoire du Groupe Sud Ouest, a annoncé un plan de départs volontaires portant sur 132 postes, dont 18 journalistes, prévoyant également la fermeture de la locale de Sud Ouest à Angoulême où est basée La Charente libre, détenue par le groupe. Le SNJ, majoritaire au CSE pour le collège des journalistes, «va se battre parallèlement à ce plan, pour la déprécarisation de la rédaction et la titularisation des CDD à Sud Ouest qui en compte 70, dont au moins une trentaine d’équivalents temps plein».
Les archives de "Sud Ouest" changent d’ère. Le journal lance un nouvel univers dédié à la mémoire collective des sept départements de notre région et agrégeant tous ses contenus patrimoniaux, avec un moteur de recherche pointu et ludique qui permettra d’explorer 75 ans d’articles et de pages illustrées. Soit près de 2,8 millions de pages PDF et 5,5 millions d’articles, mais aussi un fonds ancien de près de 800.000 pages qui remontent à la création du journal en 1944… Voir aussi "Sud Ouest: ‘’ni chambardement ni révolution’’ pour sa nouvelle mouture" (CB News)
(Accès premium) Les journaux restent une histoire de famille chez les Hersant. Antilles Guyane Médias, le nouveau nom de l'ex-groupe France-Antilles contrôlé par le groupe Hersant Média (GHM), pourrait changer de main mais rester dans le giron de la famille. Aude Jacques-Ruettard, la nièce de Philippe Hersant et la petite-fille par alliance de Robert Hersant, ancien poids lourd de la presse française longtemps propriétaire du Figaro , devrait en effet faire prochainement une offre de reprise du groupe de son oncle, dont elle détient 38% via son holding personnel AJR Participations. Lire aussi "La presse quotidienne régionale va mieux" et "Presse régionale: la digitalisation a enfin vraiment démarré" ainsi que "Le groupe Antilles Guyane Médias Services, éditeur des quotidiens France-Antilles, placé en redressement judiciaire" dans La Correspondance de la Presse du 18 avril 2017 et "Mme Aude JACQUES-RUETTARD, petite-fille de Robert HERSANT, accompagnée par M. Philippe LABI, ancien directeur de l'information de M6 et ancien éditeur et rédacteur en chef à Prisma Presse, va déposer une offre de reprise du groupe de presse Antilles Guyane Médias" dans La Correspondance de la Presse du 21 avril 2017
Moins d'un an après la refonte de ses supports numériques, Pyrénées Presse (groupe Sud Ouest) poursuit sa mue avec le lancement d'une nouvelle formule de ses deux titres, la République des Pyrénées et l'Eclair. "Plus moderne et toujours 100% béarnais", cette nouvelle formule "renforce l'ambition éditoriale locale des titres béarnais du Groupe Sud Ouest", indique le dirigeant de Pyrénées Presse, Christophe Galichon.
Les quotidiens régionaux, qui voient leur diffusion s’éroder d’année en année , cherchent la parade. Et le numérique pourrait bien en être une. 2015 a été à nouveau une annus horribilis pour la presse quotidienne régionale (PQR): les ventes d’exemplaires ont chuté de 3,5% par rapport à 2014 selon l’Alliance pour les chiffres de la presse et des médias. Ouest France, qui reste le quotidien le plus diffusé en France avec 696.000 exemplaires quotidiens, perd tout de même 2,6% ! Sud-Ouest recule de 3,4% et la Voix du Nord, de 3,5 %. Lire aussi "La Voix Eco, un journal économique 100 % digital", "Sud Ouest rajeunit sa maquette et s'entoure de start-up du numérique" et "Ouest France fait le pari de la spécialisation"
Pour Olivier Gerolami, PDG du groupe Sud Ouest, les journalistes vont devoir achever leur révolution culturelle. «L’ensemble de la rédaction doit passer au bimédia et se mettre dans une logique de news 24/24, totalement orientée vers l’écriture digitale. Il faut changer le paradigme d’écriture, sa manière de voir son métier: je suis journaliste parce que je fais des enquêtes, mais je suis aussi modérateur, agrégateur de contenu, animateur de mur facebook, point de convergence d’un certain nombre d’infos qui arrivent via les réseaux sociaux, et peut–être qu’un jour le lecteur deviendra un client!» Lire aussi "Sud Ouest se lance dans une nouvelle stratégie" (la Tribune - Objectif Aquitaine), "Groupe Sud Ouest: résultat d'exploitation en hausse en 2015" (AFP - France 24), et "Sud Ouest joue la carte de l’innovation technologique avec Théophraste" (CB News)
Si les quotidiens locaux se portent légèrement mieux que la presse nationale, le secteur cache d’importantes disparités entre les titres. De 150 titres après la Seconde Guerre mondiale, on n’en compte plus qu’une soixantaine actuellement. Et derrières ces journaux locaux, se cachent en réalité à peine une dizaine de groupes de presse. Le groupe Ebra concentre, par exemple, l’ensemble de la PQR de l’Est français, après le grignotage progressif des titres par le Crédit Mutuel, principal actionnaire du groupe, depuis 2006.
Lire aussi "Groupe Sud Ouest: un résultat d’exploitation en progression" (CB News)
Les manœuvres se poursuivent dans la presse quotidienne régionale française. Dernier rapprochement en date, le groupe La Dépêche du Midi devrait devenir, d'ici à la fin de l'année, le premier actionnaire et l'opérateur du groupe Midi Libre, cédés par le groupe Sud Ouest, devenant ainsi le troisième éditeur de quotidiens régionaux. De son côté, Hersant est définitivement sorti du marché français en métropole depuis que le groupe Nice-Matin, dont il était le propriétaire, a été placé en redressement judiciaire en mai dernier.
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Après 4 ans chez Webedia, Nicolas Sterckx a pris la tête du groupe Sud Ouest en avril 2022. A l’occasion du Festival de l’Info Locale, à Nantes, il présentait un premier bilan d’étape. En ligne de mire: la transition du papier vers le digital, des diversifications et, surtout, un travail autour de “verticales” thématiques destinées à fédérer des communautés. Y compris au-delà des frontières du sud-ouest. Voir aussi
Depuis le début de l’année, le groupe Nord Littoral a décidé de lancer un nouveau format: la Minute de l’Info. En une minute, les journalistes expliquent, à travers une vidéo, trois infos. Une manière nouvelle de faire connaître les titres, l’actu, mais aussi l'équipe rédactionnelle. Voir aussi
Nicolas Sterckx a été choisi par Socibog, actionnaire de contrôle du Groupe Sud Ouest (GSO), pour succéder sans que l’agenda ne soit pour l’heure communiqué, à Patrick Venries, directeur général du groupe depuis 2019. Il poursuivra le virage stratégique initié en 2020 vers le digital et les offres au service des clients particuliers, entreprises & institutions. Voir aussi
Suite à l’annonce par le groupe du transfert de l’impression du journal de Pau à Bordeaux, le personnel de Pyrénées Presse (La République des Pyrénées et l’Eclair) s’est mis en grève jeudi. Le PDG de Pyrénées Presse et directeur général du groupe Sud Ouest Patrick Venries a présenté un plan qui prévoit le transfert d’activité à Bordeaux du centre d’impression de Berlanne (64), dans un contexte global d’érosion des ventes de journaux papier. Au sein du groupe Sud Ouest, qui possède trois imprimeries dans la région, le plan prévoit la fermeture du centre d’impression de la Charente Libre à Angoulême en octobre 2022, puis celle de l’imprimerie de Pyrénées Presse, au 1er janvier 2024. Voir aussi
Le Groupe Sud Ouest a porté sa participation dans l’agence de communication et de production audiovisuelle Digivision de 37% à 85% du capital. Basée à Toulouse, implantée dans toute la France à travers son réseau d’agences, Digivision réalise des émissions de télévision et des reportages pour les télévisions nationales (TF1, LCI, France Télévision, M6, BFM TV, …) et locales. Elle produit des magazines ainsi que des films institutionnels et couvre des événements sportifs.
Le grand journal de Bordeaux renoue avec sa tradition en nommant à sa tête un journaliste ayant fait l'essentiel de sa carrière dans la maison. Patrick Venries a été nommé président du directoire de Groupe Sud Ouest, en remplacement d'Olivier Gerolami, qui était le premier dirigeant à ne pas avoir sa carte de presse.
Plus de 150 des 260 membres de la rédaction du journal Sud-Ouest ont adressé mardi à leur direction une "motion de défiance" pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail, s'inquiétant de la "crédibilité" de leur titre en pleine mutation vers le numérique. La motion exige en outre une "étanchéité totale" entre la "partie événementielle du groupe" de presse et la rédaction de Sud-Ouest. "Le modèle payant, auquel nous croyons, ne fonctionne qu'avec une réelle plus-value journalistique et une crédibilité intacte du titre". Voir aussi "Sud Ouest: les suppressions de postes gelées jusqu'à la fin de l'année" (CB News)
GSO (Sud-Ouest, Charente Libre, Pyrénées Presse, Dordogne Libre, Editions Sud-Ouest, Terre de Vins, S2D, TV7...) a annoncé avoir enregistré en 2016 un résultat d'exploitation consolidé positif, "la croissance des nouveaux revenus (digital et diversification) ayant compensé le recul du chiffre d'affaires papier". Le groupe ne donne toutefois aucune indication sur le montant de ce résultat, pas plus que sur le chiffre d'affaires.
C’est un paradoxe que pointe Patrick Venries, directeur général de Sud Ouest, deuxième titre le plus lu des quotidiens régionaux: «Jamais le journal n’a été autant consulté, et jamais il n’a rapporté aussi peu». Pour lutter contre la baisse de la diffusion, le quotidien régional met le cap sur le numérique et multiplie les diversifications. Quitte à s'éloigner de son cœur de métier. Le journal a lancé début juillet son propre accélerateur de start-up, spécialisé sur l’information et les services de proximité.
Le Groupe Sud Ouest (GSO), via la Société d'Édition de Presse Locale (SEPL), société éditrice des hebdomadaires de GSO, a cédé l'un de ses titres, Haute Saintonge, aux Éditions du Phare, qui publient déjà en Charente-Maritime les hebdomadaires Le Phare de Ré et Le Littoral. Lire aussi "Le Groupe Sud Ouest cède son hebdomadaire Le Journal du Médoc à Presse et Médias du Sud-Ouest" dans La Correspondance de la Presse du 27 avril 2016, ainsi que " Sud Ouest s’entoure de start-up du numérique et rajeunit sa maquette" (Les Echos) et "Sud Ouest veut un printemps à ses couleurs" (La Tribune)
Le PDG de la Dépêche du Midi, Jean-Michel Baylet, a officialisé le rachat par son groupe des Journaux du Midi (l’Indépendant, Midi Libre, Centre Presse), propriété du Groupe Sud Ouest. Et annoncé par la même la suppression de «150 suppressions d’emploi dans chaque groupe environ». L’acquisition totale des Journaux du Midi est annoncée à 15 millions d’euros, contre 90 millions en 2007.
Lire aussi "La Dépêche devient le quatrième groupe de presse régionale" dans le Figaro du 26 juin 2015, ainsi que "Décision de l'Autorité de la concurrence relative à la prise de contrôle exclusif de la Société du Journal Midi Libre par la société Groupe La Dépêche du Midi" (Etude documentaire) dans La Correspondance de la Presse du 28 août 2015.
Lire également (janvier 2016): "Grève des journalistes de La Dépêche" (Le Figaro/AFP) et "Rachat du Midi Libre et de l'Indépendant: une soixantaine de journalistes quittent le navire" (France3 Languedoc-Roussillon)
Après des négociations exclusives menées depuis fin août 2014, La Dépêche du Midi (associée à Centre France pour une part "symbolique") va prendre le contrôle pour un montant non encore dévoilé des journaux du Midi (Midi Libre, l'Indépendant, Centre Presse), détenus par le Groupe Sud-Ouest (GSO) qui cédera l'ensemble de ses parts. Le groupe toulousain devrait ainsi créer d'ici l'été un nouveau groupe de presse à la mesure de la nouvelle région Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon.
Lire aussi "Le groupe La Dépêche devrait devenir le premier actionnaire du groupe Midi Libre" dans La Correspondance de la Presse du 2 février 2015 et "Cession des Journaux du Midi: le Groupe La Dépêche du Midi rachèterait dans un premier temps l'ensemble du capital avant de négocier l'entrée d'acteurs locaux" dans La Correspondance de la Presse du 27 avril 2015
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D’après un communiqué du SNJ, la direction envisage notamment de fermer trois agences: Oloron-Sainte-Marie et Orthez (Pyrénées-Atlantiques) ainsi que Sarlat (Dordogne).